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Synopsis et détails
Camille a rejoint une mission catholique au Cambodge avec l’intention d’y prononcer ses voeux. Chaque matin, elle emprunte un chemin qui longe la rivière et traverse les ruines d’Angkor. Elle y croise un homme cambodgien, Sambath. Un rituel de rencontre s’établit entre eux…
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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556 abonnés
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1,5
Publiée le 9 septembre 2017
Camille s'est retirée dans une mission catholique au Cambodge avec l'intention d'y prononcer ses vœux. Pour se rendre au village voisin où elle soigne une vieille femme, elle emprunte un chemin dont l'accès lui a été pourtant déconseillé qui traverse les ruines d'Angkor. Elle y rencontre Sambath, un Khmer qui passe par le même chemin pour aller pêcher et dont l'épouse se meurt d'un cancer généralisé.
Le dernier film de Jeanne ...
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Gfa Cro
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30 abonnés
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2,5
Publiée le 13 septembre 2017
Vu et avis le 20170912
L'histoire du film ne fonctionne pas bien, pour le Cambodge.
Le film n est pas vraiment raté, c est surtout que l histoire n arrive pas à prendre réellement. A mon avis, il y a trop de suggestions que la réalisatrice a cru explicites mais ne l' étaient pas assez. Le film devient obscur à force de ces noms dits, de ces suggestions à côté desquelles on passe.
Par exemple, les poissons qui grouillent dans la ...
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traversay1
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1192 abonnés
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2,5
Publiée le 8 septembre 2017
Le chemin de Jeanne Labrune est celui qui, concrètement, serpente près d'une rivières et de ruines de temples d'Angkor. Mais il est aussi celui, spirituel, emprunté par son héroïne (Agathe Bonitzer, (plutôt mieux que d'habitude), jeune nonne en devenir. Il est aussi le lieu de rencontres, espacées, avec un homme (excellent Randal Douc) qui la sensibilise au passé du Cambodge. C'est ce que le film fait de mieux, capter l'âme d'un pays ...
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Daniel C.
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111 abonnés
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5,0
Publiée le 9 septembre 2017
Jeanne Labrune produit ici un chef d'oeuvre. Un film sans tapage, à l'esthétique impeccable, non racoleuse. Cette esthétique est un mouvement à la fois visuel et sonore. Comme le racontait la cinéaste au cinéma L'Arlequin, il y a la structure inaugurale du scénario, inspirée d'un livre lu il y a une vingtaine d'années (un projet envisagé au Japon, qui n'a pu voir le jour) et qui réémerge aujourd'hui dans une écriture nouvelle, comme ...
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C'est la productrice Catherine Dussart qui a fait lire "La Fiancée du roi", un roman de Michel Huriet publié en 1967, à Jeanne Labrune. Ce livre comportait une idée simple et forte : celle d’un croisement occasionnel puis rituel, d’un homme et d’une femme sur un chemin. La réalisatrice explique : "Cette structure offrait beaucoup de possibilités. Catherine m’a proposé de faire l’adaptation. J’ai lu une seconde fois le roman et puis je l...
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S'imprégner des lieux
Avant le tournage, Jeanne Labrune a visité les hauts lieux touristiques du Cambodge, les temples d’Angkor à proximité de Siem Reap et d’autres endroits moins connus. Cela a permis à la cinéaste de s'imprégner de la culture du pays même si elle a ensuite tourné dans des lieux beaucoup plus sauvages. Parmi ces derniers, il y a le village de Ta Om où se trouvait la vieille église du film, un bâtiment qui sert d’école, et tout près, une rivière...
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Les religieuses
La plupart des religieuses du film sont interprétées par des femmes du village de Ta Om et les autres religieuses sont jouées par des femmes vivant au Cambodge, parlant khmer, mais qui ont des origines diverses.