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Pascal I
672 abonnés
4 060 critiques
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2,0
Publiée le 29 juillet 2018
Bof Bof ! Le début est captivant ensuite s’enchaînent les improbabilités pénibles. Aucune surprise dans le scénario. c'est de l'attendu, vu et revu. des scènes insuffisamment exploitées (qui auraient pu donner de l'épaisseur), ici, en voulant typé trop le film en thriller, on survol. 2/5 ! Dommage !!!
Filmé entièrement avec un iPhone 7 Plus. J’ai vu 4 personnes sortir de la salle je n’ai pas compris pourquoi ? Ce n’est pas un film d’horreur il ne fait pas peur contrairement à ce que la bande annonce peut faire paraître. Cependant c’est un bon thriller. J’ai bien aimé et je recommande ce film.
Soderbergh expérimente encore une fois dans sa longue filmo avec cette fois l'originalité de tourner avec un i phone , la technique est une chose, la question est si le film tiens la route sur le fond?! Réponse mitigé car jamais soderbergh nous donne l'illusion d'une véritable oppression dans cette hôpital et jamais sauf dans la longue scène presque final (dans la chambre capitonné) ont s'interroge sur la santé mental de la jeune héroïne qui croit voir (ou pas) son oppresseur dans sont environnement médical .Ambiguïté ? Ruse de Steven? il donne trop et pas assez à la fois.
« Mmhhh, pas mal ... mmhh ! Ce qui est dommage, c’est que le film « Paranoïa » n’ait pas su maintenir plus longtemps le suspense ... Au début du film, l’aspect du thriller psychologique est à la fois étouffant et palpitant. On suit avec angoisse, une jeune femme Claire Foy persuadée qu’un homme dont elle a repoussé les avances insistantes, continue de la suivre partout, elle se sent en permanence traquée. Elle guette partout pour repérer la présence du harceleur ! On a l’impression de plonger sans le vouloir, dans son paranoïa. On se demande aussi si elle est réellement victime ou ... folle, si elle délire ! En plus, filmé à l’iPhone, technique de réalisation intéressante, les décors de couleur jaunâtre ne nous aident pas à aérer, les différents plans alourdissent des sensations de malaise et d’insécurité ! Paniquée, elle se retrouve enfermée en Hôpital Psychiatrique contre son gré ! Eh bien, plus le film s’avance, le suspense s’étiole ... L’idée d’enfermer la victime est bonne mais elle est vraiment loin d’être à la hauteur du film « Misery ». En effet, je pense à l’infirmière Annie Wilkes, jouée par Kathy Bates dans « Misery », qui est bien beaucoup plus intimidante que le harceleur de Claire Foy. Tant que le film « Paranoïa » aborde un sujet malheureusement déjà plusieurs fois traité, le harcèlement, il n’apporte rien de nouveau franchement ! Mmmhh, dommage parce que le côté technique est pas mal tout de même ! »
Un thriller mineur dans la filmographie de Soderbergh. D'ailleurs, étrangement filmé, ce scénario évoquant l'oppression psychologique, l'enfermement, souffre de nombreuses improbabilités. Même si le stress monte crescendo, l'ensemble reste assez faible et prévisible.
Peu importe que le film soit filmé au téléphone, celui-ci n’est pas passionnant et peu inspiré. Après une première partie schizophrène intéressante, Soderbergh bâcle une série B qui ressemble à un thriller téléfilm sans aucun intérêt
un très bon début qui était très prometteur et laissé présagé un thriller efficace mais par la suite cela présente des longueurs et lenteurs qui mène à un peu d'ennuie. il peut se laisser attendre à visionné chez soit tranquille. comme j'ai la carte illimité pour ma part ça va pas de déception de sous perdu à payé un place chère pour ce genre de film.
On ne cachera de toute façon pas l’affect que l’on a face à la pluralité (et la qualité) des films de Steven Soderbergh ici, en ces termes (non objectifs, évidemment, sic) Paranoïa est une solide série B où le goût de la technique l’emporte un peu sur le reste sans pour autant effacer le fond d’une intrigue un peu folle mais prenante. En résulte un film expérimental, stressant, schizo et paranoïaque évidemment. Pour autant, cette intensité de mise en scène éclatante (filmé avec un smartphone pourtant) finit par l’emporter jusqu’au dernier plan, rappelant l’ambiance d’autres films majeurs du genre. requiemovies.over-blog.com
Le speech du film ne m'intéressait pas énormément même si je suis toujours attirée par les thriller. J'étais surtout intriguée par l'idée de Soderbergh de ne filmer qu'avec des Iphone. On peut dire que c'est un "choc", les plans sont plus serrés, la luminosité différentes et le cadre beaucoup plus réduit. Je n'ai finalement pas été très emballée par cet outil, le film paraît plus ancien qu'il ne l'est et les gros plans m'ont assez dérangés. Le film ne partait donc pas gagnant et ça ne s'est pas arrangé avec leur reste. L'histoire est vraiment ennuyeuse, on suit cette dernière de manière linaire, sans aucune émotions, si ce n'est quelques scènes dégueux dont une clin d’œil à Misery. Si Soderbergh a souhaité innover et faire preuve d'originalité, cela n'a pas fonctionné sur moi.
Un film d’une grande maîtrise, mais qui par moments à des baisses de tensions, pour que nous soyons totalement immergés dans ce scénario aux multiples rebondissements. Très recommandable!
Un bon film de Soderbergh. On croit à cette intrigue, et on hésite longtemps sur la paranoïa réelle ou supposée de la jeune fille .Le scénario est solide et le suspens prenant. Claire Foy est très bien , jouant en finesse et subtilité , donnant beaucoup d’elle même, elle est surement promise à une belle carrière. Un suspens presque " Hitchockien"..
la vie dans un hôpital psychiatrique pas très aux normes , ou une jeune fille se bat avec ses démons de la persécution, et un infirmier amoureux en vient aux pires atrocités pour reconquérir sa belle. le réalisateur nous plonge avec une certaine délectation dans les rouages malsains des gens très perturbés . ce thriller psychologique va loin dans la perversité , dans le délire , dans le mal être. et on sort un peu dérangé.
Steven Soderbergh livre un thriller efficace dont le scénario nous maintient en permanence dans le doute. La réalisation est techniquement dépouillée ce qui l’oblige à être originale et la rend particulièrement dynamique. Pas un chef d’œuvre mais une pierre à l’édifice de l’exploration cinématographique.