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    Tremblements
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    3,5
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    40 critiques spectateurs

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    Olivier Husson
    Olivier Husson

    4 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 décembre 2019
    Totale maîtrise du sujet pas facile, contemporain du Guatemala, maîtrise aussi des dialogues, de la photo!, et tous les acteurs sont brillants; à l'image de la dernière image: sublime!
    ginkgollie
    ginkgollie

    22 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 mai 2019
    Très beau film... C'est vraiment très triste, cette histoire... Cette situation est toujours dans le monde, certaines personnes cherchent à éradiquer l'identité homosexuelle, comme contre la nature... C'est bien dommage de laisser choisir la vie de chacun, il n'ya pas des règles universelles...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 mai 2019
    On ne plaisante pas avec l'homosexualité au Guatemala. La pression de l'Eglise, le poids de la société...comment faire ? Un film lourd de sens, pudique mais sans hypocrisie. A voir.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 mai 2019
    Film profondément malfaisant, ennuyant, homophobe et creux. On qualifie l’inqualifiable, l’intolérance est vue comme la normalisation et ça c’est profondément choquant notamment en 2019 ! « Bouleversant » dans le très mauvais sens, effectivement... comment encourager l’homophobie et lui donner une légitimité : voilà ce qu’est ce film, un torchon de haine avec un scénario bas de gamme ! Lamentable.
    PouletCurry
    PouletCurry

    25 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 septembre 2019
    Bien que l'homosexualité soit un thème d'actualité, l'idée de réaliser un tel film était bonne. Le début aussi était bon, car il jetait les bases d'une intrigue... qui n'arrivera finalement jamais. La suite du film suit le personnage qui erre dans la saleté du Guatemala, soutenu par de rares amis et rejeté, évidemment, par sa famille. L'ensemble laisse froid alors que je m'attendais à un film plus émouvant; on s'ennuie un petit peu alors que je m'attendais à quelque chose de plus rythmé.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 décembre 2019
    C'est sûr le film Tremblements de Jayro Bustamante, ne va pas faire plaisir en Europe de l'Ouest où les gens croient que tout est acquis. Que rien ne viendra stopper les avancées sociales et les droits des minorités. Avec ce film on s’aperçoit que ces acquis sont en fait bien fragiles et que tout peut changer bien vite. L'Eglise est là en embuscade prête à se raviser, n'attendant que les signes d'un conservatisme sociétal revenus. En Amérique du Sud on remarque que la lutte pour les droits des minorités est bien précaire, et que vous êtes vite rejeté par une société majoritairement hostile. Donc le film est un cri d'alarme. Le film nous met en garde. Dans le film la famille castre l'individu. Elle est la défenseure d'un droit rigide, gardienne de la morale. Pablo, le personnage central du film, est oppressé. Il n'a que d'autre choix que de réintégrer le lieu "protecteur" de sa famille. L'individu est absorbé par le collectif. Sa vie lui échappe. Il perd tout contrôle sur lui-même pour mieux disparaître dans un asservissement familial. C'est glaçant ! On voit aussi une critique du mercantilisme des Églises évangéliques. Pablo va intégrer un camp pour devenir un vrai homme dans un "processus de guérison" avec lutte gréco-romaine et douche collective au programme. Ce n'est pas si drôle lorsqu'on sait qu'aux Etats-Unis des hommes qui ne se trouvent pas assez virils, intègrent des camps paramilitaires de pacotille, avec une formation militaire pour devenir de vrais guerriers. Le film rend mal à l'aise et il interroge. Il faut signaler l'excellent travail du directeur de la photo, Luis Armando Arteaga.
    Gerry G.
    Gerry G.

    4 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 mai 2019
    c'est long ... les images sont sombres. les réplique d'un autre siècle ... long mais long. je n'ai compris l'intérêt d'un tel film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 mai 2019
    Bravo. Superbe. Magnifique. Que dire de plus sur ce film bouleversant ? Courez-y, j’ai été surprise par tant de poigne et de finesse.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 3 juin 2019
    Le film débute par une scène étouffante. En pleine nuit, sous une pluie battante, un homme rejoint en voiture une résidence ultra sécurisée. C’est sa maison, mais il ne semble pas y être le bienvenu. A l’intérieur, sa femme et plusieurs membres de sa famille, dont ses parents, l’attendent de pied ferme. Aucune parole n’est échangée, il s’effondre dans son lit, accablé semble t-il de tristesse, de honte… Le film nous dévoile petit à petit la vie complexe de Pablo, tiraillé entre ses devoirs de mari et de père de famille et son amour pour un autre homme, Fernando. Pour sa famille ultra conservatrice et pétrie de valeurs religieuses, l’homosexualité est un scandale, une abomination. Le mot même d’homosexualité n’est pas prononcé car n’est pas même pensable. Tout est entrepris, jusqu’à une solution extrême, pour remettre cet homme dans le « droit chemin », pour sauver les apparences d’une famille traditionnelle.
    Tout au long du film, Pablo tâtonne, hésite, est constamment accablé par cette impossibilité de vivre pleinement et sereinement son désir. Toute la dureté de cette vie empêchée et entravée est magnifiquement portée par le jeu tout en intériorité de Juan Pablo Olyslager, superbe dans ce rôle.
    A une époque où la lutte pour les droits des couples homosexuels portent ses fruits avec la reconnaissance du mariage dans de nombreux pays, ce film guatémaltèque nous rappelle que cette évolution sociétale majeure est loin d’être la règle, notamment en Amérique du Sud où l’Église défend âprement sa vision de la famille et de la société.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 mai 2019
    Superbe et dramatique
    La fin nous laisse un goût bizarre
    Images toujours sombres qui s’accentuent avec les tremblements de terre
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