Derniers Avis : La Femme à la fenêtre - Page 5

Calqué sur des classiques du genre et exploitant un suspense à la Hitchcock, on suit sans passion ce film convenu grâce au talent de l'actrice principale et à la mise en scène parfois inventive.

J ai lu le livre qui était excellent.Le film est une catastrophe aucune subtilités ne respecte pas le livre si on n a pas lu le livre on ne comprend rien.Film baclé à eviter

Le thriller est vraiment génial. On ne pouvait deviner la fin. L’actrice est très convaincante dans son jeu.
A un moment donné tu penses que le film est à la genre « La fracture, Shooter Island » mais au final ça nous surprend. De plus les plans sont trop bien.
Je ne comprends vraiment pas la sous-note qu’il a, ni les gens qui bazardent leur haine.

Moi qui pensais que ce film allait être un film d’horreur !

Aujourd’hui on s’attaque à:" La Femme a la fenêtre", ou plutôt le titre Original que je trouve glace:" The Woman of the Window".

C’est un film qui est un peu comme un film d’horreur d’un certain point de vue mais si on non, c’est pas vraiment un film d’horreur. Même si il fait peur et on peut se ronger les ongles.
J’avais beaucoup d’attentes et je suis pas déçu. Je trouve ça dommage qu’il n’a pas été apprécié par la critique avec un note de 5/10.
Le pire défaut du film, c’est le début ou je me suis vraiment ennuyé et j’accroché pas du tout.
Mais après 20 minutes environs, c’est devenu génial et je restais abasourdi sur ce film.
(Critique pas fini)

J'ai tout bonnement adorée ce film. Il est visuellement magnifique et l'intrigue est vraiment attrayante. On plonge dans la paranoïa d'Anna, on est révoltés par tout ce qu'elle découvre et pourtant personne ne la croit. Riche en rebondissement j'en ai parfois eu des sauts au cœur, ce film me rappelle particulièrement Shutter Island.
Je le recommande fortement

Outre la prestation des acteurs sur laquelle l n'y a rien à redire, ce remake raté (à mon gout) de fenêtre sur cour m'incite à dire purement et simplement qu'elle aurait mieux fait soit de fermer les volets , soit d'ingérer une forte dose de médocs et d'alcool pour en terminer définitivement avec son délirium .

Bien décevant ! Très théâtralisé (trop), scènes expédiées, l'impression que les différentes plans séquence ne sont pas dans le même film, scénario des plus classiques. Exceptée Amy Adams pour son jeu, le reste n'est qu'ennui. 1.5/5 ! A éviter !!!

Une psy agoraphobe perturbée dit avoir assisté à un meutre.
La trame est classique et on a l'impression d'avoir vu les rebondissements ailleurs mais le tout se regarde sans peine. L'histoire est bien menée, on ne s'ennuie pas, le casting est 4 étoiles et les rebondissements maintiennent en haleine le film.
Je ne suis pas certain de m'en souvenir dans un an mais le film fait passer une bonne soirée.
Au surplus, il est amusant que l'adresse donnée dans le film soit la vraie et la maison visible sur Google street.

Voyons. Si vous souhaitez mettre quelque chose à la télé pendant que vous cousez les insignes de scout de vos enfants, ou bien si vous avez épuisé le catalogue de votre fournisseur de vidéos favori et vous regardez votre smartphone pendant le film, vous pouvez regarder sans peine, il fera l'affaire.
Si, en revanche, votre temps est précieux et vous souhaitez un film bien construit, passez votre chemin. Il dure une heure de trop, avec des longueurs et des invraisemblances qui ne rajoutent rien au scénario. Vous allez vous ennuyer.
Ca se laisse voir, mais ne vous attendez pas au niveau d'un Robert Altman.

Une variation affichée et plus poussée de Fenêtre sur cours d'Hitchcock mais pas que. Un récit qui prend une autre direction, une tournure surprenante, notamment en rapport avec le passé de son personnage central. Isolement, paranoïa, peur du monde extérieur, schizophrénie sont autant de thèmes évoqués, appuyés par un climat tendu. Un thriller inquiétant, théâtral par moments (dû au huit clos) et au dénouement tout de même alambiqué! A noter, un casting de renom.

J'ai apprécié ce film, pour le jeu des acteurs comme pour la façon dont les scènes sont filmées.
Il y a un jeu d'ombres interessant dans ce film, et à l'inverse de la plupart des films du genre, je ne me suis pas attendu à la fin.
Petit film sympa et sans prétention qui est agréable à regarder un jour de pluie enmmitouflé dans un plaid :)

"La femme à la fenêtre" est un hommage clairement pas masqué au "Fenêtre sur cour" d'Hitchcock. Si le scénario est correct et aurait pu donner un résultat intéressant, que l'interprétation, notamment d'Amy Adams, est plutôt bonne, le film est gâché par une mise en scène vraiment ratée qui fait qu'on se désintéresse progressivement. L'intérêt est censé venir du fait de suivre un personnage principal témoin d'un meurtre et en qui personne ne croit, sauf que quand vous suivez un personnage reclus dans sa maison, addict aux médicaments prescrits par son psy et bien le spectateur lui-même n'y croit plus. Aucun rebondissement ne fonctionne, surtout car la mise en scène nous y a tellement préparé qu'on a déjà tout compris. Le montage de la séquence finale on dirait un sketch vraiment, aucun talent dans la création de la tension, des gros plans sur des fusils de Tchekov, une utilisation complètement à côté de la plaque du numérique et j'en passe. Un colossal gâchis.

Sur Netflix, j'ai regardé ce film un peu au hasard sans avoir lu le contexte de la réalisation. Sans connaître les influences et le casting, et surtout l'existence du livre. Le titre du film m'avait déjà fait pensé à Fenêtre sur cour donc pas de surprise pour moi de voir un film inspiré du genre.
Il faut avouer que c'est un peu compliqué de créer un film qui n'est pas influencé par un autre. Cherchez une œuvre totalement originale avec uniquement des ficelles qui n'ont jamais été explorées.
Tout ceci dit, j'ai fortement apprécié le jeu des acteurs, la réalisation, l'ambiance. C'est un film à voir et qui, je l'espère, influencera des réalisateurs qui créeront des films plus inspirés qui feront davantage l'unanimité.

Alors je pense avoir été très bon public car au vue des mauvaises critiques, je me sens un peu seul. Déjà, ce qui est certain, c'est que "La femme à la fenêtre" bénéficie d'un casting cinq étoiles. Amy Adams, qui campe un personnage complexe et tourmenté, porte ce thriller hitchkockien sur ses épaules. Psychologue agoraphobe et alcoolique, elle passe ses journées à espionner ses voisins à travers ses fenêtres jusqu'au jour où elle assiste à un meurtre... Mais est-ce la réalité ou le fruit d'hallucinations ? Son interprétation de femme à la dérive pèse beaucoup dans la balance, accompagnée de près par Gary Oldman et Julianne Moore qui viennent compléter le tableau. J'avoue que les très maigres partitions de Jennifer Jason Leigh et Anthony Mackie m'ont laissé sur ma faim. Ensuite, ce qui m'a séduit, c'est la palette de couleurs tapageuse utilisée pour dépeindre cet appartement new-yorkais. Joe Wright s'empare du best-seller d'A.J. Finn et réussit à créer un tourbillon visuel assez délirant et inventif. L'appartement, lieu unique de l'action, semble s'articuler comme un Rubik's Cube imprévisible et participe à la création d'une atmosphère parano et étrange, et même si celle-ci n'est pas maitrisée de bout en bout, elle n'en est pas moins originale. Ce qui divise, c'est l'intrigue, passe-partout et faiblarde en twists pour une grande majorité de critiques. Il faut dire que "La femme à la fenêtre" a également souffert d'une post-production plus que laborieuse, ce qui ne plaide pas vraiment en sa faveur... Pour ma part, je ne l'ai pas ressenti ni perçu comme un ratage complet. Certes, ça manque de finesse et d'impact côté scénario, le dernier acte horrifique et spectaculaire aurait aussi pu être mieux articulé, mais en tant que film Netflix, il se regarde sans se forcer ! Même s'il ne fait figure que d'exercice de style dans la filmographie de Joe Wright, cela reste un très beau rôle dans la carrière d'Amy Adams...

Belles images, belles musiques, beau casting...
Du déjà vu : l'histoire d'une apparente paumée (hallucinée/névrosée) qui a vu un crime et qui n'est crue par personne.
Mais le dénouement est bien amené et cela surprend.
Belle scène de Gary le mari rigide en colère face à la psy agoraphobe : "n'approchez pas de mon fils!".
Un plan audacieux : la voiture renversée dans un miroir traumatique.
Le final est exagéré dans sa forme (cette faible femme est bien solide en fait) : c'est à cause de ce final que sera ôtée la 5ème étoile.