Derniers Avis : La Plateforme - Page 4

Trop d'incohérences et une fin ridicule... bref un film décevant et totalement nul. La bande annonce était alléchante, mais non...

Une fin qui nous laisse un peu perplexe, mais une narration bien ficelée, qui pousse à la curiosité de rencontrer la suite.

La Plateforme est un film dans lequel on retrouve l'esprit de Snowpiercer (excellente série Netflix, du moins la saison 1, au passage), à savoir la lutte des classes dans un monde où ceux d'en haut ont tout et ceux d'en bas rien, à ceci près que spoiler: chacun change régulièrement de barreau sur cette échelle sociale
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Le film est servi par une photographie et une colorimétrie superbes, une excellente réalisation, de bons acteurs et un scénario génial, et, bien qu'assez court, on n'a pas l'impression que cela manque de temps.
Malgré le choix du huis-clos qui, habituellement, soit comporte des longueurs, ou bien en fait tellement des tonnes pour maintenir la pression de manière à ce que le spectateur ne s'endorme pas que ç'en devient nul, ici on ne s'ennuie pas du tout, le réalisateur maintient une légère pression tout au long du film sans être trop présente et il n'y a aucune longueur.
Un des seuls défauts que je trouve à ce film reste que le réalisateur donne trop peu d'éléments pour comprendre, cependant j'ai une interprétation : spoiler: les deux héros finaux - dont j'ai oublié le nom - sont morts au cours du trajet et il n'y a ni 333e étage ni petite fille tout en bas, et le gâteau est resté sur la plateforme jusqu'en haut et est parvenu à l'étage zéro ; cependant, rappelez-vous qu'on a vu le chef des cuisines s'énerver comme jamais après avoir découvert une saleté - probablement un cheveu - sur le gâteau-message : ainsi, le gâteau, même s'il revient en haut, ne transmet pas son message, et tout recommence, encore et encore
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La Plateforme est un film assez difficile dans la complexité du message qu'il transmet, dans certaines scènes un peu gore, et, plus globalement, dans sa réalisation glauque. A voir, mais pas par n'importe qui.

Cela fait très longtemps que je voulais regarder ce film. Et je trouve que ce film vaut la peine d’être découvert car il est vraiment bien. Le concept est très intéressant et la façon de le mettre en scène est très minimaliste.

De façon brève et évidente, l’histoire est clairement prenante du début jusqu’à la fin mais parfois elle survole un peu trop son concept et ne va pas au fond des choses. Par contre, les péripéties sont plus que intéressantes (excepté quelques unes qui paraissent un peu stupides) et elles sont très bien amenées ; mais les personnages secondaires sont trop caricaturaux et manquent de développement. Même s’il est vrai que le personnage principal manque également de développement ; n’empêche que son évolution est très cool.

C’est la réalisation qui fait tout le travail sur les effets produits. Dans un premier temps, les bruitages et la musique sont très importants pour que le spectateur ressente de la tension de façon permanente. Ensuite, la photographie est très belle ; c’est-à-dire que grâce à elle, nous saisissons les moments de rêveries, de cauchemars ou les ellipses. Surtout que les plans sont plutôt jolis. Par contre, il est vrai que les mouvements de caméra et le cadrage sont assez faibles.

Je conseille ce film car malgré ses défauts, c’est une vraie pépite du cinéma espagnol et ce serait bête de ne pas découvrir ce film.

Un film radical qui ne trouve pourtant pas de conclusion à la hauteur. Ici, il ne s'agit pas simplement de couper la tête du mécanisme comme dans Snowpiercer (2013) ou Escape Game (2019) ou bien entendu Cube (1997) bien avant eux. La plateforme développe des relents de curiosité en fonction des niveaux parcourus, des questions qui subsistent bien après le visionnage.

Un film plutôt sympathique, avec quelques très bonnes trouvailles et quelques ratés.
En tout cas c'est divertissant et l'on regrettera simplement que le concept ne soit pas exploité au maximum et que tout ceci reste parfois un peu convenu.

L'univers est particulier, un peu dérangé. Il y a des règles (très simples) et aux humains de se débrouiller pour ne pas mourir. On ne s'ennuie pas malgré l'incessante répétition, c'est prenant, c'est bien fait.

Bon film mais la fin est tellement décevante que je ne peux lui attribué une meilleure note..........

Le scénario est hyper original, la mise en scène est vraiment superbe et si en réfléchis un peu pour se faire sa propre interprétation de la fin c'est juste génial. J'aime le léger flou que laisse la fin car on peut interpréter comme on le souhaite, même si ca reste quand même assez explicite entre guillemet. C'est vraiment un excellent film d'horreur : original, poignant, bien réalisé, message sur la société... On a vraiment besoin de plus de films comme ca.

Vous hésitez à le regarder ? Foncez ! Et si vous prenez le temps de réfléchir un peu à ce que le film veut vous dire vous allez vraiment apprécier le regarder.

Pour être honnête, je n'ai pu aborder ce film avec son plein potentiel, je n'ai effectivement jamais lu Don Quichotte. Cela ne m'a pas empêché d'essayer de comprendre ce film, malgré une fin pas très claire et très brouillonne. Ici la réalisation est bonne pour un premier long métrage, les jeux de lumière sont audacieux et mettent en avant la violence de ce film qui tombe, à mon sens, parfois dans le too much. Le message est clair et compréhensible mettant en avant toute la violence de l'humain et du système sociétal dans lequel il s'enferme. Les personnages sont intéressants et amènent leur lot de réponse. Le concept est génial. Et les références bibliques tellement évidentes qu'elles nous font presque mésentendre le symbolisme de la fin tant elles ont été montré avec une grande indélicatesse. Le film est cependant marquant (pour de bonnes et mauvaises raisons) et j'encourage à le voir pour se faire sa propre opinion. Attention avoir l'estomac accroché tant le film est écœurant dans son horreur et son hyperviolence.

J'ai adoré le concept de ce film ! Un film sombre, à faible budget, mais avec un concept et un scénario vraiment bien foutu !

Esthétisant. Ca renifle à plein nez le Dirphot' tout droit venu de la pub'. Le décorateur doit aussi oeuvrer dans le même domaine. Le côté saignant, viandard et vaguement parabolique tout droit puisé de La Passion du Christ de Meil Gibson, sauf que ce dernier avait au moins un point de vue historique.
Pour ne pas comprendre immédiatement la métaphore il faut être en train de roupiller après un repas trop copieux, tiens c'est le sujet du film ! Ceux d'en haut se gavent au détriment des étages inférieurs, mais de temps en temps, la morale est sauve, ceux d'en haut sont propulsés aux plus bas étages.
Il y a toutefois un point de vue très d'actualité, c'est le fait que chaque prisonnier du système à la certitude d'avoir choisi son sort, puisque d'autres options étaient possibles. Cet angle ci nous conduit en plein dans Le Discours de la Servitude Volontaire d'E. de La Boétie, ainsi qu'une petite plongée chez Aldous Huxley et Le Meilleur des Mondes. C'est cela qui apporte une différence légère à un simple film un brin intello donc assez simpliste.
Sa fin qui n'en est pas une, petite coquetterie pour faire causer donc faire fonctionner le bouche à oreille, genre - Et toi la fin t'en penses quoi? J'ai pas vu le film ! Ah mince du devrais j'aimerais avoir ton point de vue.

Originale présentation de notre société et de psychologie sociale, un film qui nous pousse à réfléchir à ceux qui sont en haut et à ceux dit de en bas ... en soit la fin importe peu, le cheminement semble plus intéressant

La Plateforme est un film dans lequel on retrouve l'esprit de Snowpiercer (excellente série Netflix, du moins la saison 1, au passage), à savoir la lutte des classes dans un monde où ceux d'en haut ont tout et ceux d'en bas rien, à ceci près que spoiler: chacun change régulièrement de barreau sur cette échelle sociale
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Le film est servi par une photographie et une colorimétrie superbes, une excellente réalisation, de bons acteurs et un scénario génial, et, bien qu'assez court, on n'a pas l'impression que cela manque de temps.
Malgré le choix du huis-clos qui, habituellement, soit comporte des longueurs, ou bien en fait tellement des tonnes pour maintenir la pression de manière à ce que le spectateur ne s'endorme pas que ç'en devient nul, ici on ne s'ennuie pas du tout, le réalisateur maintient une légère pression tout au long du film sans être trop présente et il n'y a aucune longueur.
Un des seuls défauts que je trouve à ce film reste que le réalisateur donne trop peu d'éléments pour comprendre, cependant j'ai une interprétation : spoiler: les deux héros finaux - dont j'ai oublié le nom - sont morts au cours du trajet et il n'y a ni 333e étage ni petite fille tout en bas, et le gâteau est resté sur la plateforme jusqu'en haut et est parvenu à l'étage zéro ; cependant, rappelez-vous qu'on a vu le chef des cuisines s'énerver comme jamais après avoir découvert une saleté - probablement un cheveu - sur le gâteau-message : ainsi, le gâteau, même s'il revient en haut, ne transmet pas son message, et tout recommence, encore et encore
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La Plateforme est un film assez difficile dans la complexité du message qu'il transmet, dans certaines scènes un peu gore, et, plus globalement, dans sa réalisation glauque. A voir, mais pas par n'importe qui.

Un scénario inattendu et original. J'ai apprécié le concept et son déroulé qui nous tient en haleine et nous montre l'égoïsme et les difficultés de la société humaine. Sans être exceptionnel, j'ai passé un bon moment, distrayant.