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    Once Upon a Time… in Hollywood
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    2 061 critiques spectateurs

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    fujitsu003
    fujitsu003

    3 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mars 2020
    Brillant dans ses graphismes, ses dialogues, son jeu d'acteur, son ambiance terriblement jouissive, le dernier Tarantino épate. On ressent tous l 'amour du cineaste pour le cinema et tout fonctionne a la perfection.
    Ύαηηού Ρσρσύ
    Ύαηηού Ρσρσύ

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2022
    Les Seventies à Hollywood vu par Tarantino... Cela donne une longue traversée psychédélique d'un flou artistique magnifiquement déluré, décousu et loufoque vers june fin épique et hilarante.
    Aude B.
    Aude B.

    1 abonné 12 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 février 2020
    Où en sommes-nous arrivés pour plébisciter un film aussi ennuyeux ? Quand on voit, parallèlement, que la palme d'or avait été remportée par le film Parasite... Je considère que l'on est tombé bien bas dans le choix de la qualité. Très déçue.
    Artriste
    Artriste

    92 abonnés 1 860 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2020
    Avec Once Upon A Time In Hollywood, Quentin Tarantino revisite à sa sauce la destinée de Sharon Tates pour un résultat discutable. L'histoire en réalité ne fait qu'effleurer cet événement et pendant deux heures vingt va nous raconter la vie d'un acteur et de son cascadeur qui vont tournés des films. J'ai trouvé ça plaisant à suivre et je me demandais vers quoi il voulait nous diriger car au final il ni a aucun enjeu pendant une très grosse partie du film. Malgré cela, l'ambiance fin des années 60 est bien retranscrite et fait que c'est agréable. Au vu de la longueur du film je craignais de m'ennuyer par moments mais au final il n'en est rien même si parfois on sent des petites longueurs inutiles mais ça ne nuit pas pour autant à l'oeuvre. N'empêche que j'ai du mal à comprendre ce que Tarantino à voulu raconter ici. Il y a pas mal de vide et le manque d'intrigue laisse perplexe. Les personnages de Rick et Cliff sont réussis et j'ai beaucoup aimé leur amitié. Malheureusement on ne peut pas en dire autant de Sharon qui n'est pas du tout approfondi. Les acteurs qui les incarnes sont évidemment au top même si DiCaprio est loin de son meilleur rôle. Par contre pour moi la grande force du film vient de Brad Pitt qui incarne un personnage qui lui sied à ravir. J'ai adoré sa performance et le film mérite d'être vu juste pour lui. Margot Robbie quand à elle n'a rien d'exceptionnel mais c'est du à son personnage totalement creux et Al Pacino n'est vraiment pas utile. Les autres acteurs font le job et leurs personnages sont tous plaisants. Les répliques quant à elles sont plutôt bonnes mais ça manque cruellement d'émotions. Certes par moment c'est drôle mais on ne ressent pas grand chose. Il y a seulement deux passages qui sortent un peu du lot à savoir la scène ou Cliff se trouve au ranch et évidemment les 15 dernières minutes qui enfin apportent leur lot d’émotion avec de l'humour et de la tension qui vont devenir jouissif. Malheureusement il faut attendre cette scène de fin pour retrouver la folie du réalisateur qui nous as habituer à plus de moments comme cela. La fin est franchement bonne dommage que tout le film ne soit pas de cet acabit. Pour ce qui est de la réalisation, Tarantino sait mettre en scène ça on le sait et c'est bien filmé mais encore une fois je trouve que c'est trop gentillet et que ça manque de folie et d'idées. Même la b.o. qui est plaisante manque d'un petit quelque chose et n'est pas toujours utilisé de manière judicieuse. Once Upon A Time In Hollywood me laisse un gout d'inachevé, malgré qu'il est pris le temps de développer son film, il manque pas mal de choses pour qu'il soit complet et montre parfois ses limites comme avec cette narration qui intervient d'un coup vers la fin sans que ce soit trop justifié pour accélérer le développement. Ça reste un bon film mais j'attends plus d'un réalisateur de la trempe de Tarantino.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 4 février 2020
    Très déçu.
    Je le suis déjà des dernières réalisations de Tarantino. Je crois qu'il n'a plus réussi à me convaincre totalement depuis les KillBill. Mais là, rien. Sinon quelques numéros de Pitt et DiCaprio; le 1er tout en sobriété (plastique mise à part), l'autre en situation de détresse psychologique (ce qui, à stade de sa carrière en est presque jubilatoire). Le film se nourrit de différents mythes. BruceLee, d’abord, dont je ne vois pas l'intérêt d'avoir remuer le cadavre spoiler: sinon pour mettre un des héros de QT en valeur (puisque quand brad et bruce se battent, c'est brad qui gagne. Accessoirement, BruceLee, est présenté comme un merdeux castagneur...)
    ]. Et, RomanPolanski ensuite, qui n'a d'autre rôle dans le film que celui de porteur de potiche et de point de référence - sinistre, s'il en est - au meurtre de sa femme SharonTate, que "tout le monde" a oubli (Charles Manson lui ayant voler la vedette dans tous les sens du terme...). SharonTate, promesse de lumière aussi incommensurable que la tâche sombre jetée par son meurtrier sur l'histoire du cinéma, apparaît aussi furtivement que Manson et Polanski.
    Comme si les personnages de série B pouvait réécrire l'histoire (et nous faire oublier l'ancienne), que ce soit Pitt (et dicaprio) dans "once upon" ou les Bastards dans les Inglorious.
    Laurent F
    Laurent F

    15 abonnés 146 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 février 2020
    Avant tout, pour bien assimiler ce film, et surtout la fin, il faut déjà connaître la triste histoire de la belle et talentueuse Sharon Tate.
    Voilà...
    Vous pouvez vous installer et regarder un pur Tarentino, avec Pitt et Di Capprio exceptionnels, dans cette déclaration d'amour au cinéma.
    Selingues G
    Selingues G

    64 abonnés 951 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 février 2020
    On peut apprécier On Unpon a Time in Hollywood de deux manières :
    1/ Soit en tant que du Cinéma
    2/ Soit en tant qu'un simple film avec beaucoup de dialogues et très peu de sens.

    Je fais partit de la première catégorie de personne tant Tarantino a le soin du détail et transmet à travers ce film tout son amour pour le cinéma, celui de la grande époque et porté par deux acteurs qui auraient pu faire partit de cette grande partie d'acteurs.
    Avec un duo d'acteurs excellent et la présence lunaire de Margot Robbie, le dernier film de Tarantino reste un énième ovni dans la filmographie de ce réalisateur qui arrivera toujours à nous surprendre.

    Un classique
    Eric C.
    Eric C.

    215 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 février 2020
    À vrai dire après l'avoir vu je ne sais que penser du film. J'ai au final plus l'impression d'avoir vu une succession de scènes de cinéma avec certes une unité de temps, de lieu, de personnages, etc, plutôt qu'un film cohérent, construit avec un début, un milieu, une fin. Car ce film part un peu dans tous les sens et s'il fallait le raconter je serai un peu embêté sinon à le résumer en 3 ou 4 phrases qui constituent sans doute sa présentation en résumé mais ne résume en rien véritablement une histoire. Par contre, ces multiples scènes de cinéma, quel pied, quel plaisir, avec une impression de n'avoir vu qu'un enchaînement de moments cultes avec une maestria et une perfection totale. Perfection et détails dans les costumes, chaque élément de décor jusqu'au moindre petit objet, des musiques, des lumières, de la photo, des mouvements de caméra . Sans aucun doute la plus fabuleuse reconstitution jamais vue au cinéma de cette époque et de cet environnement. Et puis il y a les 2 monstres sacrés, pas du tout une confrontation, non une formidable osmose et fulgurance que ce soit dans les moments de solo ou de duos. Brad Pitt et Leonardo Di Caprio, 2 phénomènes existant à la même époque et ici dans le même film,comme si Messi et Christiano Ronaldo jouaient ensemble mais l'un pour l'autre. Impossible de décrire toutes les scènes où ils sont époustouflants, impossible de les comparer, seul le plaisir à venir de revoir tel ou tel moment reste et restera. Et puis comme toujours avec Tarantino, le soin et l'importance donné à chaque second rôle, chaque apparition même, la justesse ultime. Ajoutons à cela le rôle quasiment muet de Margot Robbie en Sharon Tate où Tarantino ne la fait s'exprimer et être Sharon Tate que par son corps, ses mouvements, son physique, ses mimiques, expressions, attitudes. Elle est comme toujours sublime de beauté, charismatique, accroche la pellicule et illumine l'écran. Quand elle apparaît on la regarde bouger, réagir, hypnotisés on ne s'en lasse pas. Un excellent film de Tarantino mais plus que le film une succession d'images, de tableaux, scènes qui sont de purs chefs d'œuvre.
    Julien D.
    Julien D.

    3 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 janvier 2020
    Franchement pas terrible du tout. Je suis déçu qu'un casting comme celui là soit gâché ! Le jeu d'acteur est très bon mais l'histoire 😕😕😕 c'est pas possible !!!
    videoman29
    videoman29

    216 abonnés 1 813 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2020
    Avec « Once upon a time... in Hollywood », Quentin Tarantino démontre à ceux qui en doutaient encore qu'il est toujours le réalisateur le plus créatif de sa génération (et sans doute plus encore). Son scénario est un puits sans fond de références cinématographiques et on y découvre avec bonheur les inspirations diverses et variées qui ont jalonné l'ensemble de son œuvre depuis ses débuts. On y retrouve également bon nombre des acteurs et actrices qui ont l'habitude de l'entourer et dont il a fait sa joyeuse bande au fil du temps. Ainsi Brad Pitt et Leonardo DiCaprio se disputent l'affiche, bien aidés par de glorieux seconds rôles comme Michael Madsen ou encore Kurt Russell. L'histoire, basée sur l'amitié entre une star de cinéma et sa doublure est passionnante et nous montre avec un certain réalisme les coulisses d'Hollywood. Évidemment, Tarantino oblige, l'ensemble est délicieusement ponctué de passages drôles et déjantés... mais c'est bien la dernière scène qui « remporte le pompon » avec une explosion de violence d'une rare sauvagerie et d'une jouissive cruauté. Elle vaudra d'ailleurs au chien de l'équipe l'improbable trophée du « palm dog » au Festival de Cannes. Bref, une nouvelle perle du 7ème Art qu'il convient de voir, revoir et revoir encore pour en saisir toute la substantifique moelle... merci M. Tarantino !
    Clinteastwood
    Clinteastwood

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 janvier 2020
    ...dans ce "film" le nazisme en tâche de fond est toujours croquignolesque avec Tarantino et puis la déculpabilisation de polanski qui est dépeint comme la "vedette" marié à une cruche... c'est le pompon...sortez les mouchoirs!!
    On peut avoir les moyens et avoir très mauvais goût.
    "Framboise d'or pour ce navet" long et insipide.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 26 janvier 2020
    Déjà pas fan de Tarantino à l'origine je n'ai vraiment pas accroché avec ce film. Très très long à la Tarantino, cela aurai pu passé si cela avait un sens. Mais s'il y en a un je ne l'ai pas compris. Et la fin, à la Tarantino également. Mais la longueur du film me l'a fait détester. 1er Tarantino sur lequel je m'ennuie autant.
    prol3eter
    prol3eter

    2 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 janvier 2020
    les péripéties d'un acteur has been rick dalton (di caprio) et de sa doublure cascade et meilleur amis cliff booth ( brad pitt) et le destin croisées de Sharon tate (margot robbie) sa voisine a Hollywood la veille du 9 aout 1969 . monumental reconstitution de l'age d'or d 'Hollywood dans les années 60-70 . une minutie et une précision des détails d'une beauté visuel a couper le souffle di caprio en ançienne gloire de série tv qui tente de se refaire un nom a tout prix est prodigieux sa fragilité,ses angoisses, et sa propension a pleurer sur son sort et sa gloire d'antan le rende très touchant brad pitt en ami fidèle et homme a tout faire de di caprio fait une composition tout en décontraction et en cool attitude et arrive avec quelques scènes cultes en devenir (la sçene avec bruce lee , spoiler: la baston avec la bande de charles manson)
    a se hisser au niveau de son partenaire al Pacino en producteur de film fait aussi une composition adéquat a son immense talent coté féminin margot robbie tout en vintage et poupée barbie incarne avec légèreté Sharon tate et margaret qualley incarne avec talent une jeune hippie de la bande a charles manson un chef d'œuvre d'une virtuosité folle d une mélancolie et d'une nostalgie tout simplement émouvant
    scrapy
    scrapy

    6 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 avril 2021
    Je viens de finir de voir ce film est je suis perplexe. J aime beaucoup le style Tarantino mais celui là et différent. C’est la première fois que dans un film de ce réalisateur je ressent des longueurs dans l’histoire. Après je suis surprise par les tournures que prend l histoire. Je pense qu il ne faut pas penser à l histoire d origine car sinon on est perdu. En fait pour moi c est un film qui prend comme point de départ un événement tragique et qui imagine quel aurait pu être l histoire autour. Comme ça pour moi ça me va. Sinon le réel et l imaginaire se mélange trop et on en perd la vérité et après on ne sais plus ce qui est vrai ou non.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 055 abonnés 4 104 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2020
    Approchant la soixantaine et déjà présent dans le monde du cinéma depuis près de trente ans, Quentin Tarantino amoureux boulimique de la pellicule aura été moins dispendieux de son art qu'attendu, n'ayant réalisé que huit films quand il aborde le tournage de "Once upon a time...in Hollywood". Toujours référentiels, ses films ont tout d'abord été très novateurs et décapants pour depuis "Le boulevard de la mort " être frappés d'une panne d'inspiration de leur auteur qui a pu s'observer à travers le recours abusif aux recettes qui avaient fait le succès de "Reservoir dogs" et de "Pulp fiction". Semblait venu pour le fougueux réalisateur, le moment de faire son bilan. Quoi de mieux dès lors pour lui que de placer sa caméra au moment précis où le point de rupture s'est effectué entre le système venu de l'époque dorée des studios et le Nouvel Hollywood dont il est un héritier pour remonter aux origines de la passion qui a animé toute sa vie. Dans l'imaginaire collectif, ce point de rupture qui marque la fin du flower power se situe très exactement le 9 août 1969 quand les séides de Charles Manson vinrent jusqu'au numéro 10050, Cielo Drive pour massacrer Sharon Tate alors enceinte de Roman Polanski et trois de ses amis. Ledit massacre largement revu et corrigé constituera le climax du film. Pour y parvenir, Tarantino va se livrer à un large passage en revue de tout ce que le jeune vendeur de K7 Video d'Hermosa Beach qu'il était a vénéré dans le cinéma de série B des années 60. Devenu un réalisateur adulé, son regard s'est forcément imprégné de toute la réalité de l'envers du décor qu'il a pu découvrir en fréquentant les arcanes d'Hollywood. Le film en plus d'être nostalgique se teinte donc d'une certaine mélancolie qui l'a peut-être amené à réécrire l'histoire à sa manière comme il l'avait fait pour "Inglorious Basterds" (2009), son dernier grand film. Pour accompagner le spectateur tout au long de cette revisite nostalgique d'une époque finissante, le réalisateur/scénariste a choisi de prendre comme guide Rick Dalton (Leonardo DiCaprio), un acteur de séries télévisées sur le déclin qui ne saura pas comme le fit Clint Eastwood, prendre le bon vol à temps pour Cinecittà, accompagné de Cliff Both (Brad Pitt) sa doublure cascade. Les relations du duo marquées du sceau de la solidarité face aux vicissitudes de leurs métiers respectifs, seraient inspirées de celles qu'entretenaient à l'époque Burt Reynolds et Hal Needham. Les hommages sont nombreux et Tarantino n'a certainement pas son pareil pour savoir insérer ses personnages dans les lieux mythiques de cette époque désormais largement fantasmée, de la Playboy Mansion West où trônait Hugh Hefner en hôte démiurge au Corriganville Movie Ranch en ruines qui accueillit un temps la bande de Charles Manson, en passant par le Fox Theater ou le Cinema Dome. On y côtoie Steve McQueen (Damian Lewis) en pleine démonstration de sa fameuse cool attitude, un Bruce Lee (Mike Moh) arrogant défiant Mohamed Ali ou Sharon Tate (Margot Robbie) en train de regarder, énamourée, un de ses films mais aussi les harpies menaçantes du sieur Manson avançant vers leur funeste projet au rythme du fraternel et enjoué "Twelve-Thirty" des Mamas and the Papas. Sans doute un peu décousu, "Once upon a time...in Hollywood" qui peut se voir comme une déclaration d'amour d'un fan s'apercevant qu'il a vieilli, trouve malgré tout sa cohérence à travers le fil rouge tendu par la relation sincère d'amitié qui lie le duo que forment Brad Pitt et Leonardo DiCaprio, tous les deux épatants. La musique est comme toujours chez Tarantino complètement raccord avec le contexte, composée uniquement de morceaux contemporains à l'action. En un mot, Tarantino nous est revenu en forme. Espérons qu'il saura la conserver pour les quelques films qui lui restent à tourner s'il respecte sa parole de ne guère aller beaucoup au-delà d'une dizaine films réalisés. Le numéro neuf est désormais atteint.
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