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    Serenity
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    2,5
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    134 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 mars 2019
    Très bon film. Le réalisateur a parfaitement réussi à nous emmener là où il voulait, car on se pose pleins de questions sur le dénouement. Trouver une échappatoire virtuelle pour essayer de surmonter la réalité.
    Sam H
    Sam H

    8 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 avril 2019
    Scénario qui aurait pu être vraiment bien mais pour le coup ce fut d’une nullité !! Netflix, faites un effort dans la qualité des films que vous produisez !!
    NicoStar
    NicoStar

    1 abonné 39 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mars 2019
    Une histoire bien amenée même si l’issu est prévisible ... un casting de haut niveau et une bonne réalisation.
    L’histoire est prenante !!
    Marc C.
    Marc C.

    9 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 mars 2019
    Excellente histoire avec de surprenants rebondissements et de bonnes surprises sur la fin.
    De très bons acteurs dont Matthew McConaughey.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 mars 2019
    Avant de lire les critiques
    Regarder le film
    J'ai vraiment apprécié l'histoire qui se dévoile au fut et a mesure (entre drame et science fiction)
    A casting super
    Et de tes belles images
    Franchement pour un film Netflix , on pourrai croire a un film Grand écran
    Greg Z.
    Greg Z.

    2 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 mars 2019
    Je n'aime pas dire ça mais c'est nul, zéro ! A part peut-être la photographie du film rien n'est bien foutu.
    L'idée de base est plutôt original (quoi que...), le décor est top, l'idée du pêcheur de thon genre "le vieille homme et la mer" est séduisante, un casting 5 étoiles.... et pourtant....

    Effets de caméra bien douteux, musicalement pauvre (dommage il y avait de quoi faire), acteur moyen voir décevant, construction difficile, suspense en PLS.... Ne perdez pas votre temps, lisez plutôt un livre.
    Netflix: arrêtez de vouloir faire du grand cinéma au rabais !
    RedArrow
    RedArrow

    1 548 abonnés 1 501 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mars 2019
    Je conseille de ne rien lire sur le film avant de l'avoir vu, ceci bien sûr compris, des spoilers sont présents.
    Critiques US peu flatteuses, flop au box-office et sortie française via Netflix pour minimiser les dégâts, le destin chaotique d'un film pourtant appelé "Serenity" ne laissait augurer rien de bon, tout juste pouvait-on espérer un thriller potable réunissant tout de même un casting luxueux composé de Matthew McConaughey, Anne Hathaway, Jason Clarke, Djimon Hounsou ou encore Diane Lane. Dans un sens, c'est la forme que prend lentement le film durant sa première heure mais, à mi-parcours, il va se muer en quelque chose de complètement inattendu grâce à une idée que l'on hésite à qualifier de génialement gonflée ou de suicidaire si l'on ne parvient pas à la gérer correctement mais une chose est sûre, celle-ci crée une surprise d'une ampleur insoupçonnable par son audace et, en mettant de côté la qualité globale du long-métrage, explique assez facilement le fait que celui-ci était difficilement vendable lors de sa campagne promotionnelle sans trahir toute la folie de ce rebondissement.

    Les premières minutes sont déjà synonymes d'un début d'étonnement : en place du thriller attendu, on se retrouve face à un petit ersatz de "Moby Dick" où Matthew McConaughey incarne Baker Dill, un pêcheur obsédé à l'idée d'attraper un gigantesque thon rôdant souvent autour de son bateau à chacune de ses sorties en mer. Soit. Évidemment, cette fixette sur le gros poisson cache un traumatisme plus ancien que des flashbacks mettent grossièrement en relation avec un fils absent dont on ne sait pas grand chose. Pendant cette longue première partie , "Serenity" ne va pas chercher à trop s'étendre sur son intrigue mais uniquement à suivre les différentes virées de ce pêcheur ruiné dans le bar de la petite île, en mer ou en compagnie d'une Diane Lane ayant un méchant faible pour lui (elle n'est d'ailleurs tristement définie que par sa présence à lui). À moins d'avoir une folle passion pour la pêche au thon ou pour le corps musclé de McConaughey qu'il exhibe à la moindre occasion, dur de voir où "Serenity" veut vraiment en venir. Seul un homme en costume de représentant paraissant sans cesse poursuivre le héros instille un semblant de mystère mais cela reste encore très peu...

    Le long-métrage va enfin véritablement révéler son apparente teneur avec l'arrivée d'une Anne Hathaway en femme fatale blonde pour l'occasion. Celle-ci est battue par son riche nouvel époux (Jason Clarke) et fait la proposition à son ex-mari de pêcheur d'éliminer cet homme violent lors d'une sortie en mer contre la somme de dix millions de dollars. À partir de là, "Serenity" va passer d'un poncif du film noir à un autre où les hésitations morales du héros à accepter cette proposition ou non vont devenir le coeur des enjeux. Même si ce qui nous est présenté à l'écran reste bateau (pardon...) entre un déroulement classique, des dialogues et situations presque incontournablement prévisibles ou encore des personnages (surtout féminins d'ailleurs) virant à la caricature du genre, "Serenity" se laisse gentiment suivre mais le sentiment que quelque chose cloche dans toute cette affaire reste prédominant. La scène invraisemblable où un Matthew McConaughey, nu comme un ver, plonge d'une falaise pour ensuite communiquer avec un fils qui n'est pas là et la toujours forte présence en arrière-plan du personnage du représentant laissent en permanence penser que le film peut basculer à tout moment vers quelque chose d'inconnu où la multiplicité de ses stéréotypes ne serait qu'un tremplin pour nous y guider. On a beau envisager toutes les hypothèses possibles sur ce que le film tente de nous dissimuler, le chemin connu qu'il suit consciencieusement vient parfois essayer de nous faire douter sur le fait qu'il y ait vraiment quelque chose de plus à en attendre...

    Cela dit, à moins d'être très naïf, l'idée que "Serenity" cache néanmoins bien une énorme surprise reste dans un coin de notre tête et lorsqu'une conversation nocturne survient avec un certain personnage, on comprend rapidement que le moment d'une révélation capitale est venue. Cette séquence va d'ailleurs bien jouer avec les nerfs à la fois du héros et du spectateur en retardant au maximum l'échéance de la levée de rideau sur celle-ci... Puis, soudain, le coup de massue nous tombe sur le coin du crâne et, autant le dire, on n'avait rien vu venir. "Serenity" contient probablement un des twists les plus inattendus de ces dernières années et, bon sang, que ça fait du bien d'être réellement surpris là où on fait souvent les malins en anticipant ce genre de chose. Comme le personnage de Matthew McConaughey, on reste un bon moment sonné par ce choc qui, remis dans le contexte des événements l'ayant précédé explique bon nombre de directions prises ou de clichés utilisés tout en laissant perplexe sur certains points (les scènes intimes de Baker avec les femmes et le fait que ce dernier soit souvent dénudé notamment, on peut toujours y trouver une interprétation comme une influence inconsciente de la vision des femmes de la part du mari violent sur celui au centre de la révélation ou encore les premiers signes d'une puberté bizarre mais dur de justifier le côté exhibitionniste de Matthew McConaughey dans cette optique sans être un minimum malsain).

    Après un tel coup de poker scénaristique, il fallait inévitablement savoir rebondir dessus pour que "Serenity" ne fasse pas retomber le soufflé. Cela va être hélas laborieux dans un premier temps, on peut bien sûr comprendre que cette vérité remette totalement en cause Baker pendant un petit moment (qui n'aurait pas du mal à avaler une telle nouvelle ?) mais le long-métrage va dangereusement stagner dans des répliques métaphysico-abscondes ne débouchant que sur des réflexions existentielles assez simplistes. En fait, il faudra attendre que les éléments de film noir de la première partie reviennent enfin sur le devant de la scène en se conjuguant à la nouvelle perspective offerte par le twist pour que "Serenity" retrouve un peu de vigueur. Ainsi, malgré une maladresse omniprésente, le mélange des genres de la dernière partie va avoir le mérite d'aller jusqu'au bout de son sujet en utilisant un certain passage à l'acte ultime (et les hésitations dans son sillage) de manière plutôt judicieuse sur un plan métaphorique tout en ne se défaussant pas de la noirceur que cela implique. Mais, d'un point de vue strictement émotionnel que la conclusion voudrait tant mettre en exergue, "Serenity" se montrera hélas moins convaincant pour nous toucher là où un tsunami de sentiments contradictoires aurait dû nous emporter. En l'état, ils sont bien présents et entraînent une certaine fascination mais l'explosion qu'ils auraient dû induire ne se produira jamais.

    Il est toujours compliqué d'attribuer une note à un tel film, doit-on saluer le pari scénaristique gonflé qu'il représente ou rester sur le résultat bancal qui en découle ? Steven Knight n'était sans doute pas le meilleur réalisateur pour maîtriser une telle histoire (il aurait mieux fait de se contenter de peaufiner un peu plus le scénario) et on ne peut qu'imaginer la claque qu'aurait pu représenter "Serenity" entre d'autres mains plus expertes. Ici, on se retrouve avec un film à deux hémisphères qui ont tous deux des défauts majeurs mais qui sont reliés par une révélation aussi osée qu'inattendue (elle-même est aussi susceptible de cliver par sa teneur en plus). Au final, on préférera retenir l'audace qui habite ce "Serenity" plutôt que ses maladresses, après tout, le film a eu au moins le mérite de vraiment nous surprendre et c'est assez rare pour être souligné...
    k11-sogood
    k11-sogood

    14 abonnés 265 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 mars 2019
    Bien joué, décors superbes, mais scénario bancal et décevant au final alors que l'intrigue de départ met vraiment en haleine..
    L'ombre du 7ème art
    L'ombre du 7ème art

    58 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2022
    Je ne comprend absolument pas la note de 23% sur Rottentomatoes et de 2,9/5 sur allociné car ce film n'est certe pas épique, ni un chef d'œuvre mais de là à lui cracher dessus non ce n'est pas possible. En effet ce film est vraiment bien, l'idée de départ est mené jusqu'au bout, le film nous donne quelques twist très intéressant, les acteurs sont bons et la musique nous plonges dans le film. De plus l'histoire arrive à nous retourner le cerveau pour que tout devienne clair à la fin malgré certes quelques petits manques de précision et d'oublie mais c'est le cas dans beaucoup de film qui ont de très bonne note. Le scénario est donc assez bien écrit et ficellé. Ensuite le jeu de caméra est parfait, on arrive à avoir des plans très convaincant avec des zooms sur des détails et des plans larges sur la mer, ensuite les décors sont sympathique, tout nous fait penser à une île de pêcheur, avec les maisons sur pilotis, les rochers, la mer et le petit village de touriste qui nous offres une belle palette d'acteur avec des personnages haut en couleur. Pour conclure un joli 4/5 amplement mérité pour ma part car il est divertissant et j'ai bien aimé cette prise de risque totalement assumé après je peux comprendre certaines notes basses mais là c'est un acharnement.
    Zelda Touque
    Zelda Touque

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mars 2019
    Boarf.
    Comme déjà ,signalé, ce film est très joli, et plutôt bien joué, le cadre est charmant et exotique, les décors sont vraiment très bien. Il y a un gros twist, certes, et je sais très bien que, comme pour moi, cette seule idée va vous inciter à regarder le film. Eh bien, vous serez déçus à la fin, mes amis, mais avant cela vous vous serez bien divertis ! Allez hop, 2 petites étoiles pour ce petit passe-temps.
    Naughty Dog
    Naughty Dog

    821 abonnés 393 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 mars 2019
    Dans la famille des films pétés, je demande "Serenity", où Steven Knight montre encore une fois que dès qu'il tente de passer derrière la caméra, ça se vianbe bien comme il faut

    De très jolis décors, un cast constitué de McConaughey, Hounsou, Clarke, Hathaway ou même la belle Diane Lane (qui ne sert strictement à rien d'ailleurs à part me rendre le film un peu plus regardable), une histoire de pseudo-thriller où un ex-soldat repenti se retrouve en tant que pêcher d'espadon avant que son ex-compagne vienne lui faire les yeux doux pour tuer son mari violent, et ainsi revoir son fils.

    un truc qui promet du sympathique en somme, en plus par un Steven Knight qui a su prouver ses compétences (Peaky Blinders, Taboo, Locke ou les scénars de Aliés et Eastern Promises). Que peut-il bien arriver mes braves ?

    Si l'intrigue se suit tranquillement pendant une petite partie du film (avant de légèrement tourner en rond, au service d'une réalisation assez peu maîtrisée et d'un montage pas toujours fameux), la tournure que prend les évènements suite à un twist sorti d'absolument nulle part fini d'achever le film, qui traverse une lente agonie jusqu'à un final qui se veut émotionnel et satisfaisant, mais qui ne fonctionne absolument pas.

    dès lors, le film prend une autre dimension, que le réalisateur n'exploite absolument pas, ce qui enterre les 2 versants de son film.
    Aucune mise en abime, aucune émotion, aucune vraie narration car l'intrigue tourne en rond pendant 2h (à l'image de Diane Lane qui fait des coucous toutes les 20 min et pas plus), seuls les acteurs arrivent à réhausser le peu de matière qu'on leur donne, et à même nous amuser (comme cette scène de sexe téléphonée à pantalon même pas baissé).

    l'idée de la fusse réalité peu être intéressante en soi, et justement créer une mise en abime intéressante sous forme de catharsis avec cette relation père-fils totalement virtuelle, mais n'est pas Zemeckis qui veut, Knight se plante sur toute la ligne, et le résultat relève du gadget gratuit tout au plus, en total dissociation narrative et émotionnelle avec les réels enjeux, qui tombent aussi vite à plat.
    bien sûr je ne parlerai pas du perso principal, qui n'a pas l'air de péter les plombs suite aux révélations, ou encore du fait que Knight filme cette réalité comme n'importe quel lieu terrestre sans jouer avec sa caméra (et donc la réalité qu'il impose au spectateur.
    entre des dialogues tantot corrects, tantôt bâclés ("nous sommes tous les 2 écorchés, à 2 endroits différents") au service d'un pétage de plomb au casting de luxe qui cachetonne sans aucun réel sens malgré quelques séquences incarnées, Serenity est un mauvais film ni plus ni moins.
    Pat Nicois
    Pat Nicois

    3 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 février 2019
    Excellent film, belles images avec un très bon jeu d'acteurs et une tournure inattendue dans le scénario.
    Jorik V
    Jorik V

    1 206 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 janvier 2019
    Une chose est sûre, ce film à priori banal s’avère, in fine, plus que surprenant. Mais pas forcément dans le bon sens du terme. Lors de la première heure, voir Matthew McConaughey jouer les pêcheurs caribéens nous rappelle au (très) mauvais souvenir il y a dix ans d’un navet d’aventures en forme de chasse aux trésors intitulé « L’Amour de l’or ». Une véritable purge avec Kate Hudson où le duo roucoulait, poursuivi par des truands à la recherche d’un trésor enfoui. C’était l’époque de sa traversée du désert, avant que le cinéma indépendant fasse renaître cet immense acteur de ses cendres (avec par exemple « Mud » ou l’excellent « Killer Joe »). Tout ça c’était également avant l’Oscar pour « Dallas Buyers Club ». Dans les premiers moments de « Serenity » on se dit qu’il veut rattraper le coup avec ce rôle au contexte similaire. Mais bien vite, on comprend que tourner ce film devait être pour l’acteur l’occasion de payer ses impôts, aussi bon soit-il encore une fois mais accablé par une succession de films pointus qui se sont plantés en salles. Même constat pour Anne Hathaway, qui en revanche est plutôt mauvaise ici en femme fatale de pacotille.

    Le déroulement de ce thriller suit gentiment son cours dans un cadre exotique parfaitement mis en avant par Steven Knight dont c’est le troisième long-métrage. Finalement, on se rend compte que l’homme est bien meilleur scénariste (« Les Promesses de l’ombre ») que cinéaste (« Killer Joe » avec Jason Statham). En effet ici, rien de follement original entre le retour d’une ex-femme, un mari violent et un meurtre avec millions à la clé au tournant. Mais cela reste tout à fait regardable et d’honnête facture. On se laisse gentiment emporter par l’intrigue et flatter l’œil par les jolis paysages, ça a le mérite d’être dépaysant. Puis on sent que quelque chose cloche. Le film prend une direction étrange mais intrigante et on se prend à rêver d’un film à rebondissements à la « Sexcrimes » sans l’aspect érotique. Mais c’est un virage à 180° qu’il opère et on ne peut dire qu’une chose : on n’était pas prêt ! « Serenity » nous assène le twist le plus improbable et barré qui soit. Il est clair qu’on ne l’avait pas vu venir mais ce retournement de situation emmène le film dans une zone grise indéterminée qui plonge le spectateur dans une hallucination totale.

    A partir de là, le côté tellement improbable et bizarre de l’affaire, nous empêche de garder notre attention et de nous passionner pour ce qui se passe à l’écran. Tout cela vire à la fausse bonne idée. N’est pas un petit génie du twist (ou Shyamalan dans son meilleur) qui veut. Les images continuent d’être belles mais on décroche complètement et le dernier quart d’heure vire à un « Truman Show » sous acides doté d’un final qui sombre dans la guimauve pour ne pas arranger l’affaire. Les intentions étaient peut-être bonnes, mais c’est plutôt à un scénariste/réalisateur qui a voulu se faire plus malin que son public qu’on a affaire et la mayonnaise ne prend pas du tout. On se souviendra néanmoins de « Serenity » comme du twist le plus surprenant depuis très longtemps. Quoique, pas sûr qu’on se souvienne de ce long-métrage bicéphale finalement vain. Heureusement, Matthew McConaughey reste excellent même dans des films moyens

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    Clémentine K.
    Clémentine K.

    169 abonnés 1 427 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 mars 2019
    Le tout commence de manière tout à fait ordinaire sous des airs de thriller. Puis les indices tombent subtilement et nous sommes face un Truman Schow contemporain qui rend cette œuvre encore plus intéressante et mystérieuse.
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