Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Jérémy Gallet
Un très beau récit initiatique, sans doute le meilleur film de Jeanne Labrune.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
La cinéaste, opte pour le récit initiatique, avec talent et une infinie délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Transposant du Japon au Cambodge le roman de Michel Huriet, Jeanne Labrune imprègne son film de la moiteur et de l’esprit des lieux : l’itinéraire spirituel s’y charge de sensualité.
Le Figaro
par La Rédaction
Sur ce chemin à la fois géographique et intime, Jeanne Labrune avance à pas de velours, parle d'amour, de peine, de vocation, de fidélité, de mort, par variations ténues, mais délicates.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Aussi déroutant que subtil, aussi beau que mystique, ce drame sensoriel parle du désir et du sacrifice à travers les parcours de trois personnages à la croisée des chemins, dans un pays meurtri par son histoire. Agathe Bonitzer y joue sa partition avec justesse.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce beau film d’atmosphère est fait de peu de mots, mais porte en lui un élan d’une grande sincérité. L’élan même qui nous porte vers la vie, quand la mort encore nous requiert.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un parcours interrogeant intelligemment l’essence de l’amour et la vie.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Hésitant entre plusieurs routes, Jeanne Labrune signe un film bancal, trop métaphorique, qui souffre d’une opposition un peu caricaturale entre deux mondes et deux femmes. C’est dommage.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Tel un zombie, l’actrice principale erre dans des décors luxuriants et dans un scénario en quête de spiritualité. Morne plaine.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Quelques plans d'Angkor subjuguent par leur beauté. Mais cela reste insuffisant.
Télérama
par Pierre Murat
Célèbre pour avoir réalisé, entre 2000 et 2004, trois fantaisies légères et satiriques (Ça ira mieux demain, C’est le bouquet ! et Cause toujours !), la réalisatrice a visiblement changé de voie, de philosophie, d’aspirations. Elle y semble déjà à l’aise et encore un peu perdue…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Christophe Carrière
Les aficionados du Cambodge apprécieront, peut-être. Quant aux autres...
aVoir-aLire.com
Un très beau récit initiatique, sans doute le meilleur film de Jeanne Labrune.
Culturopoing.com
La cinéaste, opte pour le récit initiatique, avec talent et une infinie délicatesse.
Le Dauphiné Libéré
Transposant du Japon au Cambodge le roman de Michel Huriet, Jeanne Labrune imprègne son film de la moiteur et de l’esprit des lieux : l’itinéraire spirituel s’y charge de sensualité.
Le Figaro
Sur ce chemin à la fois géographique et intime, Jeanne Labrune avance à pas de velours, parle d'amour, de peine, de vocation, de fidélité, de mort, par variations ténues, mais délicates.
Le Journal du Dimanche
Aussi déroutant que subtil, aussi beau que mystique, ce drame sensoriel parle du désir et du sacrifice à travers les parcours de trois personnages à la croisée des chemins, dans un pays meurtri par son histoire. Agathe Bonitzer y joue sa partition avec justesse.
Le Monde
Ce beau film d’atmosphère est fait de peu de mots, mais porte en lui un élan d’une grande sincérité. L’élan même qui nous porte vers la vie, quand la mort encore nous requiert.
Les Fiches du Cinéma
Un parcours interrogeant intelligemment l’essence de l’amour et la vie.
L'Humanité
Hésitant entre plusieurs routes, Jeanne Labrune signe un film bancal, trop métaphorique, qui souffre d’une opposition un peu caricaturale entre deux mondes et deux femmes. C’est dommage.
La Voix du Nord
Tel un zombie, l’actrice principale erre dans des décors luxuriants et dans un scénario en quête de spiritualité. Morne plaine.
Studio Ciné Live
Quelques plans d'Angkor subjuguent par leur beauté. Mais cela reste insuffisant.
Télérama
Célèbre pour avoir réalisé, entre 2000 et 2004, trois fantaisies légères et satiriques (Ça ira mieux demain, C’est le bouquet ! et Cause toujours !), la réalisatrice a visiblement changé de voie, de philosophie, d’aspirations. Elle y semble déjà à l’aise et encore un peu perdue…
L'Express
Les aficionados du Cambodge apprécieront, peut-être. Quant aux autres...