Avis sur Jeunesse sauvage

quelle claque ! "jeunesse sauvage" est bien loin de la plupart des films français . de la réalisation au acteurs casi tout est parfait .les fims a un synopsis basique ( des jeunes qui vole en bande ) mais le film lui non . déja le scénario est géniale , on ne tombe pas les cliché . et le film na caricature pas les jeunes . la mise en scene est un peux classique mais trés apréciable . les acteurs sont excellent et pareilles pour les fx . le seul truc que je reproche sont certaines scens un peux "brouillon" spoiler: la scene ou il se font ataquer dans le parking est trés flou . on comprned juste que ils se batent c'est un peux bordélique .
mais sinon le film est casi pafait . surtout pour un film français . a voir

"Jeunesse Sauvage" est le premier long métrage de cinéma de Frédéric Carpentier, un réalisateur qui arrive avec une certaine expérience du métier puisque, après des études de philosophie, il a travaillé comme scénariste pour Érick Zonca et pour André Téchiné. Il a également animé des ateliers de réalisation en cités et en quartiers difficiles, activité qui lui a été très utile pour la réalisation de Jeunesse Sauvage. Avant ce long métrage de fiction pour le cinéma, Frédéric Carpentier avait réalisé en 2005 un long métrage pour Arte, "Les Vagues", premier film sur l’univers du surf à être réalisé en Europe. En ce qui concerne "Jeunesse sauvage", encore un film sur de jeunes délinquants issus de ce qu’on appelle « les quartiers », ne manqueront pas de dire un certain nombre de cinéphiles. C’est vrai, on en voit beaucoup en ce moment, de même qu’on voyait de nombreux films de gangsters il n’y a pas si longtemps. Grâce à la connaissance de ce milieu de la part du réalisateur, grâce à la belle photo de Romain Le Bonniec, grâce à l’absence de gras inutile du fait d’un montage nerveux, grâce à la qualité de l’interprétation, Jeunesse sauvage se place dans le haut du panier dans cette catégorie de films.

Un film intéressant dans un environnement peu traité au cinéma porté par un jeune casting prometteur. On pourra cependant regretter des faussetés dans le jeu et des raccourcis d'écriture qui ne rendent pas le propos toujours très crédible.

Je suis content de cette seconde séance car j’ai trouvé ce drame bien. Il est vraiment impactant par l’énergie qu’il dégage. Celle-ci se matérialisera souvent par la violence. Il est court (1h20) et intense. On est tout de suite plongé dedans et pour autant l’immersion est facile. L’histoire est présentée simplement avec des bases solides pour être bien impliqué. Le scénario n’est pas très développé, mais suffisamment intéressant pour prendre le spectateur. On sent que Frédéric Carpentier est à l’aise avec le sujet. Il s’est documenté et retranscrit bien le ressenti de la rue. Certes par moments ça peut être un peu « trop » mais c’est aussi dû à la condensation des événements. Beaucoup de choses se passent en un laps de temps court. Je pense que le casting sauvage est aussi un élément clés de cette réussite. Cela donne un côté réaliste qui est un atout majeur. En parlant des acteurs, j’ai été vraiment impressionné. En tête il y a Pablo Cobo. Il a une superbe interprétation. J’ai beaucoup aimé son personnage qui est profond. On n’a pas seulement la violence de façade, on va explorer sa psychologie. Il y a une nuance qui m’a plu. Son associé Darren Muselet, découvert dans MON FRÈRE (2019), est aussi très bon. J’ai été moins convaincu par la fin qui est faite à la va-vite. Il n’y a pas cette intensité émotionnelle attendue et la chute qui l’aurait fait passer dans une catégorie supérieure.

On aimerait rentrer dedans mais ça ne veut pas, même en forçant. Pourquoi ? Le casting déjà, amateur, avec en chef de bande un beau gosse à bouclettes qu'on croirait tout droit sorti d'une FAC de droit du 16ème. Le manque de crédibilité ensuite, appuyé d'ailleurs par un côté brouillon à l'image. Par contre, tout n'est pas à jeter non plus, et notamment dans les rapports humains qui nous sont parsemés tout au long du film et qui contrebalancent l'action. Premier film maladroit donc, mais réalisateur à suivre.

Plutôt rythmé et sans temps mort, "Jeunesse sauvage" tend à nous dresser le portrait d'une jeunesse perdue.
Le tableau, sombre, semble néanmoins "sur-peind" et pâtit d'une crédibilité déficiente, au point de tomber dans une navrante caricature.

Il s’agit là du premier long-métrage de Frédéric Carpentier qui a puisé dans son vécu pour écrire le scénario de Jeunesse Sauvage. L’histoire de Raphaël et de sa bande jusqu’à sa conclusion est assez classique elle est toutefois agrémentée d’une autre intrigue concernant la père du héros. Là où le film parvient à se démarquer c’est par l’intermédiaire de l’acteur Pablo Cobo qui apparaît comme une véritable révélation. Il incarne à la perfection ce personnage trouble avec une gueule d’ange qui ne peut pas vous laisser insensible. Une belle interprétation qui trouve un écho avec ce casting hétéroclite composé à la fois d’acteurs amateurs et professionnels. Assurément une belle découverte cinématographique à faire !

Des jeunes désœuvrés.... ou plutôt préoccupé par l'argent facile.... pour une fois la drogue n'étant pas la partie centrale ainsi que les cités.... se laisse voir... 2 étoiles et demie.

Très bonne surprise ce film mené par un super jeune acteur (Pablo) un film dramatique ou l'on suit une bande de jeunes voleurs et les dérives de la violence. La relation père et fils est particulièrement touchante. Et la fin est dramatique. Un bon moment

Premier long-métrage de Frédéric Carpentier maîtrisé de bout en bout avec un Pablo Cobo impeccable dans son rôle. À vrai dire l'interprétation de l'ensemble du casting est sans défaut et c'est ce qui fait qu'on croit à cette histoire dont le format concis joue à la fois en sa faveur, le rythme étant soutenu, et en sa défaveur, le scénario manquant un peu de relief et souffrant de quelques raccourcis, faute de temps.

Raphaël le chef charismatique d’une bande de jeunes voleurs tue accidentellement le chef d’une bande rivale. Dès lors marqué par ce crime il ne peut plus échapper aux caïds locaux qui veulent le voir monter en grade ni à sa propre bande qui rêve de nouveaux exploits. Sa volonté d’échapper à un destin de prédateur va se heurter à un monde fermé et le mener à sa propre perte. C'est une éloge de la délinquance des jeunes et Jeunesse Sauvage agace le spectateur par ses stéréotypes des jeunes de cités prêts à tout pour de l'argent. En vérité au vu du très grand nombre de personnages l'histoire perd en spontanéité entre les petits caïds autour de Raphaël et ses tracas habituels. Le jeu de tous les acteurs est uniformément calamiteux et le scénario aussi. Ca grince des oreilles au vu des trop nombreux cris de tous ces batailles inutiles a l'histoire...

Je recommande ce film que j'ai vu en avant-première à Montpellier. Très touchant, humain, vrai.. on aime ces jeunes et c'est ce qui fait le génie de ce film: Nous faire sentir proche de ceux qu'on n'a pas l'habitude ou même peur de côtoyer. A la fin du film, nous avons pu rencontrer les acteurs, pratiquement tous venus de foyers ou quartiers défavorisés, jouant dans ce film leur propre rôle, avec beaucoup de fraîcheur et de sincérité.

Incroyable voyage initiatique. Je recommande ce superbe film brillamment joué, tourné et réalisé. Pablo crève l'écran ... jusqu'à la dernière scène inattendue et terriblement émouvante. Courez le voir en salle !

un bon petit film agréable à regarder, un bon casting mais une impression de déjà vu à la fin, il manque quelque chose dans le développement final un peu trop court.

Bonjour à tous,

Une vraie tuerie ces jeunes ont tout déchirées !!

Je l’ai vu en avant-première à Montpellier et je vous conseille à tous de vous rendre dans les salles des sa sortie le 22 juin !!!

Encore bravo pour ce film 👏👏👏