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    L'Opéra - le film
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    42 critiques spectateurs

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    WutheringHeights
    WutheringHeights

    99 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 avril 2017
    Faisceau de portraits entrecroisés, le film de Jean-Stéphane Bron est traversé par des personnalités hors normes (...). Un documentaire passionnant.

    LA SUITE :
    Stéphane C
    Stéphane C

    54 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 avril 2017
    Des lessiveuses au Baryton en passant par l'Orchestre et les ballerines, ce documentaire passionnant nous plonge dans les entrailles de l'Opéra de Paris, une institution à l'organisation complexe et millimétrée où fourmillent tant d'acteurs, et qui suscite une immense fierté. Ce film nous rappelle aussi la place essentielle de la culture dans notre société, une matrice précieuse qu'il faut préserver et dont il faut impérativement faciliter l'accès ... de toute beauté !
    Loïck G.
    Loïck G.

    282 abonnés 1 629 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 avril 2017
    Il n’est pas nécessaire d’être féru d'art lyrique pour apprécier grandement le documentaire de Jean-Stéphane Bron, qui de Bastille à Garnier nous ouvre les portes l'Opéra de Paris, sous la conduite bienveillante de son directeur jusqu’aux coulisses des répétitions de chants, de danses et de mise en scène parfois assez inattendue. On assiste à des réunions dans les sphères dirigeantes, aux contestations de certaines visions artistiques et à la préparation d’une saison nouvelle au cours de laquelle le prix des places ne doit pas être « un message négatif » de l’institution qui entend être aussi une école d’intégration. Les exemples du jeune baryton-basse Mikhaïl Timochenko venu de sa Russie profonde et des « petits violons » issus d'une classe de CM2 en ZEP fournissent une première réponse à cette volonté affichée dans la visite des coulisses, où la cuisine interne nous est dévoilée avec humour et passion. On n’est plus spectateur, mais partie prenante.
    Pour en savoir plus
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 mai 2017
    Ce documentaire nous ouvre les portes de l'Opéra de Paris. Le réalisateur est un témoin discret de l'effervescence des lieux. Tous les métiers sont présentés, des techniciens au directeur. Ce qui ressort de ce film, c'est la passion qui les unit tous. Une séquence particulièrement émouvante: les petits violons. Ces enfants scolarisés en banlieue qui ont suivis des cours de violons ou violoncelle tout au long de l'année. Une preuve, si l'en fallait, que toutes les cultures sont accessibles à chacun.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 avril 2017
    La qualité de ce documentaire n'est pas à remettre en question. Tous les aspects sont montrés, aussi bien du côté de l'administratif que du créatif (bien que la musique est bien plus mise en avant que la danse). L'absence de voix off nous permet de nous plonger sans barrière au sein des événements auprès de "personnages" très attachants. Il y a de l'humour, du drame, du spectacle...
    Toutefois il semble que ce documentaire ne soit pas conçu pour les novices. Personne n'a pensé à ceux qui n'ont jamais été à l'opéra, qui ne savent pas le programme de l'année dernière et qui ne connaissent pas leurs classiques. Ainsi aucune indication ne présente les personnes que nous rencontrons au fur et à mesure si ce n'est le directeur, Millepied et Micha. Tous resteront donc des anonymes pour moi, même quand ils sont clairement célèbres. De même si vous n'avez pas révisé vos opéras vous ne saurez jamais quelles œuvres vous ont enchanté quelques minutes (excepté Les Maîtres chanteurs grâce à quelques sous-titres suite à la traduction de phrases en anglais). Il faudra donc bien vous accrocher à la fin du documentaire pour saisir à la volée toutes ces informations dans le générique de fin...
    mazou31
    mazou31

    80 abonnés 1 263 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mai 2017
    Un merveilleux documentaire en immersion profonde sur les scènes et dans les coulisses de l’Opéra, avec les managers, les étoiles et toutes les équipes – jusqu’à celles de ménage – qui les font briller. C’est profondément humain, c’est passionnant, parfois cocasse et montre fidèlement la somme de travail, de toutes et tous, qu’exige la perfection de l’Art. La mise en scène, très habile, est très réussie, balançant entre réalisme et subjectivisme. L’absence de commentaires est un bonheur : il ne nuit pas à notre compréhension et aide à notre immersion complète.
    leoline
    leoline

    27 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juillet 2017
    ion, ni image choc ou d émotion tournage au kilométré sans état d âme sans supplément d âme. Franchement en dehors de l aspect documentaire indéniable ... Je trouvé très cliché les grèves, les brulots sur la place de la Bastille même si c est une composante de la vie française.. Franchement pour les amoureux de nos 2 théâtres Garnier et Bastille il faut le voir... Pour le film ... c est franchement bof ! j aurais auimé un film de type dans les yeux des bleus de canal plus une vraie émotion a la gloire de cette culture universelle...que cette eau tiedasseni cosmopolite nis universaliste mais plutôt une salle des pas perdus ou je me suis ennuyé. Désolé
    Ufuk K
    Ufuk K

    466 abonnés 1 399 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 avril 2017
    "opéra " encensé pas la critique est un documentaire assez captivant sur les coulisses de l'opéra de Paris. En effet malgré quelques longueurs, j'ai trouvé intéressant de suivre l'envers du decor de l'opéra de notre capitale avec son lot de joies, déception et moment difficiles.
    Ciné-13
    Ciné-13

    93 abonnés 887 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 février 2022
    Beaucoup de séquences inutiles, ennuyeuses, sans intérêt.
    Documentaire à la gloire de LISSNER. Pourquoi montrer ces gamins de CM2 qui renaclent? Pourquoi le chorégraphe a démissionné? A combien les places pour la Damnation de Faust?
    Les séquences prises sur le vif lors des répétitions, des discussions sont illustrées en fond sonore par des extraits d'opéra et de concerts qui n'ont rien à voir. Et dernière chose, l'absence de sous-titrages mentionnant le nom des interprètes, des oeuvres se fait cruellement sentir.
    Inachevé! Bâclé!
    Guiciné
    Guiciné

    127 abonnés 1 205 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 avril 2017
    Un film qui montre vraiment l'entreprise, qu'est l'opéra de Paris, les scènes ne traînent pas et on sent une réelle vie dans cette grande maison. Rien ni personne n'est épargné et l'envie de continuer se fait sentir à la fin. Un beau documentaire.
    Frédéric P
    Frédéric P

    14 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 avril 2017
    Jean-Stéphane Bron réalise un documentaire qui s'apparente à un vrai film.
    Qu'est-ce qu'une maison d'opéra ? Comment dirige-t-on les hommes qui participent à l'élaboration des spectacles, sans oublier la pleïade de métiers invisibles des spectateurs (femmes de ménage, blanchisseuses, surveillants, ...) ?
    Deux personnages ont un relief particulier et sont plus suivis que les autres : le directeur, Stéphane Lissner et un jeune chanteur russe venu du fin fond de l'Oural.
    L'habileté de Stéphane Lissner est mise en avant : il arrive à négocier pour éviter les grèves, incite le metteur en scène à faire un geste pour le choeur qui se rebelle, a déjà tout prévu pour remplacer Benjamin Millepied, le directeur de la danse, qui va démissionner suite au conflit avec le corps de ballet. On l'entend préparer la présentation de la saison. Bron saisit le moment croustillant où l'équipe de Lissner précise que l'opéra de Paris est allé au-delà des exigences de l'Etat sur le nombre de nouveaux spectacles et où celui-ci dit explicitement qu'il vaut mieux ne pas le dire publiquement. Lissner sait bien sûr que la caméra tourne. De même il convoque une réunion où il demande à son staff de réfléchir à baisser drastiquement les prix et fait dire par son second que ce n'est pas possible. Habile communication du directeur (car les prix n'ont pas du tout baissé dans la réalité).
    Le jeune chanteur russe est attachant dans ce passage de témoin avec Brynn Terfel, son aîné dans la même tessiture.
    Séquence insolite avec un véritable taureau d'une tonne qui est introduit pour une représentation de Moïse et Aaron.
    Séquence émotion avec les attentats de Charlie et la minute de silence. Bron montre non seulement l'allocution du président sur scène mais aussi la minute de silence chez les surveillants.
    Séquence panique avec le désistement deux jours avant d'un chanteur.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    919 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 août 2019
    On semble loin de la musique pure. Mais on remarque comment toutes ces personnes sont réelles et existent.
    Quand on est spectateur on ne voit rien que du sublime et de la beauté mais ce reportage nous montre des gens comme tout le monde qui ont de la chance de travailler dans un endroit prestigieux qui est fascinant !!!
    Passionnant reportage.
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    44 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 avril 2017
    Un très joli documentaire sur les coulisses de nos opéras parisiens. On y découvre les nombreux métiers qui y circulent et les jeunes pousses à qui il faut donner l,envie de poursuivre car la route est longue. on peut admirer ce jeune chanteur Russe qui deviendra un grand chanteur d,opéra. auprès des directions nous suivons leurs difficultés à faire face pour monter un spectacle c,est excellent à conseiller.
    Yves G.
    Yves G.

    1 283 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2017
    Le Suisse Jean-Stéphane Bron s’est fait un nom en signant deux documentaires politiquement engagés. Le premier, « Cleveland contre Wall Street » (2010) filmait le procès engagé par des propriétaires dépossédés de Cleveland, contre les banques de Wall Street à l’origine de la crise des subprimes. Le second, « L’Expérience Blocher » (2013), créait une intimité troublante avec le leader de l’UDC, le parti suisse d’extrême droite.

    Son troisième documentaire chasse sur des terres bien différentes. De son propre aveu, Jean-Stéphane Bron n’avait jamais mis les pieds à l’Opéra de Paris avant de se laisser convaincre par son producteur de le filmer. Le réalisateur marche sur les brisées du pape du documentaire, Frederik Wiseman, qui avait consacré au ballet de l’Opéra de Paris un documentaire de deux heures trente, « La Danse » (2009). Il ne documente pas, comme on l’a déjà souvent vu (« Company » de Robert Altman, « La Traviata et nous » de Philippe Béziat), les répétitions d’un spectacle. Comme Frederik Wiseman, il fait le pari de l’immersion participative, de l’embeddment sur la longue durée dans une institution dont il entend décrypter le fonctionnement.

    Il réussit à capter des instants de pure magie, souvent très drôles. Ainsi de ce taureau d’une tonne cinq utilisé par le metteur en scène de « Moïse et Aaron » que son propriétaire prépare à monter sur scène en lui faisant écouter dans son enclos la musique de Schönberg. Ainsi de cette coryphée à bout de souffle à la fin d’un scène, dont la fragilité dévoilé à la caméra impudique dans les coulisses contraste avec le masque impavide qu’elle affichait sur le plateau quelques instants plus tôt. Ainsi encore de la minute de silence observée au lendemain des attentats du Bataclan (« il faut jouer, jouer, jouer encore »), dans la salle de l’Opéra Bastille et jusque dans ses cuisines. Ainsi enfin d’une maquilleuse, qui tend à la soprano une boîte de Kleenex et une bouteille d’eau minérale mais qui se laisse émouvoir aux larmes par la beauté de l’aria qu’elle entend au bord de la scène.

    Ces saynètes révèlent le don du réalisateur pour capter l’inattendu. Elles raviront les amateurs d’opéra avides de connaître les coulisses de Bastille et de Garnier. Elles ont enthousiasmé le public de privilégiés invités hier soir en avant-première sous le plafond de Marc Chagall.

    Le documentaire de Jean-Stéphan Bron souffre toutefois d’un défaut qui le pénalise lourdement. Il n’a aucun sens.
    Aucun sens = aucune direction. Le montage est incompréhensible qui accumule les saynètes sans les organiser selon une progression logique. On passe sans solution de continuité d’une réunion de direction présidée par Stéphane Lissner, secondée avec talent par Jean-Philippe Thiellay, à une représentation de la Bayadère.
    Aucune sens = aucune signification. Qu’a-t-on appris sur l’Opéra de Paris ? On touche du doigt la lourdeur de son administration. On vit, mais sans jamais vraiment en révéler les ressorts, les crises qui l’ont traversé, tel le départ polémique de Benjamin Millepied et son remplacement par Aurélie Dupont. On réalise que chaque spectacle est un miracle improbable, constamment menacé par une grève de personnel ou l’angine d’un soliste. On se voit confirmer que la recherche de la perfection anime chacun de ses employés, depuis le directeur musical jusqu’aux perruquiers en passant par le baryton-basse russe au talent prometteur et aux jeunes instrumentistes de l’orchestre Colonne. On n’apprend finalement rien qu’on ne sache déjà. Et on a un peu le sentiment de voir un clip, certes luxueux et touchant, à la gloire du directeur de l’Opéra.
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    46 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 avril 2017
    Vu et avis le 20170407
    .-.-.-.-.
    Bien, varié mais pas canalisé
    .-.-.-.-.
    C est bien, beaucoup de facettes de l institution sont montrées. Ce qui est très inhabituel, c est que l on a de très nombreuses courtes séquences avec le directeur, et en particulier des réactions de la direction entre eux, suite à des rencontres syndicales par exemple. Cela peut arriver que de telles séquences ne soient pas filtrées mais c est rare (partie de campagne de depardon, national gallery de wieszman pour n en citer que deux).
    J ai beaucoup apprécié la descente en Escalator car on se demande vraiment ce que fait la personne en face -qui monte ; puisqu elle monte en même temps que la rampe. Un peu d étrange et d incongru. Beaucoup de labeur. Fascinante discussion pour savoir si le cœur doit se placer en rang aligné / en diagonale ou selon la disposition classique des orchestres par paquet. Discussion qui se termine splendidement muette. Du faste. De la grâce. De l imprévu (Michael qui vient pour les maîtres chanteurs ou un titre comme ça). De l économie. Du protocole (organisation loge présidentielle). De la linguistique (prise des mesures du soliste russe) ... c est délicieusement éclectique.
    . . .
    Mais le film a aussi le défaut de ses qualités : on ne sait jamais si l on est à Bastille, garnier ou ailleurs, pour quel spectacle, à quel moment, ... tout paraît mélangé : représentations finales suivies de répétitions. Le film manque d indication qui permette au spectateur de se repérer. Par exemple, je n'ai pas du tout compris comment la cantatrice en blanc, avec son assistante avec la bouteille d eau et ses mouchoirs, comment cette cantatrice s inscrit dans le reste du film. Quelles sont les autres séquences qui lui sont liées, quelle est la représentation, ...
    Longtemps Ce n est pas gênant mais le film étant au final assez long, ça fini par être pesant.
    Il y a même probablement une caméra à l épaule ratée lors de la représentation finale des maîtres chanteurs, lorsque le soliste est seul debout au milieu du cœur, l image cherche à être fixe mais part dans toutes les directions au gré des respirations du cadreur. La séquence en devient visuellement pénible.
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