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    Patti Cake$
    Note moyenne
    3,4
    22 titres de presse
    • Franceinfo Culture
    • Le Parisien
    • 20 Minutes
    • Ecran Large
    • L'Express
    • Le Dauphiné Libéré
    • Les Inrockuptibles
    • Marie Claire
    • Ouest France
    • Studio Ciné Live
    • Bande à part
    • CinemaTeaser
    • L'Obs
    • Le Figaro
    • Le Journal du Dimanche
    • Les Fiches du Cinéma
    • Voici
    • aVoir-aLire.com
    • Cahiers du Cinéma
    • Critikat.com
    • Le Monde
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    22 critiques presse

    Franceinfo Culture

    par Jean-Francois Lixon

    En piétinant joyeusement les clichés, l'équipe de "Patti Cake$", son réalisateur en tête, a peut-être fait beaucoup pour le rapprochement des générations.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    Le Parisien

    par Catherine Balle

    Un film puissant, qui fait du bien.

    20 Minutes

    par Caroline Vié

    Avec son physique imposant et ses grands yeux bleus, Danielle Macdonald bouffe l’écran avec une hargne épatante gagnant immédiatement le cœur du public par sa soif d’échapper à un destin médiocre.

    La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

    Ecran Large

    par Geoffrey Crété

    Sans surprise, Patti Cake$ brille en grande partie grâce à ses acteurs. Danielle Macdonald se révèle plus qu'excellente dans un superbe rôle, bien loin de se résumer au stéréotype redouté.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    L'Express

    par Eric Libiot

    Un feel goog movie au rap assez trash, soit un mélange vivifiant.

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    La réussite, ou le rêve américain : même pour les obèses, les pauvres, les délaissés. Ici, c’est le slam qui sert de marchepied et les bons sentiments de carburant : on s’y laisse forcément prendre.

    Les Inrockuptibles

    par Emily Barnett

    "Patti Cake$" vaut le coup pour ce tableau d’une Amérique white-trash pleine d’imbécile misère, de poisseuse tristesse, et qui se voit opposer une jeune fille têtue, ses deux copains musicos et sa grand-mère en chaise roulante, qui vont former un groupe.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Marie Claire

    par Emily Barnett

    Patti Cake$ dézingue les stéréotypes du rap et se révèle triplement transgressif, défendant l’idée qu’on peut réussir dans ce domaine en étant une femme, blanche et en surpoids.

    La critique complète est disponible sur le site Marie Claire

    Ouest France

    par Salammbô Marie

    Une belle réussite, tant visuelle que scénaristique, portée par la révélation Danielle Macdonald.

    Studio Ciné Live

    par Thierry Chèze

    L'Americain Geremy Jasper signe avec son premier long, le portrait généreux d'une jeune rappeuse obstinée.

    La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live

    Bande à part

    par Jo Fishley

    Geremy Jasper aurait pu cadrer ça, cette histoire un peu minable, une vie de chien, de white trash (« raclure blanche »). Mais il tient le social en background et surtout, s’interdit tout misérabilisme : son portrait n’est pas économique, ni sociologique, il est dans la vie.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    CinemaTeaser

    par Emmauelle Spadacenta

    Un film sans grand effort de mise en scène, qui vaut véritablement pour ses personnages et ses acteurs.

    L'Obs

    par Nicolas Schaller

    Un conte de fées white trash cousu de fil blanc auquel l’abattage de Danielle Macdonald (une révélation), le bagou des dialogues et les apartés fous, façon comédie musicale, confèrent une personnalité qui manque à la mise en scène.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Figaro

    par La Rédaction

    L'actrice australienne Danielle McDonald crève littéralement l'écran dans ce premier long-métrage ambitieux.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    Le scénario est cousu de fil blanc mais le charme est au rendez-vous : l’héroïne, cousine de l’Anglaise Kate Tempest, est aussi grosse qu’émouvante et les autres personnages, que ce soit la mère instable ou le copain mutique, tous attachants et joliment dessinés.

    Les Fiches du Cinéma

    par Simon Hoareau

    Pour son premier long métrage, Geremy Jasper piétine les clichés et signe une épopée initiatique vivifiante.

    Voici

    par Lola Sciamma

    Si vous n'aimez pas le slam et les gros mots, fuyez ! Sinon, allez-y pour apprécier cette success story white trash, peuplée de "trognes", qui vous laissera à peine le temps de respirer entre deux battles.

    aVoir-aLire.com

    par Gérard Crespo

    Cette success-story musicale ne révolutionne pas le genre mais propose un touchant récit d’êtres à la dérive. Mineur mais agréable.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Cahiers du Cinéma

    par Nicholas Elliott

    Avouons qu’on a vu le film en clôture de la Quinzaine à Cannes, parmi tant de films mornes, et qu’on a passé la fin du festival avec le rap de Patti en tête. Parfois le plaisir n’est qu’une question de contexte : le rap de Patti déchire sur la Côte d’Azur et dans le New Jersey, peut-être pas à Paris et NewYork.

    Critikat.com

    par Alain Zind

    Le film transpire d'une véritable ivresse créative, même si elle manque cruellement de singularité.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Le Monde

    par Isabelle Regnier

    Un bréviaire de correction politique, tout juste sauvé par la performance de son actrice, l’attachante Danielle Macdonald.

    Première

    par Christophe Narbonne

    Tous les ingrédients du feel good indé sont là : l’environnement pourri (familial et social), l’héroïne volontaire au destin contrarié, le style docu crado… Geremy Jasper n’est cependant pas Curtis Hanson et son 8 Mile au féminin manque d’aspérités et d’authenticité.

    La critique complète est disponible sur le site Première
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