Derniers Avis : Once Upon a Time… in Hollywood - Page 25

J ai rarement vu un film aussi mauvais.... interminable, un scénario inexistant...
Malgré un très bon casting

Tarantino dans toute sa splendeur. J'ai pu redécouvrir Monsieur Pitt que m'inssuportait à l'écran et j'ai changé d'avis. Ce film est juste magique !

Ce film de Tarantino est bourré de références cinématographiques mais jusqu'à l overdose.
J'ai eu du mal à suivre le cheminement des héros. Le sens général du film m'échappe encore...
En revanche, DiCaprio et Brad Pitt sont excellents.

Fini le visionage de Once upon a time... In Hollywood. Quelle jouissance ! Putain mais quel hommage cinématographique à l'histoire du 7ème art... J'ai eu les larmes à la fin du film pour deux choses : ce que Tarantino nous a permis de voir durant ces 30 dernières années, et l'audace qu'il a à chacun de ses films qui font que c'est un dieu vivant du cinéma. Brad Pitt est exceptionnel, Di Caprio également, chaque détail du film est shooté à la perfection, enfin bref du grand Tarantino. J'ai adoré la présence de Kurt Russel en routier de la cascade. Heureux de voir, même si trop rapide à mon goût Michael Madsen également. Impatient de voir un jour la version ''Director' s cut''. La polémique sur ''vous savez qui '' n'avait pas lieu d'être, au contraire c'est aussi une forme d'hommage je trouve. Les 2h45 je ne les ai pas vu passées. Merci monsieur Tarantino. 10/10

Rien ne se passe vraiment dans ce film. Personnellement j'attendais une histoire, une intrigue, mais on attend, on attend, et on a enfin, à 10 minutes de la fin, quelque chose qui se passe ! Bon, ok, ça raconte l'époque, bcp de clins d'oeils à différentes personnalités sans trop romancer. C'est bien filmé, bien mis en scène. Mais c'est un peu plat. Donc "bof". 3 lettres et c'est plus équivoques que ma tentative pour expliquer mon sentiment...

Un film magnifique avec des acteurs légendaires pour une époque légendaire.
Je n'avais jamais encore vu un Tarantino pareil, mais je ne pense pas être le seul. Pour moi ce film est le meilleur qu'il n'ai jamais fait. Tout est parfait, rien a jeter.

Comme le disent beaucoup de spectateurs, c'est un film pluôt pour les fans du cinéma de années 50-60.
Evidemment le génie de Tarantino fait que ce film est précis dans les dialogues ,dans le choix des acteurs, dans la bande son , dans les références du passé... malgré quelques petites longueurs le film est magnifiquement réussi,mais pour moi ce n'est pas le film que j'ai préféré de cet immense réalisateur

Je ne vais pas vous le cacher, je n’ai jamais été fan du style Tarantino, et ce film en est dans la droite lignée. C’est donc logiquement que je ne l’ai pas du tout aimé. Si vous avez adoré ses films précédents vous ne serez donc surement pas d’accord avec moi, et il y a même des chances pour que vous adoriez son nouvel ouvrage. Après, je dois bien reconnaitre qu’il a son style bien à lui et qu’on reconnaît assez facilement une de ses réalisations. À mes yeux cela donne quelque chose de plat pendant environ 2h puis un grand délire pendant 20 minutes. Un schéma habituel pour Tarantino. Je dois tout de même avouer que ses finales me font toujours délirer. Le casting choisi pour celui-ci est brillant. Leonardo DiCaprio et Brad Pitt sont dans une forme olympique. J’ai adoré leur prestation même si j’ai une petite préférence pour Brad Pitt. Leur duo m’a captivé au début. Je trouvais ça assez fun mais finalement, j’ai trouvé qu’il ne se passait pas grand-chose et je me suis ennuyé durant la grande majorité du film dont le rythme est assez lent. La narration est sympathique mais rajoute tout de même pas mal de longueur. Pour ne rien arranger je ne suis pas un fan inconditionnel de la période choisi par le réalisateur. Ce petit voyage temporel, ponctué de références aux anciens films de Tarantino et apparition de "guest", m’a laissé de marbre. Ma plus grande déception reste le rôle assez fade de Margot Robbie que j’ai trouvé tout simplement inutile.

Que dire ? Ce film est pour moi l’un des meilleurs Tarantino, l’ambiance du film est juste magnifique et pour les gens qui n’ont pas aimer , je pense que ces gens là on une vidéothèque digne de taxi 5 ou banlieue 13 bref, vous m’avez compris . On ne mélange pas les torchons et les serviettes, mais ce film est a voir à revoir sans modération.

Il y a deux pré-requis absolument nécessaires avant de regarder ce film, sans quoi vous ne comprendrez pas la fin. Premièrement, dans la vraie vie, Sharon Tate, alors épouse de Roman Polanski, s'est fait abattre alors qu'elle était enceinte de 8 mois, à son domicile par les adeptes de la secte de Charles Manson. Deuxièmement, Tarantino adore utiliser des faits historiques plus ou moins macabres pour les réécrire en en modifiant le déroulé et en donnant leur revanche aux opprimés : c'est le cas dans Inglourious Basterds, Django Unchained, et c'est aussi la base des Kill Bill, même si dans ce cas ce n'est pas basé sur des faits réels. Tarantino arbore le rôle du psy qui aide la société à digérer les faits historiques les plus difficiles à accepter en offrant une revanche aux victimes. C'est exactement le même mécanisme que quand vous êtes agressé dans votre quotidien et que vous vous refaites la scène le soir devant le miroir ou dans votre lit, en refaisant la fin pour que vous vous en sortiez mieux qu'en vrai. Ce nouveau film est une plongée fantastique dans le Los Angeles de 1969, avec un travail monstrueux sur les décors et les costumes. Plus spécifiquement, nous suivons deux compères, l'un acteur et l'autre doublure cascadeur, dans leurs métiers comme dans leur vie privée. Le duo DiCaprio / Brad Pitt détonne, et l'aîné crève l'écran à chaque fois qu'il y est. Brad impose un tel charisme, une telle confiance en lui aux autres personnages qu'il en devient presque méprisant sans avoir à rien dire. Lorsqu'il se rend, absolument seul, en plein cœur de la secte Manson, à aucun moment nous n'avons peur pour lui, bien qu'il soit entouré par une cinquantaine de membres plus ou moins hostiles. Ceci est rendu possible par la confiance en lui dégagée par l'acteur. On rit, on s'émerveille, on apprécie le travail conséquent fait dans tous les aspects du film, et en résulte un long-métrage de très grande qualité. Il existe un pseudo débat sur la violence présente dans les films de Tarantino. Franchement, si effectivement les 5 dernières minutes sont assez corsées, la violence apparaît "justifiée" car pour réparer une injustice historique, et franchement c'est tellement drôle que ça n'est pas dérangeant.

Tellement bon de voir du Tarantino. Et quel fin!! Quoi d'autre que le cinéma pour dériver de la réalité.

Heureusement les acteurs permettent de ne pas s'endormir devant autant inconsistance !!!! Bref un navet encensé car de Tarantino...

Voici le dixième métrage du sieur Tarantino, sorte d’éloge mélancolique au cinéma des années 1970 et à tous les films et acteurs de série B ayant fortement influencé l'imaginaire et l'esthétique de ce réalisateur d’exception. A ce titre, les parodies, les pastiches, les apparitions ainsi que la reconstitution des décors de l’époque sont irréprochables. Pourtant, on se demande ce que l’ami Quentin a bien voulu vraiment raconter à part les déboires de Rick Dalton, un acteur vieillissant acoquiné de son éternel alter ego Cliff Booth qui fument beaucoup de clopes et devisent pas mal pendant les 2h45 du long-métrage ! Les séquences s’enchaîneront alors sans véritable fil conducteur et le spectateur prendra ce qu’il y a à prendre parmi tout ce conglomérat de tout et n’importe quoi. Comme par exemple, cette scène de combat avec Bruce Lee assez rigolote ou encore celle avec la petite actrice hyper mature, mais rien de véritablement passionnant, tout comme les passages avec Margot Robbie ou ceux à la ferme des hippies, vraiment inutiles. Quant aux acteurs, seul Leonardo Di Caprio sort véritablement du lot car il est, comme d’habitude, assez exceptionnel, notamment quand on le voit répéter ses rôles. Pour les autres, Brad Pitt, même s’il est très bon est sous-exploité car on aurait plutôt aimé le voir exercer sa profession de cascadeur plus souvent plutôt qu’endosser le rôle du larbin de service. En ce qui concerne Margot Robbie, c’est sûr qu’on ne lui a pas donné les meilleures séquences et qu’elle se cantonne à interpréter la starlette un peu écervelée sans trop de consistance. On lui préférera alors les caméos de Bruce Dern, Kurt Russell ou encore Al Pacino, complètement métamorphosé. Mais bon, tout cela est bien gentillet et le temps ne passe pas très vite. Fort heureusement, le dénouement hyper violent et surprenant viendra sortir les spectateurs de leur torpeur mais tout ça ne vaut pas les grandioses « Pulp Fiction », « Reservoir dogs » ou encore « Django unchained » !

Hollywood, 1969. Acteur vedette sur le déclin, Rick Dalton sent la fin de sa carrière arriver doucement. Heureusement, il peut s'appuyer sur son ami attentionné et cascadeur attitré, Cliff Booth. Tout deux vont vivre quelques mois assez forts, côtoyant leur voisine Sharon Tate, et la (future) tristement célèbre Manson Family... On trouve dans "Once Upon a Time in Hollywood" des caractéristiques manquantes des habitudes de Tarantino : la violence est assez légère, et les longs dialogues sur la pop culture sont ici absents. Néanmoins, il s'agit ici d'un film indéniablement personnel. Avec une impressionnante reconstitution (décors, costumes, personnages secondaires historiques, faux extraits de films/série...), Tarantino livre une chronique touchante du Hollywood de l'époque et de son enfance, et loue les mérites des séries B. Certes, l'intrigue est ténue (voire absente), se limitant à une chronique sur quelques personnages. Mais les acteurs sont très en forme, avec en tête Leonardo DiCaprio en acteur narcissique dont la carrière périclite, et Brad Pitt en cascadeur talentueux qui reste dans l'ombre et sacrifie son existence pour soutenir la carrière de son ami. Par ailleurs, plusieurs scènes sont réussies, et apportent de beaux moments de tensions ou humoristiques. Sans parler du final, spoiler: étonnant et cathartique, qui porte un message amusant (les séries B peuvent sauver le cinéma d'auteur grand public, les héros du petit écran peuvent devenir héros dans la vraie vie sans le savoir)
. Néanmoins, pour apprécier pleinement "Once Upon a Time in Hollywood", il est tout de même nécessaire de connaître un peu le cinéma de l'époque, et surtout l'histoire du funeste destin de Sharon Tate. Sans quoi certaines scènes tomberont à l'eau (les scènes avec Margot Robbie, déjà un peu faibles à la base, la présentation de la Manson Family...). "Once Upon a Time in Hollywood" risque donc de diviser son public, mais demeure intéressant.

Comme toujours techniquement irréprochable, Tarantino a laissé libre court à son imagination, il a voulu se faire plaisir (plus que d'habitude dirons nous), son film ne s'adresse pas à la totalité de son public adepte de fusillade. Ceux qui ignorent le cinéma des années 60-70, et surtout la tragédie vécu par Sharon Tate, risquent de s'ennuyer sévèrement. La reconstitution magnifique des années 60 est une des principale force du film, il est évident que le réalisateur possède une grosse nostalgie pour cette époque. L'autre atout majeur c'est la composition des 2 acteurs principaux, encore impeccable. Typiquement le genre de film qu'on apprécie de plus en plus après plusieurs visionnages.