Derniers Avis : Once Upon a Time… in Hollywood - Page 11

Once upon a time… in hollywood, film sorti en 2019 par le réalisateur Quentin Tarantino. Le casting est relevé avec notamment Brad Pitt pour le rôle de Cliff Booth, Leonardo Dicaprio pour Rick Dalton et Margot Robbie pour Sharon Tate.

Ce film est d'un ennui mortel, j’ai réussi à le regarder une deuxième fois ce film grâce à des occupations extérieures. Le moment le plus sympathique est l’arrivée de Brad Pitt chez les Hippies.
On ressent que Tarantino a fait le film pour lui avant tout, son amour pour le début des années 60 et le style western est très bien retransmis à l’écran. Cependant, le cinéma de Tarantino n'est pas du tout mon style. Cette époque et ce genre très western ne me correspond pas. Trois histoires en une c’est nul, les histoires ne semblent pas avoir le moindre loin entre eux, il n’y a aucun fil conducteur. Si on ne connaît pas l’histoire vraie adaptée dans ce film, il est difficile de l'apprécier et on se demande même à quoi sert Sharon Tate. Le public qui peut aimer ce film me parait assez restreint, à savoir les nostalgiques qui ont vécu/connu le hollywood des années 60, et les incollables/fans du cinéma américain des années 60.

Les critiques sont une fois de plus élogieuses envers Tarantino. Effectivement, c’est un sujet qui traite l’histoire du cinéma et plus particulièrement un traumatisme pour de nombreux américains, il réécrit l’histoire, répare l’injustice et il choisit les bons acteurs.

Il faut tout de même reconnaître un vrai effort de réalisation avec de multiples plans différents, des décors et une esthétique particulièrement soignée.

Un film insipide qui ne raconte pas grand chose durant plus de 2h30 de film, son meilleur long-métrage disait-il !

Parler de Once Upon a Time…in Hollywood en restant objectif est très compliqué pour moi.
Étant au début de ma cinéphilie, j’ai commencé comme beaucoup avec les films de Quentin Tarantino.
Comme beaucoup je suis tombé sous le charme de l’honnêteté et de l’amour que ce réalisateur met dans ses films.
Cependant, plus j’avance dans la découverte de nouveaux univers cinématographique plus ma passion pour ses films se dissipe peu à peu.
Mais si il y a bien un film que je n’oublierai jamais c’est son chef d’œuvre : Once Upon a Time…in Hollywood !
J’ai découvert ce film au cinéma en 2019 avec une bande d’ami et je suis directement tombé sous son charme.
Tout dans ce film m’a plus : l’acting, l’image, l’histoire, la B-O, les décors,…
Je comprends que le film puisse déplaire, qu’on puisse le trouver vide ou inintéressant au premier abord.
Ce film est selon moi une expérience avant tout, un voyage à travers le cinéma lui même.
Ce film n’est qu’amour pour le cinéma et c’est ça qui m’a particulièrement touché.
Alors oui, peut-être que vous vous ennuierez mais par pitié donnez une chance à ce film !
Je suis convaincu qu’il trouvera son public et deviendra immanquablement culte !

Ce film ne m'a pas convaincu. L'histoire part dans tous les sens. Il ne suffit pas de prendre de bons acteurs pour faire un bon film. A voir au moins une fois quand même.

Mouais...

Je ne sais pas trop quoi dire sur le film tellement y'a pas grand chose à dire.
C'est assez rare sur un film de Tarantino que je ne sois pas emballé, et la c'était le cas.

Le film est un bel hommage à Hollywood avec beaucoup de belles références mais malheureusement ça ne suffit pas.

Le film est super lent, l'intrigue est longue à se mettre en place et donc tenir 3h avec cette histoire c'est très très long.

Je trouve ça notamment dommage car le casting était super alléchant et que le jeu était super bon.

Une Œuvre destinée seulement aux passionnés , une ambiance des années 60 US que personnellement j' adore. Un panel d'acteur exceptionnel .
Villa , piscine, LA , néon et bande son efficace on pourrait se croire dans un bon GTA vice city .
On peut regretter le manque de scénario je mets 4/5.

Certainement le film le moins accessible au grand public de Tarantino.
Si vous n’avez pas des connaissances à minima légères sur le Hollywood des années 60 voire la situation politique/sociale des US à cette époque, vous resterez peut-être sur le carreau et vous trouverez cela longuet voire ennuyeux.
En revanche si vous connaissez un petit peu l’affaire Sharon Tate, les acteurs célèbres de l’époque, le mouvement hippie en plein expansion alors, Charles Manson, alors vous allez avoir le sentiment de plonger dans une œuvre magnifique. Tarantino recrée un Hollywood fantasmé où tous les possibles sont imaginables... Bande son, acteurs, ambiance, réalisation. Tout est superbe!

Pour moi dans le top 3 de Tarantino à coup sûr !

Cette pépite est un concentré de ce qui se fait de mieux sur grand écran, autant sur le plan visuel que sur les personnages, les clins d'oeils et l'histoire du cinéma des années 60/70. Sans oublier la bande originale et l'ambiance sonore.

L'histoire est deux protagonistes oeuvrant à Hollywood dans ses plus belles heures. spoiler: Finalisé par un grand feu d'artifice comme Tarantino sait bien le faire, vengeant la mémoire de Sharon Tate dans la macabre affaire Manson...


Je l'ai vu en VF et en VO au cinéma et je continue encore de le regarder avec autant de plaisir après plusieurs années.
Once Upon A Time In Hollywood est là grâce au patrimoine cinématographique qui en découle, c'est une déclaration d'amour.

C'est une gourmandise à voir et à revoir.

Abominable. J'ai été d'autant plus déçu que je me faisais une joie de voir ces 2 acteurs et que j'adore Tarantino... mais là... il s'est auto parodie avec des scènes longues, sans intérêt et un final dont on se fiche... mais quanD le film va t il commencer ? Ah... ben jamais... vraiment 2h30 d perdues

Film surcoté ! Ce film arrive à réunir de monture du cinéma ( Di caprio et Prad Pitt) et même pas ça arrive à marqué l'esprit. C'est lent, il se passe rien.
Un bon film est sensé être apprécié par une majorité des gens et pas que par ceux qui ont connu l'Holliwood des années 80

Je n'ai aimé aucun film de Tarantino à part Jackie Brown et Pulp Fiction, alors là avec une durée de 2h40, j'y allais vraiment à reculons.... Pendant la projection, je n'avais pas envie que le film finisse, tellement on est bien, transportés dans le Hollywood de la fin des sixties, dans l'envers du décor, le trailer des acteurs, les petites mains de l'industrie. C'est un film de cinéphile, fun, beau,et passionnant.

What a movie!
J'ai regardé ce film sans rien connaître de l'histoire, mais connaissant un peu l'univers Tarantino.
On aime ou on aime pas ce film c'est clair.
On est plongé dans l'univers des studios hollywoodiens à la fin des années 60.
Les décors sont magnifiques, le binôme DiCaprio Pitt est génial à lui tout seul.
Seul le scénario est un peu spécial disons-le franchement, mais on se prend au jeu et on commence à suivre avec plaisir les déboires de Rick Dalton et son pseudo garde du corps.
La fin est un choc, on ne sait pas où le réalisateur veut nous emmener, et on sent qu'il s'est fait plaisir même si pour moi c'est un peu violent. Car avant on est en droit de demander, un film de Tarantino sans violence, ça existe?

J'aime bien Tarantino mais la j'ai pas compris... j'ai vu la version longue et pendant deux heures j'ai subit une succession de scènes et de dialogues sans lien apparent. Mention spéciale pour la scène chez les hippies de 30 min et la scène de l'actrice qui se rend au ciné pour voir son propre film... honnêtement je me demandais pourquoi je regardais ça. La scène finale, comme souvent chez Tarantino, permet effectivement de faire le lien entre toutes les scènes précédentes sauf que l'enjeux du film est si pauvre et si inintéressant (une réécriture de la fusillade de Charles Manson) que finalement... on s'en fiche. Quand à la dernière scène, di caprio est invité chez polanski, et bien j'en cherche encore le sens...

Allez, une demi étoile parce que les décors sont jolies.

Once Upon A Time In Hollywood est un de ces crescendos sans fin qui font attendre un truc explosif qui ne vient jamais. J'ai bien cru que j'allais devoir en sortir en me plaignant que DiCaprio n'en finissait plus d'être anachronique et que l'Hollywood de Tarantino était décidément bien opaque.

Mais ça, c'était avant de refaire le visionnage en esprit, de me rendre compte que l'anachronicité du jeu d'acteurs était le reflet de l'intemporalité hollywoodienne, et que l'explosion était là, dans l'arrière-plan de l'ambiance, libérant continuellement des vagues d'émotions contrôlées dont le crescendo n'était que le contrepoint. Qui dit Tarantino dit règne de la testostérone, mais ce contrôle se retrouve dans le fait que l'artiste est sur son terrain, à un endroit où il n'a rien besoin de démontrer : il est en confiance, et il aime nous montrer comment ça fonctionne chez lui.

Hollywood l'inéchappable (où qu'on soit, ses jingles publicitaires nous poursuivent) a quelque chose d'à la fois violent, romantique, tendre et glauque, des adjectifs que le réalisateur s'est toujours fait une joie de mêler à sa manière. Et si j'avais eu à me plaindre, j'aurais dû au moins faire l'éloge de ces ambiances qui s'enchaînent comme un Mullholland Drive aéré. On ne pouvait en rêver meilleurs autochtones que Pitt et DiCaprio, qui jouent sur le même fil de fer d'une ambiance millimétrée relatant le rêve éveillé de la Cité des Anges.

Repeinte à l'extérieur et à l'intérieur, la ville délivre de la sorte le souvenir de tous les films qui nous séparent de l'assassinat de Sharon Tate, nous rappelant pour finir que la fiction n'est parfois qu'à un pas de la réalité, et que la magie du cinéma nous permet d'aller chercher toutes les réalités qu'on désire. Quitte à passer par une scène de fin où l'on retrouvera un réalisateur violent et démonstratif, fanatique de ce que la brutalité peut débloquer là où nous arrêtent les conventions. Car ça, c'est la magie de Tarantino.

superbe ode aux années 60, les jeux d'acteurs sont au top.
par contre le scénario est lent et sans saveurs, la présence des Polanski ne servant à rien dans le scénario (on aurait pu prendre une famille au hasard) si ce n'est rendre hommage à Sharon Tate et marquer la fin du flower power et des années 60 que veux représenter le film.

Vu sur CANAL+: je confirme que Tarantino est le plus surestimé des realisteurs americains. Son "il etait une fois..." est aussi creux qu'utne tronc de bambou. Le scenario est inexistant, si ce n'est de pasticher "a la façon de...", Sharon tate apparait telles une gourde se mirant ds ses propre films, quand à Pitt et Dicaprio, ils se sont bien amusés, ss doute, mais ils s'autopastichent.
De la daube, bien realisée (mais aujourd'hui la technique fait illusion) ss saveur, ss odeur. Là critique francaise a adoré, mais peut on appeler ces gens des critiques? La flagornerie regne en maitresse. Heureusement les spectateur sont plus perspicaces !