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    La Captive
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "La Captive" et de son tournage !

    Paulo Branco, coproducteur

    Producteur attitré de Manoel de Oliveira, de Raoul Ruiz, Alain Tanner, Sharunas Bartas, Danièle Dubroux et Laurence Ferreira Barbosa, Paolo Branco a notamment participé à Tricheurs (Barbet Schroeder, 1983), Maine Océan (Jacques Rozier, 1986), L'enfant de l'hiver (Olivier Assayas, 1989), Jusqu'au bout du monde (Wim Wenders, 1991), Le cœur fantôme (Philippe Garrel, 1996),

    For ever Mozart (Jean-Luc Godard, 1996), Ossos (Pedro Costa, 1997), L'ennui (Cédric Kahn, 1998), Lila Lili (Marie Vermillard, 1999) et La fidélité (Adrzej Zulawski, id.).

    Une réalisatrice sous influence

    « (…) j'ai regardé Vertigo (Sueurs froides) d'Alfred Hitchcock. C'est également une histoire d'obsession, d'envoûtement et de possession. Il y a constamment une tension où l'on sent qu'on va vers une fatalité, un peu aussi comme dans les tragédies grecques. »

    Tiersen pressenti

    Le compositeur Yann Tiersen avait été pressenti pour interpréter le rôle de Marcel Proust dans La Captive. Le rôle avait finalement échu à Stanislas Mehrar.

    La Captive de la Quinzaine

    La captive a été présenté à la Quinzaine des Réalisateurs lors du Festival de Cannes 2000.

    Adapté de Proust

    Le scénario de La captive, co-signé par Chantal Akerman et Eric de Kuyper, s'inspire de «La Prisonnière» de Proust. Cinquième volume de «La recherche du temps perdu», «La prisonnière» se situe entre «Sodome et Gomorrhe» et «Albertine disparue».

    Akerman s'invite chez Proust

    « (…) chaque fois que je relisais un bout ou l'autre de «La recherche» et spécialement «La prisonnière», je me sentais dans un état d'intimité avec Marcel, je lui parlais, le tutoyais, l'appelais Mon Petit Marcel, comme j'aurais appelé un petit frère, c'était presque devenu quelqu'un de ma famille avec ses obsessions, ses lieux clos, ses reprises de même thèmes qu'il développait tant et si bien, qu'un jour, je n'ai plus pu résister. »

    Sylvie Testud (Ariane)

    Révélée par Karnaval (Thomas Vincent, 1999), Sylvie Testud a participé à L'histoire du garçon qui voulait qu'on l'embrasse (Philippe Harel, 1994) et à quelques longs métrages allemands, dont Les raisons du cœur (Markus Imhoof, 1997).

    En 2000, elle est à l'affiche de La chambre obscure de Marie-Christine Questerbert, aux côtés de Jackie Berroyer, Mathieu Demy et Melvin Poupaud.

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