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    Synonymes
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    70 critiques spectateurs

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    233 abonnés 1 602 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 avril 2019
    Yoav fuit son pays, Israël, pour s’installer en France, à Paris, dont il idéalise la vie, les valeurs, la langue… Film très original, très libre, très littéraire et très… déconcertant. Où il est question d’identité israélienne et d’identité française, entre fantasme et réalité, au fil de scènes inconfortables et d’un parcours erratique. C’est totalement imprévisible, tantôt fascinant, tantôt agaçant. Conceptuel et incarné. Paradoxal et confus. Un petit quelque chose de Godard. Au final, pas sûr d’avoir tout bien compris du sens et de la finalité de ce film qui ne laisse cependant pas indifférent.
    Les choix de pauline
    Les choix de pauline

    115 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 octobre 2019
    SYNONYMES de NADAV LAPID

    Intrigant, déroutant, déstabilisant, radical.

    Film en colère et pourtant très posé,dont le héros est un taureau fulminant, dérangeant, qui nous bouscule de son corps tendu , boule de muscles menaçante que l’on sent prête à imploser à tout moment.
    il nous hypnotise aussi avec sa voix douce et mélancolique, avec la scansion de ces mots français auxquels il s’accroche, litanie libératrice de ce qui le hante .
    Cependant , la radicalité de cette colère n’est pas la mienne, et m’est restée souvent inaccessible, même si l’on comprend bien ce qui la soutend.
    Un film fascinant mais qui m’a laissé souvent en dehors, mais reste très original et nous pousse à nous interroger.
    Romaric44
    Romaric44

    15 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 janvier 2021
    Film totalement dénué d'intérêt, c'est interminable.
    On ne comprend pas du tout où veut en venir le réalisateur, le film est très mal monté et trop de choses ne sont pas expliquées.
    Les acteurs sont très mauvais et récitent simplement les dialogues sans aucune conviction, même eux donnent l'impression de s'ennuyer.
    Le seul intérêt serait peut-être le physique avantageux de l'acteur principal (et çà ne suffit pas).
    Boby53
    Boby53

    11 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 juin 2019
    Critiques flatteuses, pitch allechant, allons y! Mais des les premiers plans on se trouve devant des facilités scenaristiques, et malgre certaines scenes emballantes ( les derives dans Paris, les interrogations des personnages...) d'autres chapitres alourdissent ou denaturent le propos. A l'arrivée on reste perplexe et devant ces deux heures tres disparates, on regrette le film que cela aurait pu être. Le comedien principal est par contre assez surprenant!
    Jeanne;brt
    Jeanne;brt

    5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 avril 2019
    Décidément... le cinéma israélien devient de plus en plus brillant... J'ai été subjuguée par la manière dont Nadav Lapid réussit à peindre l'exil, et surtout à raconter l'arrivée de son personnage à Paris. L'image de son manteau orange me hante depuis la séance.
    gliaouaga
    gliaouaga

    1 abonné 28 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 février 2020
    Film sans intérêt.
    Surjoué, mal enchaîné.
    L'acteur est vraiment sans saveur mais peu être mal dirigé.
    Laurence Belleville
    Laurence Belleville

    3 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 août 2020
    Film interminablement ennuyeux. Pour l'Ours d'or à Berlin je ne comprends pas j'ai dû raté quelque chose. C'est long, très long, il ne se passe rien ce film est plat un vrai calvaire.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 2 décembre 2019
    Eh beh... Alors, que dire ? Dès les premières secondes, ça sent pas bon. Mais, ayant lu les critiques, positives et négatives, je me dis que le mieux c'est d'aller jusqu'au bout et de juger par moi même...
    Un condensé de fantasmes, de délires intello. Pas tout à fait nul. La séquence de la marseillaise est assez drôle.
    Mais, au bout, qu'est-ce que ça dit ? La France a disparu ? Laquelle ? A quel moment a on arrêté le cliché ?
    A Napoléon ?, à la révolution ?, à Louis XIV ? à Pétain ? Et puis, tant qu'à faire, quand on veut faire un film, autant qu'il soit agréable à suivre. Pas juste une suite de scène sans vraiment de sens...
    TheMadCat
    TheMadCat

    14 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 novembre 2020
    Audacieux, puissant, âpre, déroutant, original…. Pour parler du nouveau film de l’israélien Nadav Lapid, ours d’or à la Berlinale de 2019, les adjectifs ne manquent pas, mais difficile en revanche de n’user que de synonymes pour évoquer une oeuvre à l’originalité indéniable, qui semble piocher dans tous les genres et surprend par son âpreté et par la force qui émane d’un kaléidoscope de scènes puissantes et intenses.

    Synonymes est d’abord un film qui étonne. Par le sujet qu’il aborde, inspiré de l’expérience du réalisateur - Yoav, israélien, fuit pour la France son pays qu’il abhorre, et décide de ne plus parler un mot d’hébreu - mais aussi par ses personnages, tous complexes (parfois mentalement dérangés?) et à l’identité jamais clairement intelligible, du jeune bourgeois plein aux as qui tente par l’écriture de donner de la teneur à une vie d’une écrasante banalité au Juif qui cherche à débusquer l’antisémite sous chaque individu, en passant par un protagoniste qu’on ne parvient jamais vraiment à cerner.
    Déroutant, le film l’est aussi par les incohérences d’un récit chaotique, incohérences qui privent le spectateur de tout point de repère. Pourquoi Yoav va t-il se faire embaucher à l’ambassade de France d’Israël s’il déteste son pays? Comment trouve t-il dès son arrivée un appartement à occuper? Comment séparer le vrai du faux dans les récits qu’il livre de son enfance? Des hésitations qui reflètent l’errance du protagoniste, désillusionné par la réalité d’une France qu’il avait idéalisée.
    Enfin, c’est également l’aspect formel (une succession de plans rapprochés, une caméra en mouvement quasi-perpétuel…) qui bouleverse les attendus.

    Synonymes est aussi un film qui marque par son côté brut et par son âpreté certaine, qui rappelle parfois celle du documentaire. Peu de musique hormis celle jouée par les personnages, des caméras qui cernent au plus près un visage qu’aucune émotion ne traverse jamais, des corps qui l’on voit nus, frigorifiés, jouissant ou humiliés.
    Et une tension qui imprègne le film en même temps qu’une violence contenue que l’on sent prête à ébranler à tout moment ce corps puissant et fort qui occupe une place prépondérante à l’écran. Mais si le film marque, c’est aussi par le nombre de sujets qui pointent à l’écran - l’identité et la désillusion, l’arrachement à la patrie, l’intégration, le rapport aux mots ou la fidélité - sans jamais faire l’objet d’un traitement explicite, d’une dénonciation ou d’un plaidoyer. Et si Lapid s’autorise la critique, c’est en laissant de côté conformisme et attendus pour préférer une ironie cynique (on pense ici à la scène de l’école républicaine).

    Finalement, Lapid nous montre des faits, une histoire qui n’est jamais limpide, des plans qui indigent, émeuvent ou surprennent, mais se tient toujours à distance et évite toute explicitation. Les références abondent, les interprétations aussi, mais il n’y a personne ici pour nous prendre par la main.

    Impossible donc de rester de marbre devant Synonymes. On est embarqués (dès le premier plan, caméra en main, qui suit la course du personnage dans les rues de la capitale), dans un récit qui ne nous laissera aucun répit. On nous montrera tout, on nous donnera à voir des scènes d’une hétérogénéité déroutante en nous épargnant tout didactisme, nous laissant seuls face à la tension et la forme d’étrangeté qui émanent d’une histoire trouble et atypique livrée sans fioritures, interprétée d’ailleurs avec une force rare par l’acteur principal Tom Mercer, révélation du festival.
    Mais on aurait tort de se focaliser uniquement sur la forme, puisque dans Synonymes, il y aussi de l’humain. Humanité d’un bourgeois sans repère, d’un père inquiet pour son fils, d’un Yoav déterminé et intègre.

    On pourra reprocher à Nadav Lapid d’abandonner trop tôt l’idée pourtant séduisante de faire parler son personnage en synonymes, de livrer un récit bancal ou de s’éparpiller dans une deuxième partie trop confuse. Mais on ne retirera au film ni l’originalité du fond et de sa forme, ni son refus du conformisme, ni sa force et son efficacité certaine.
    Synonymes reste un long-métrage déroutant mais fort, âpre mais puissant. Une donnée brute qu’il nous faudrait lentement digérer et apprécier pour interpréter ce que Lapid nous donne à voir sans complaisance ni artifice avec une distance qui rappelle parfois celle du documentaire.
    C’est nouveau, déroutant, puissant et intelligent.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 23 janvier 2020
    prétentieux. mal joué. ennuyeux à mourir. difficile de trouver 100 caracteres pour rédiger un commentaire tellement ce film est creux.
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