Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Autour de sa jeune héroïne, courageuse et fervente, la cinéaste Marie Dumora parvient à tisser un récit fort et émouvant où le champ et le hors-champ se répondent habilement.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
Au-delà d’une situation particulière, c’est ainsi l’histoire universelle d’une quête du bonheur qui nous est livrée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
La cinéaste sait souligner les petites choses du réel, les émotions, les conversations, les rêves dits tout haut qui donnent ainsi à son film une forte densité humaniste.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Humanité
par Dominique Widemann
Montage et découpage distribuent les fragments, comme prélevés aux arbitraires et omissions des films de famille. Mais Marie Dumora use d’observations longues et fines. La caméra ne prétend pas se faire oublier, signature singulière.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Dans ce documentaire, la réalisatrice Marie Dumora retrace le parcours d’une jeune fille yéniche à différents âges, dressant le portrait sensible et non moralisateur d’une femme déterminée à surmonter les obstacles d’une vie chaotique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce film inclassable de Marie Dumora sur une famille miraculée recèle de grands moments de cinéma.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Nouveau chapitre de l’œuvre au long cours que Marie Dumora tisse, telle Pénélope, depuis 2000, autour des deux sœurs yéniches Belinda et Sabrina (et de leurs proches). Un documentaire conçu comme une tragédie grecque, mais dans lequel l’espérance résiste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Jérémy Piette
Marie Dumora forge humblement son cinéma tel un circuit libre, ouvert sur l’instinctif : sans forceps, larmes, bons sentiments ou pitié mal placée, sans filtre non plus qui viendrait polir les paroles et accents du coin. Mais cette modestie n’induit aucune mollesse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Eric Vernay
C'est déchirant.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Un film à vif, dont on sort secoué.
Transfuge
par Damien Aubel
(...) quand le docu cerne la vie au plus près.
CNews
par La rédaction
(...) émouvant (...).
L'Express
par Antoine Le Fur
A trop vouloir chercher la vérité, le film finit par tomber dans la complaisance. Reste Belinda, attachante malgré tout.
L'Obs
par François Forestier
Marie Dumora a su capter, avec chaleur, l’âme d’une Gavroche espiègle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"Belinda" est techniquement un documentaire, au sens où il enregistre les vraies vies de vraies gens, mais sa construction, son montage, ses choix de personnages et de situations finissent par lui insuffler une véritable dimension romanesque. Magnifier des êtres du bas de l’échelle sociale sans rien trahir de leur condition ni de leur vérité, c’est une forme d’engagement politique, éthique, et surtout un très beau travail de cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
Ce parti pris aboutit à un portrait brut, jamais manipulateur. Qui reste en mémoire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
En jouant le jeu du déni psychologique d’une part et en minimisant les déterminations sociales de l’autre, la mise en scène pense faire preuve de générosité romanesque vis-à-vis de son héroïne, quand elle s’interdit en réalité de l’aider à retrouver un peu de sa liberté.
Positif
par Louise Dumas
La construction du documentaire induit une fatalité qui, bien loin de donner un souffle romanesque à son héroïne, lui ôte plutôt sa liberté.
Bande à part
Autour de sa jeune héroïne, courageuse et fervente, la cinéaste Marie Dumora parvient à tisser un récit fort et émouvant où le champ et le hors-champ se répondent habilement.
Critikat.com
Au-delà d’une situation particulière, c’est ainsi l’histoire universelle d’une quête du bonheur qui nous est livrée.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La cinéaste sait souligner les petites choses du réel, les émotions, les conversations, les rêves dits tout haut qui donnent ainsi à son film une forte densité humaniste.
L'Humanité
Montage et découpage distribuent les fragments, comme prélevés aux arbitraires et omissions des films de famille. Mais Marie Dumora use d’observations longues et fines. La caméra ne prétend pas se faire oublier, signature singulière.
La Croix
Dans ce documentaire, la réalisatrice Marie Dumora retrace le parcours d’une jeune fille yéniche à différents âges, dressant le portrait sensible et non moralisateur d’une femme déterminée à surmonter les obstacles d’une vie chaotique.
Le Monde
Ce film inclassable de Marie Dumora sur une famille miraculée recèle de grands moments de cinéma.
Les Fiches du Cinéma
Nouveau chapitre de l’œuvre au long cours que Marie Dumora tisse, telle Pénélope, depuis 2000, autour des deux sœurs yéniches Belinda et Sabrina (et de leurs proches). Un documentaire conçu comme une tragédie grecque, mais dans lequel l’espérance résiste.
Libération
Marie Dumora forge humblement son cinéma tel un circuit libre, ouvert sur l’instinctif : sans forceps, larmes, bons sentiments ou pitié mal placée, sans filtre non plus qui viendrait polir les paroles et accents du coin. Mais cette modestie n’induit aucune mollesse.
Première
C'est déchirant.
Studio Ciné Live
Un film à vif, dont on sort secoué.
Transfuge
(...) quand le docu cerne la vie au plus près.
CNews
(...) émouvant (...).
L'Express
A trop vouloir chercher la vérité, le film finit par tomber dans la complaisance. Reste Belinda, attachante malgré tout.
L'Obs
Marie Dumora a su capter, avec chaleur, l’âme d’une Gavroche espiègle.
Les Inrockuptibles
"Belinda" est techniquement un documentaire, au sens où il enregistre les vraies vies de vraies gens, mais sa construction, son montage, ses choix de personnages et de situations finissent par lui insuffler une véritable dimension romanesque. Magnifier des êtres du bas de l’échelle sociale sans rien trahir de leur condition ni de leur vérité, c’est une forme d’engagement politique, éthique, et surtout un très beau travail de cinéaste.
Télérama
Ce parti pris aboutit à un portrait brut, jamais manipulateur. Qui reste en mémoire.
Cahiers du Cinéma
En jouant le jeu du déni psychologique d’une part et en minimisant les déterminations sociales de l’autre, la mise en scène pense faire preuve de générosité romanesque vis-à-vis de son héroïne, quand elle s’interdit en réalité de l’aider à retrouver un peu de sa liberté.
Positif
La construction du documentaire induit une fatalité qui, bien loin de donner un souffle romanesque à son héroïne, lui ôte plutôt sa liberté.