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Roub E.
746 abonnés
4 825 critiques
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2,0
Publiée le 22 août 2020
Une comédie avec un super héros africain au début de la Françafrique voilà ce que propose Black Snake. Comme la plupart de ses précédents films, Thomas Ngijol n’arrive pas à tenir sur la longueur les promesses que le film fait au début. La comédie qui démarre plutôt bien se délite au fur et à mesure du film pour aller vers le franchement moyen voir le carrément mauvais dans le final.
Thomas N'Gijol reste un mystère pour moi, si drôle en one man show et fréquemment à côté de la plaque lorsqu'il sort de sa zone de confort. Ici, encore une fois, l'idée est très bonne et le point de départ du film laisse présager du meilleur. En effet, la bande son est accrocheuse, la photographie intéressante et l'absurdité qui a l'air d'être de mise de bonne augure. Seulement voilà, on tombe rapidement dans la facilité, le n'importe quoi et surtout la vulgarité gratuite. Tout devient rapidement très lourd et l'on se demande souvent où les réalisateurs veulent en venir. Car en effet T. N'Gijol s'est lié à Karole Rocher derrière et devant la caméra pour l'occasion, cette dernière étant assez peu utile à l'écran malheureusement. Hormis l'aspect kitsch plutôt sympathique, on s'ennuie ferme et très rapidement, on rigole certes une ou deux fois mais la plupart du temps les gags tombent à plat et s'avèrent plus gênants qu'autre chose. Bien sûr, on note bien quelques références et un aspect pamphlétaire plus qu'intéressant mais le tout est noyé dans le puéril et le vulgaire, c'est bien dommage mais je suis vraiment passé au travers alors que je n'en attendais déjà pas grand chose ...
Qu'est-ce que c'est difficile de faire un film sur un héros maladroit mais qui se croit classe ! Thomas Ngijol a essayé, et n'en est pas sorti indemne ! L'histoire est plutôt bonne et bien amené, elle a un message qui est important et peu amené au cinéma. L'humour est là aussi, absurde et bon, il fait plus ou moins le boulot. Le problème c'est ce personnage qui n'est pas très bien écrit, on arrive par à le suivre, s'y attacher, ou à y trouver une alchimie ! Il n'arrive pas à nous embarquer dans ce film qui aurait peut-être mérité plus d'écriture ! Un peu moyen !
Une comédie africaine de et avec Thomas Ngijol qui nous avait habitué à mieux jusqu’ici. L’humour de ce film est tellement « bon enfant » qu’il frise le pathétique. D’une ingénuité affligeante, le résultat est consternant, mais, c’est trop gentillet pour être vraiment mauvais.
Voilà une morsure venue d'Afrique qui ne manque pas de cœur. Malgré les rires et la grande classe. De gros problèmes de rythme tout le long, cependant le film restitue une belle image de l'Afrique. Comme dit Booba, je l'avais validée.
Les super-héros étant plutôt à la mode ces derniers temps, Thomas Ngijol a développé idée née sur scène pour signe sa 3ème réalisation en collaboration avec sa partenaire à l'écran Karole Rocher. On sait d'emblée que Black Snake, la légende du serpent noir n'est absolument pas à prendre au sérieux, il n'est rien de plus qu'une grande cour de récréation. La bonne idée c'est d'avoir misé sur cet aspect rétro en situant l'action au début des années 1970 et puis le comique se régale dans ce rôle de pseudo héros sans délicatesse. S'il n'est pas à ranger dans la catégorie des films incontournables, il fait au moins partie de ces plaisirs coupables qui assurent quelques bonnes tranches de rires !
Ce film est pas mal simplement dommage que tout soit dans la bande annonce à savoir le plus drôle ce qui m'a fait rigoler de suite et donné envie de le voir donc honnête divertissement Thomas Ngijol s'est bien amusé , pour le reste chacun ce se fera sa propre opinion
On sait pertinemment que le racisme n’a pas de couleur, c’est comme la bêtise, laquelle n’a pas de frontière. Ce n’est pas parce qu’un noir parle mal des noirs que c’est excusable ou légitime. Mais encore une fois, il y en assez de toutes ces larmes de crocodiles, ces pseudo-indignations, cette censure pour se donner une bonne conscience, toutes ces précautions de langage que je condamne depuis longtemps dans mes critiques (dernièrement « Pédale douce »). Thomas Ngijol s’amuse sans prendre de gants. Ce n’est ni artificiel ni gratuit. C’est la traduction triviale, c’est certain, d’un état d’esprit qui animait les relations hypocrites de la fameuse France-Afrique. A savoir si c’est fin, évidemment non. A savoir si son film est pertinent, évidemment non. A savoir s’il joue avec tous les clichés, évidemment oui et alors ? Il y a bien quelques bonnes situations mais globalement son film signé avec Karine Rocher est relativement ennuyeux. Ce qui me préoccupe c’est cette censure latente, cachée, sournoise qui apparaît dès que l’expression se veut incorrecte sans tenir compte de l’état d’esprit d’une époque ou d’un environnement propice à un langage cru. Il y a peu on susurrait de revoir l’oeuvre « Autant en emporte le vent ». Bientôt on ne pourra plus faire des films subversifs lesquels ont le pouvoir de susciter l’esprit critique. Rien que pour ça, pour contrer tous ces censeurs moralisateurs qui veulent balayer l’Histoire de l’Humanité, en voulant laver blanc plus que blanc (ah oui, il faudrait aussi rayer cette expression comme l’Oréal qui a annoncé retirer les mots comme blanc, clair, blanchissement !!!???!!! », rien que pour ça je mets une étoile supplémentaire pour une comédie somme toute décevante et inoffensive. Et puis, si Thomas Ngijol s’y est mal pris, il a le droit de créer son super héros africain, ridicule soit-il. Et oui, c’est un africain. Et alors ? Louis de Funès n’a-t-il pas campé des personnages ridicules ? « Les bronzés » n’ont-il pas campé des personnages ridicules ? Bref, la note "pas mal" me fait mal pour ce "Black Snake : la légende du serpent noir". Voltaire disait : "Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire." Voilà qui justifie l'étoile supplémentaire. Pour le droit à toute expression. Au fait, faut-il reconsidérer le mot "noir" ?
un film qui ce dit être un film de super héros mais qui en est pas un car pendant tout le film on ce demande à quel moment ça parler ou mettre en scène un super héros trop de scene inutile ! pour un film qui dure 1h20 c est un comble de dire cela mais c'est malheureusement la vérité. Une comédie pas drôle quelque réplique on fait sourire mais ces tout , certains gags sont plutôt bon et pourrait faire rire mais leurs interprété ne font pas rire si cela avais était Fabrice eboue manu payet je pense qu'on aurait rigoler plus pendant le film car Thomas Ngijol ne fait pas rire surtout dans sont interprétation. Une référence à jackie chan plutôt bien venue et qui fait toujours plaisir . En ce qui concerne le scénario c est nul voir affligeant y a rien de bien pratiquement que de dire de la réalisons aussi ?Par contre en revanche un gros point positif c est l'interprétation du petit garçon Mamadou l'enfant qui joue ce rôle et plutôt excellent pour sont jeu âge bon présage pour l'avenir en tous cas je lui souhaite .
Forcément il y a des moments dans le film où on rigole... mais bon ça ne fait pas tout. J'avais l'impression de regarder un Bollywood mais en beaucoup plus grossier. Le scénario est 0 et le script sans doute écrit par une classe de grande section de maternelle. Mais il aura au moins eu le mérite de m'occuper une soirée.
Si vous aimez les films avec des gros gags c est pour vous . C est peut être un peu vulgaire par ci par là d accord mais ça n enlève rien au fait de vouloir détendre et faire rire avec des situations énormes. On s attend pas forcément à ce résultat avant de le voir .
Les parodies ont le vent en poupe mais Black Snake est trop superficiel, avec un scénario peu structuré (pour ne pas dire absent) offrant de trop rares gags. Le "politiquement-incorrect", lorgnant vers OSS117 ou simplement vers les précédents films du duo Ngijol-Eboué tombe ici totalement à plat, tel une caricature sans finesse. Ngijol a un style bien à lui, avec son personnage nonchalant, séducteur, lâche et paresseux , ce qui sauve en partie le film du naufrage (pour ceux qui l'apprécient évidemment) mais une comédie qui ne parvient pas à faire rire ne sera jamais qu'un échec.