Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Chronic'art.com
par Frank Beauvais
Le degré d'exigence esthétique de La Captive et les enjeux fondamentaux de mise en scène qu'il prend en charge font du film un aboutissement en matière de modernité cinématographique. En un mot : un chef-d'œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Jean Roy
Non, la Captive n'est pas " le film qu'il faut avoir vu ", ou " Proust enfin rendu à lui-même ", mais plus modestement un nouveau film de Chantal Akerman dont la petite musique s'adresse à qui veut l'écouter, comme un septuor de Vinteuil.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) La Captive est sans doute le plus beau film de Chantal Akerman [...] un film sidérant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Frédéric Bonnaud
(...) La captive parvient à faire oublier le défi cinématographique qui le sous-tend pour devenir le grand film d'aujourd'hui sur le constant mystère du lien amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
A l'image, une grande épure bressonnienne fait décoller le cinéma d'Akerman vers de hauts plateaux peu visités: l'air y est raréfié mais pur, et communique un étrange vertige des cimes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Urbuz
par J-Ph.Tessé
De ce voyage où l'angoisse pénètre par effraction l'intime et le familier, Chantal Ackerman tire un film radical, aussi aride que magnifique et mystérieux.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Fluctuat.net
par Yves Le Corre
Comme son titre l'indique, le nouveau film de Chantal Akerman est un film de prison. Une prison qui n'est pas physique car sans barreau et avec ouverture sur le monde extérieur. Une prison qui se veut morale.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro Magazine
par Daniel Toscan du Plantier
Film rare réservé à un public exigeant et curieux, il surprendra les clients de Mission impossible qui se seraient égarés dans des dédales d'un multiplex, leur carte permanente à la main.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Lenouveaucinema.com
par Jean-Philippe Guerand
Au terme de cette errance existentielle (...), le spectateur se laisse porter par les envolées d'une mise en scène qui contraste singulièrement avec le jeu retenu des acteurs (...)
La critique complète est disponible sur le site Lenouveaucinema.com
Positif
par Claire Vassé
(...) le film met en scène une admirable cartographie du mouvement de l'âme amoureuse (...)
Synopsis
par Michel Eltchaninoff
Captivant, forcément captivant.
La critique complète est disponible sur le site Synopsis
Télérama
par François Gorin
Entre une tenace impression d'irréalité et la neutralité voulue des dialogues ou des situations, le film avance sur un fil, avec une force hypnotique qui fait sa grâce particulière.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Studio Magazine
par Thierry Klifa
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
par Philippe Piazzo
Bienheureux ceux qui reconnaîtront Proust et sa Prisonnière. Bienheureux aussi ceux qui comprendront et ressentiront autre chose que l'ennui face à cette non-histoire (...), non-joué (...)
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cplanet.com
par Sylvie Lachat
La complaisance nombriliste des personnages à construire minutieusement leur propre perte (...), si elle était autrement traitée, pourrait nous questionner à défaut de nous séduire mais elle ne génère ici qu'une exaspération sans limite.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
L'Obs
par Alain Riou
C'est peut-être suffisant pour l'amateur d'oeuvres conceptuelles, mais un peu court pour le cinéphile, frustré en outre par une utilisation minimaliste d'excellents comédiens.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Stéphanie Lamome
A force de plans fixes et de dialogues-interrogatoires ponctués de longs silences (...), Ackerman rend la souffrance de la jalousie, exacerbée et fondamentale chez Proust, bien ennuyeuse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Repérages
par n.c.
Chantal Ackerman traite de l'opacité du désir (...) . Avec Stanislas Mehrar en aristocrate au calme olympien et Sylvie Testud en dame de la haute (...), elle cantonne cependant son projet au seul fantasme intellectuel. Proust, lui, reste universel.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Chronic'art.com
Le degré d'exigence esthétique de La Captive et les enjeux fondamentaux de mise en scène qu'il prend en charge font du film un aboutissement en matière de modernité cinématographique. En un mot : un chef-d'œuvre.
L'Humanité
Non, la Captive n'est pas " le film qu'il faut avoir vu ", ou " Proust enfin rendu à lui-même ", mais plus modestement un nouveau film de Chantal Akerman dont la petite musique s'adresse à qui veut l'écouter, comme un septuor de Vinteuil.
Le Monde
(...) La Captive est sans doute le plus beau film de Chantal Akerman [...] un film sidérant.
Les Inrockuptibles
(...) La captive parvient à faire oublier le défi cinématographique qui le sous-tend pour devenir le grand film d'aujourd'hui sur le constant mystère du lien amoureux.
Libération
A l'image, une grande épure bressonnienne fait décoller le cinéma d'Akerman vers de hauts plateaux peu visités: l'air y est raréfié mais pur, et communique un étrange vertige des cimes.
Urbuz
De ce voyage où l'angoisse pénètre par effraction l'intime et le familier, Chantal Ackerman tire un film radical, aussi aride que magnifique et mystérieux.
Fluctuat.net
Comme son titre l'indique, le nouveau film de Chantal Akerman est un film de prison. Une prison qui n'est pas physique car sans barreau et avec ouverture sur le monde extérieur. Une prison qui se veut morale.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro Magazine
Film rare réservé à un public exigeant et curieux, il surprendra les clients de Mission impossible qui se seraient égarés dans des dédales d'un multiplex, leur carte permanente à la main.
Lenouveaucinema.com
Au terme de cette errance existentielle (...), le spectateur se laisse porter par les envolées d'une mise en scène qui contraste singulièrement avec le jeu retenu des acteurs (...)
Positif
(...) le film met en scène une admirable cartographie du mouvement de l'âme amoureuse (...)
Synopsis
Captivant, forcément captivant.
Télérama
Entre une tenace impression d'irréalité et la neutralité voulue des dialogues ou des situations, le film avance sur un fil, avec une force hypnotique qui fait sa grâce particulière.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Bienheureux ceux qui reconnaîtront Proust et sa Prisonnière. Bienheureux aussi ceux qui comprendront et ressentiront autre chose que l'ennui face à cette non-histoire (...), non-joué (...)
Cplanet.com
La complaisance nombriliste des personnages à construire minutieusement leur propre perte (...), si elle était autrement traitée, pourrait nous questionner à défaut de nous séduire mais elle ne génère ici qu'une exaspération sans limite.
L'Obs
C'est peut-être suffisant pour l'amateur d'oeuvres conceptuelles, mais un peu court pour le cinéphile, frustré en outre par une utilisation minimaliste d'excellents comédiens.
Première
A force de plans fixes et de dialogues-interrogatoires ponctués de longs silences (...), Ackerman rend la souffrance de la jalousie, exacerbée et fondamentale chez Proust, bien ennuyeuse.
Repérages
Chantal Ackerman traite de l'opacité du désir (...) . Avec Stanislas Mehrar en aristocrate au calme olympien et Sylvie Testud en dame de la haute (...), elle cantonne cependant son projet au seul fantasme intellectuel. Proust, lui, reste universel.