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    Blue
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Blue" et de son tournage !

    Disneynature a 10 ans

    Disneynature a été créé en 2008 et a, pour le moment, produit neuf films centrés sur des histoires vraies que seule la nature est capable de créer, dans le but de contribuer à éveiller les consciences sur la beauté et la fragilité de notre environnement. Jean-François Camilleri, Fondateur, directeur général de Disneynature et président de The Walt Disney Company France, Benelux Maghreb, Afrique francophone, explique au sujet de Blue :

    "Notre nouveau film Blue est une plongée au cœur de l’Océan pour découvrir, comprendre, aimer un monde encore mystérieux et surprenant. Une expérience cinématographique immersive tournée dans les plus beaux endroits de la planète et une opportunité de vivre l’Océan et le récif corallien comme jamais grâce à de nouvelles technologies de production. Préserver la Nature doit être un engagement pour tous. Elle a encore tant d’histoires à nous raconter..."

    Un projet de grande ampleur

    Le tournage de Blue s'est étiré sur plus d'un an et dans 10 pays différents : les Etats-Unis, le Mozambique, les Bahamas, l'Egypte, l'Afrique du Sud, l'Indonésie, la Malaisie, les États fédérés de Micronésie, Tahiti et l'Australie, avec au minimum 2 sites de plongée par lieux de tournage, voire 7 ou 8 comme dans le détroit de Lambeh…Un dispositif essentiel pour pouvoir filmer le plus de comportements de dauphins et de baleines. Avec 6 mois de préparation logistique et 350 heures de postproduction, Blue aura nécessité au final plus de 2 ans et demi de travail.

    Filmer dans l'eau

    Le plus grand défi de Blue consistait à faire oublier au spectateur qu’il voyageait sous l’eau. Le producteur et réalisateur Keith Scholey explique : "Souvent, les films subaquatiques suivent un rythme assez lent avec BLUE nous voulions transporter le public dans cet élément avec les mêmes techniques cinématographiques qu’une fiction, les surprendre et leur donner l’illusion qu’ils faisaient, eux aussi, partie de ce monde". Le co-réalisateur Alastair Fothergill ajoute : "Pour les prises de vue subaquatique, une des nouveautés a été d’utiliser des loumas (grues avec contrôle à distance) pour obtenir des traveling – grues qui n’étaient jusqu’à présent utilisées que pour faire des travellings sur la terre ferme. C’est très difficile à manipuler sous l’eau mais le rendu est unique cela vous donne une impression de mouvement et vous plonge littéralement dans l’environnement, comme si vous y étiez."

    Une partie des bénéfices versée

    Comme il en a été de même avec les autres films Disneynature, un pourcentage des bénéfices de Blue sera ensuite versé à des projets de préservation ou de recherche. "Dans le cas des récifs de corail, nous savons tous qu’ils sont extrêmement menacés et nécessitent une protection accrue. Ce film contribuera non seulement à sensibiliser le public mais directement également à la protection de ces habitats si uniques", confie Alastair Fothergill.

    Cécile de France donne de la voix

    C'est la comédienne belge Cécile de France qui est la narratrice de Blue. Très sensible à l’environnement, c’est sans hésitation qu’elle a accepté de raconter l’histoire du nouveau Disneynature et ainsi plonger les spectateurs dans cet univers sous-marin.

    Quelques chiffres et informations...

    Les grands dauphins mesurent de 2 à 3 mètres de long et pèsent en moyenne 400 kg.

    Après une gestation de douze mois, la femelle grand dauphin donne naissance à un seul petit qu’elle allaitera durant près de deux ans et qui restera à ses côtés jusqu’à l’âge de 5 ans avant d‘acquérir son indépendance.

    Les grands dauphins parcourent en moyenne 30 kilomètres par jour, parfois 50 et lorsqu’ils chassent certaines proies comme les céphalopodes.

    Les grands dauphins peuvent tenir des apnées de 4 à 5 minutes environ.

    La famille des Delphinidés à laquelle appartient le grand dauphin compte 32 espèces dont les dauphins d’eaux douces, les dauphins à long bec, les globicéphales ou encore les orques.

    Contrairement à la plupart des autres espèces, chez la baleine à bosse, c’est la femelle qui est plus imposante que le mâle.

    Les baleines à bosse ont une espérance de vie entre 70 et 90 ans.

    La baleine à bosse mesure de 12 à 15 mètres de long et pèse entre 23 et 36 tonnes

    La baleine à bosse ne possède pas de dents mais des fanons qui fonctionnent comme un filtre pour retenir le plancton dont elle se nourrit.

    A la naissance, un baleineau à bosse mesure entre 3 et 4 mètre et pèse jusqu’à 900 kg.

    Chaque population de baleines à bosse possède son dialecte, un chant qui lui est propre et unique.

    De nombreuses espèces de corail se reproduisent de manière synchrone. Une ponte massive se déroulant après la première pleine lune estivale et qui donne l’impression d’une neige tombant du récif vers la surface.

    Beaucoup de poissons perroquets (comme les poissons clowns et d’autres espèces) commencent leur vie en étant des femelles puis ils se métamorphosent en mâles et changent souvent de couleur.

    Les glandes salivaires des seiches contiennent des substances neurotoxiques qui permettent de neutraliser rapidement la proie capturée, crabe, poissons, crevettes, autres céphalopodes plus petits… Puis, la seiche use de ses mâchoires cornées formant ce que l’on appelle un bec de perroquet pour découper son repas et l’avaler.

    Quand elles se sentent menacées, les seiches peuvent cracher un nuage d’encre qui trouble l’assaillant et leur permettent de fuir. Cette substance, appelée sépia, était autrefois utilisée en peinture et en photographie.

    Les labres rasoirs masqués, comme d’autres labres sont très territoriaux et ils défendent activement une portion du récif vis-à- vis des intrus. Si un prédateur s’approche trop près, ils plongent vers le fond et s’enfouissent sous le sable.

    Les juvéniles labres rasoirs masqués ne ressemblent aucunement aux adultes. Leur façon de se mouvoir imite des algues qui dériveraient dans le courant.

    La tortue verte est la deuxième plus grosse tortue marine après la tortue luth, avec une longueur de 1 à 1,2 mètres et plus de 150 kg sur la balance.

    La femelle tortue verte pond de 70 à 200 œufs qu’elle enfouit dans le sable. C’est la température qui déterminera le sexe des futurs petits. En dessous de 28,5°C la majorité sera des mâles et au-dessus de 30°C des femelles. Le réchauffement climatique tend à favoriser l’éclosion de femelles, ce qui posera de gros problèmes à moyen terme pour l’espèce.

    Au terme de longues pérégrinations dans l’Océan, la femelle reviendra tous les deux à quatre ans pondre sur la même plage où elle est née.

    Une fois éclos, les bébés tortues regagnent tant bien que mal l’Océan, en échappant aux pinces des

    crabes, aux crocs des renards ou aux becs des oiseaux qui rodent et ils passeront de 25 à 50 ans dans

    le grand bleu avant de revenir, pour les femelles, pondre sur la terre ferme.

    Dans les eaux profondes, les tortues vertes s’aident du champ magnétique de la terre pour se diriger.

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