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    Call Me By Your Name
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    640 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 mars 2018
    Le plus beau film romantique de l'année, j'ai adoré ce film et je conseil tout le monde de le voir
    Un beau film d'amour
    Aude M.
    Aude M.

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mars 2018
    Beau, poétique. Belle interprétation et réalisation. L'Italie, l'été, la naissance d'un amour atypique.
    A voir
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 mars 2018
    Sublime!!!! Je vais aller le voir pour la 3ème fois!
    Paysages superbes, une histoire d’amour magnifique, érotique, sensuelle, je suis sous le charme, sous le choc, mon meilleur film pour 2018.
    Les acteurs sont magnifiques (un petit faible pour le grand Armie....) et nous transportent dans leur histoire. Bravo!
    Clara A.
    Clara A.

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2018
    Ce film est tout simplement magnifique et fabuleux. Dès lors que vous le commencez vous ne pouvez plus vous arrêter. L’histoire ce passe dans un environnement bucolique idyllique d’une ancienne Italie qui met dès les premiers moments le spectateur dans une certaine nostalgie des campagnes européennes et de la jeunesse. Des lors on se met à la place du personnage principale Elio, on vit toutes ses émotions cela nous emmène dans un autre monde extrêmement agréable. Malheureusement lorsque le générique de fin apparaît, une certaine nostalgie fait surface; pour ma part j’aurais voulut que ce film ne s’arrête jamais et me retrouver moi même à la place d’Elio. Mon bilan ce film est extrêmement fort je ne sais même pas comment l’expliquer, il a un certain mélange d’émotions naïveté, passion, tristesse et amour .
    alexandradelaunay
    alexandradelaunay

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2018
    Un bijou, de l'or à l'état pur. Tout ce pour quoi j'aime le cinéma : aller du singulier vers l'universel, tout ça dans dans une atmosphère lumineuse, verdoyante, intellectuelle, douce et enrobée par une bande originale épatante. Les personnages sont bouleversants de justesse, Elio et son adolescence frêle et innocente, Oliver, sa maturité, son charisme et sa délicatesse.
    V.F
    V.F

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2018
    Émouvant et troublant, les deux acteurs réalisent une véritable prouesse ! Au-delà d’une « amitié » inexplicable, ce film est un déluge d’émotions en tout genre, du rire aux larmes, de la joie à la colère, formidable !
    stnrd
    stnrd

    1 abonné 27 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2018
    C’est le plus beau film que j’aie vu depuis des années !
    C’est d'abord une merveilleuse histoire d’amour, mais qui fait vibrer bien d’autres cordes, une histoire tissée dans la trame d’une vie idéalement imprégnée d’art, de culture, de savoir, dans la douceur fugace d’un été de la campagne italienne. Cette campagne rêvée se trouve évoquée par de multiples petites touches qui sont autant de moments de douceur ineffable, dans un temps qui semble suspendu : piazza alanguie sous le soleil, plongeon dans la rivière, feuillage bruissant au travers d’une fenêtre, vélo roulant sur le gravillon de l’allée…
    Bien sûr le genre des films de coming-of-age associé au coming-out pourrait apparaître désormais bien balisé, voire rebattu, mais aucun n’atteint à cette plénitude dans l’évocation de moments où la vie s’ouvre à tous les possibles, sans renier la richesse de la patiente construction intérieure d’un adolescent introverti et solitaire.
    Et que dire de la performance de Timothée Chalamet, absolument parfait et bouleversant de vérité, incarnant un personnage fragile et hypersensible avec une pointe d’espièglerie à peine suggérée
    marc C.
    marc C.

    24 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2018
    Pur chef d'oeuvre de sensibilité et de finesse.
    les deux acteurs sont sublimes,les parents aussi(merveilleuse Amira Casar).
    Filmé dans cette Italie si belle et si authentique ce film est un joyau sur les premiers émois et le sentiment amoureux.
    Il ya bien longtemps que je n'avais pas éprouvé un si merveilleux moment de cinéma.....
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 mars 2018
    Des longueurs...
    et un excès de complaisance qui "simplifie" le propos du film au lieu de l'enrichir.
    Dommage.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 151 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 août 2019
    Deux heures et onze minutes… Voilà à quoi je pourrais résumer le problème de ce « Call Me By Your Name ». Parce que bon, si je fais bien le compte, au final, il n’a quand même pas grand-chose à proposer ce film. OK, ça peut toujours être sympa de faire un petit film basique avec des choses très simples comme c’est le cas ici avec cette très classique histoire d’amour pétrie d’interdit social. Après tout, si c’est frais, sincère et généreux, moi je peux être capable de dire « pourquoi pas… » Mais là, c’était juste « Mission : Impossible » pour Luca Guadignino que d’espérer atteindre ces objectifs là en étalant sur 2h11 si peu de contenu ! Parce qu’à bien tout prendre, par quoi sont occupées ces 2h11 ? Par de longs repas, de longues balades en vélo, de longues discussions durant lesquelles les deux héros piétinent à faire avancer leur relation… Alors certes, peut-être que si Luca Guadignino a décidé de raconter son histoire avec autant de temps longs, de redondances et de scènes illustratives du quotidien, c’est parce que le roman original dont est tiré ce film est lui-même pétri de temps longs, de redondances et de scènes illustratives du quotidien. Il n’est d’ailleurs pas impossible que tout ça se ficelle très bien dans le livre d’André Aciman (pour le coup je ne pourrais pas vous le dire puisque je ne l’ai pas lu), mais là, en format long-métrage, je suis désolé, mais le travail d’adaptation n’a – à mon sens – pas été accompli comme il se devait. Le travail d’adaptation, ça implique de questionner la structure du récit par rapport au média qu’on utilise. Or, le cinéma ce n’est pas une œuvre qu’on parcourt en plusieurs fois, au gré de nos temps de lecture, et pour lesquels les cycles narratifs peuvent avoir du sens. Un film se voit d’un bloc sur un temps très court. La dynamique n’est donc pas la même. Une progression en longues plages qui se répètent comme c’est le cas dans ce « Call Me By Your Name » c’est juste terriblement plat. Parce que ce n’est pas comme si on ne connaissait pas le schéma narratif. On comprend très bien et très vite de quoi il retourne. Alors du coup, quand il faut attendre plus d’une heure pour qu’enfin le désir commun des deux protagonistes soit avoué, c’est trop LONG. Si encore ce temps là avait été occupé à enrichir l’univers et les personnages, j’aurais encore pu dire « pourquoi pas ». Mais non. A la place, Luca Guadignino nous propose donc de longues illustrations de scènes de vacances qui ne servent qu’à entretenir un vaste décorum intello-judéo-bourgeois qui, pour le coup, n’alimente en rien notre compréhension des personnages ou ne nuance en rien la nature de la relation qu’entretiennent Elio et Oliver. Ainsi, non seulement le film s’alourdit de détails périphériques inutiles et redondants, se réduisant parfois à un véritable film de vacances, mais en plus il ne parvient jamais à aller au-delà de la simple multiplication d’illustrations y compris en ce qui concerne la relation entre Elio et Oliver ! Parce qu’on en verra des scènes où Elio et Oliver se cherchent et/ou se font des papouilles ! Ah ça ! On est gâtés ! Maintenant, à savoir ce qu’Elio trouve à Oliver et ce qu’Oliver trouve à Elio : pour le coup, on repassera ! En gros, on nous montre dès les premières minutes qu’Elio a le crush pour Oliver parce que ce dernier est gaulé comme un athlète olympique. Allez… Peut-être que l’étalement de culture du bel Oliver sur l’étymologie du mot « abricot » a sûrement aussi joué sa part (Ironie). Quant à Oliver, eh bah… Eh bah on ne sait pas en fait. Ce mec est un véritable mur émotionnel toute la première moitié du film. Tout ce qu’on comprend de lui par rapport à ce qu’on nous montre c’est que c’est juste un indécrottable queutard prêt à se taper n’importe qui, tout sexe confondu, pourvu que ses cibles ne dépassent pas vingt ans. Et tout ce qu’on découvrira de lui dans la deuxième partie, eh bah c’est tout simplement qu’en fait Oliver aimait Elio depuis le début… Mais bon, sans que pour autant on puisse comprendre pourquoi. Seul détail troublant : il demande à Elio de l’appeler par son nom. Certains y voient peut-être un magnifique acte fusionnel. Moi j’y vois surtout un gars qui prend son pied en appelant son partenaire sexuel par son propre nom. Ça aurait dû être quoi l’étape d’après ? « Mets un miroir sur ton visage ? » Bref, moi, j’ai quand même du mal à y voir du glam dans cette relation… Alors après, qu’on s’entende bien. Quand je dis tout ça ce n’est pas pour exiger d’un film qu’il construise forcément deux personnages adorables et qu’il nous explique ensuite tous les tenants et aboutissants de leur relation amoureuse. Non. Que le film entretienne une part de non-dit, ça a du sens. Mais d’un autre côté, il a aussi la possibilité de suggérer des choses. Un film qui nous raconte une histoire d’amour a la possibilité de nous ouvrir un espace pour que nous, spectateurs, où on va pouvoir partager, questionner, contredire les personnages et les actions qu’on nous montre à l’écran. Ça s’appelle l’interaction avec l’œuvre. Ou mieux encore, ça s’appelle l’immersion dans l’œuvre ! Or, comment voulez-vous que je m’immerge si on reste sans cesse en surface et qu’on ne me donne rien pour creuser personnellement la question ? Alors certes, c’est vrai on peut aussi juste s’immerger du simple fait de voir des gens se bisouter sans qu’on sache vraiment pourquoi, juste pour le plaisir de l’émotion et des scènes coquines. Oui, on peut. Au Japon, ça porte même un nom ça : on appelle ça un « yaoi ». Alors après pourquoi pas. Moi, même si je ne suis pas fan du genre, je n’ai rien contre les yaoi. Mais quitte à en faire un, dans ce cas-là autant le faire bien. On arrête de tourner autour du pot pendant une heure. On est cohérent dans sa réalisation jusqu’au bout (pourquoi panoter pudiquement lors d’une scène de sexe explicite et faire un cadre dégueulasse sur un arbre en pleine nuit quand cinq minutes plus tard tu oses filmer une fellation plein champ ? Où est la logique ?) On essaye de ne pas faire n’importe quoi techniquement, même si c'est dans l’espoir de briser artificiellement la monotonie du film (genre en inversant les couleurs de manière totalement injustifiée sur certains plans ; de filmer certains baisers sans que le point ne soit fait convenablement ; ou bien encore d’insérer aléatoirement dans l’intrigue un plan dégueulasse où on dévale un chemin terreux comme si on était le guidon d’un VTT… Non seulement c’est hideux, mais en plus ça n’apporte rien.) Et surtout, on monte son film et on pense ses scènes de telle manière à ce que toute tension sexuelle ne retombe pas dans l’instant ! ( spoiler: Moi je cherche encore la logique qu’il y a dans le fait de commencer une fellation puis de l’arrêter dans l’instant en disant : « Ah super tu es encore capable de l’avoir dure ! Allez ciao bello ! » Même chose dans cette scène avec la pêche qui m’a refilé un véritable fou-rire tellement je l’ai trouvé ridicule et téléphonée.
    ) En somme, j’avoue qu’au final, je suis ressorti de ce « Call Me By Your Name » plus que dubitatif. Et ce qui me dérange le plus dans tout ça c’est que, au regard des cinq dernières minutes, je me suis dit qu’il y avait pourtant moyen d’en faire un film sympa. Au fond, le film n’est pas si prétentieux que cela. Il aurait d’ailleurs pu être simple et léger. Mais bon, pour cela il aurait fallu faire les bons choix et ne pas enkyster de partout ce film de détails « trendy » qui l’alourdissent et le rendent franchement ridicule. Il aurait fallu virer toutes les discussions bobos superflues dans la maison ou autour de la table ; il aurait fallu raccourcir drastiquement ou enrichir considérablement la phase où Oliver et Elio se tournent autour. Et surtout il aurait fallu virer toutes ces scènes qui ne sont là que pour faire du « Oulala ! Vous avez vu ce qu’on ose ! » et qui tombent régulièrement à plat. On aurait alors obtenu un film de 40 minutes plus que convenable, qui aurait donné autant d’impact à sa fin, mais avec l’ennui et le ridicule en moins… Mais bon, malheureusement ce film qui aurait pu exister n’existe pas. A la place, dans les salles de cinéma, c’est donc la version de 2h11 de Luca Guadignino qui est diffusée. Et ça, oui, pour le coup, c’est quand-même un sacré problème… Mais bon, après ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    Victor A.
    Victor A.

    53 abonnés 388 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mars 2018
    Au contraire de bon nombre de personnes , Call Me By Your Name ne m'a pas totalement emballé. Je trouve tout d'abord que le jeu de Timothé Chalamet est assez inégale. Ensuite je trouve est assez long pour qu'au final il ne raconte pas grand chose.
    djami M.
    djami M.

    8 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 mars 2018
    Ce film est ennuyeux et très très long ! Je n'ai pas vu le chef d'œuvre tant vanté par les critiques.
    Je pense que si l'histoire ne s'était pas déroulé dans les magnifiques paysages italiens ce film serait passé inaperçu.
    Mention spéciale à Amira Casar très juste.
    Cinephille
    Cinephille

    135 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 mars 2018
    N’etant pas gay je n’ai pas été sensible à l’erotisme du film, étant capable de sentiments j’ai été sensible à l’histoire d’amour même si le sentimentalisme exacerbé qui s’installait de plus en plus me semblait too much. Ça pourrait être un vrai bon film si la dernière heure ne s’étirait pas interminablement vers une fin qu’on sent quand même bien venir. Le père est pour moi une erreur de casting, il ne va ni avec la mère ni avec le fils. Par ailleurs beaucoup rêvent d’avoir ou d’avoir eu des parents aussi �intelligents� que ceux du film alors que pour moi cette bienveillance relève d’une possessivité à la limite de la perversite. Ceci étant dit, la réalisation tient la route la photo est belle et c’est un film tout à fait honorable.
    sabine F
    sabine F

    2 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 mars 2018
    encore un film de propagande qui vise à tout prix à imposer un nouveau "modèle", qui malheureusement n'est pas exempt de déni ni de violence psychologique.
    Vinz1
    Vinz1

    125 abonnés 2 296 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 mars 2018
    « Call me by your name » est bien plus qu’un simple amour de vacances et il nous raconte les premiers émois d’Elio, le fils d’un professeur émérite. Il va ainsi, le temps d’un été dans la maison familiale sise en Italie, rencontrer Oliver, un jeune doctorant américain, beau comme un Dieu grec. Au-delà de la beauté des deux interprètes principaux (Timothée Chalamet et Armie Hammer sont formidables tant l’osmose entre les deux est palpable) et de cette histoire d’amour amenée délicatement, il y a également la magnificence des décors dans une demeure à l’ambiance bourgeoise et érudite, ou encore dans des petites villes qui sentent bon la « Dolce Vita », mais aussi dans une campagne encore sauvage restant à apprivoiser. Mais tout cela n’est jamais tape-à-l’œil et immortalisera encore plus cette rencontre amoureuse unique pour les deux protagonistes principaux. Le summum restera tout de même le monologue final du père d’Elio expliquant à son fils qu’il a eu énormément de chance de vivre une telle relation qu’il jalouse même un peu. Une scène qui, pour moi, vaut tous les Oscars et autres Palmes décernés à des films plus grand-public sortis également en 2018…
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