Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Mad Movies
par François Cau
Junk Head est un pur acte de foi, le témoignage de la volonté insubmersible d'un artiste possédé par sa vision et le besoin turgescent de la partager avec quiconque languit de sortir des sentiers balisés de la science-fiction traditionnelle.
20 Minutes
par Caroline Vié
« Junk Head » est un film de science-fiction aussi original que dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Audrey Jeamart
Les gros studios peuvent aller se rhabiller, la détermination et le talent d’un seul homme sont capables d’offrir l’une des plus belles propositions du genre vue depuis longtemps. Fabuleux.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Peut-on être un parfait inconnu, autodidacte, et faire d’un premier film un petit chef-d’œuvre ? Le Japonais Takahide Hori apporte une réponse affirmative avec Junk head , tout à la fois un miracle, une prouesse et l’un des films d’animation les plus singuliers vus depuis longtemps.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
D'une inventivité impressionnante lorsqu'il s'agit de créer un monde de toutes pièces (littéralement), Junk Head est un accomplissement technique et artistique hors du commun.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Margaux Bonfils
Le tout premier film d'animation de Takahide Hori sort du lot grâce à son style à la fois dérangeant et fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Erwan Bargain
Une œuvre destinée à devenir culte auprès des amateurs d’objets filmiques non identifiés.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Junk head est une incroyable épopée futuriste postapocalyptique, une dystopie underground dans laquelle une épidémie a décimé un tiers de la population mondiale : il faut sauver la race humaine et descendre dans un monde souterrain qui ressemble au Metropolis kafkaïen de Fritz Lang.
Le Parisien
par La Rédaction
Bluffant graphiquement et sidérant au niveau de son récit (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Joseph Cartron
Créé quasiment de toutes pièces par son réalisateur, T. Hori, Junk Head n’a pas à rougir de son résultat final et s’affirme comme une œuvre potentiellement culte de l’animation en stop motion, notamment grâce à son humour et à son univers déviant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Voici
par La Rédaction
Sombre, organique, angoissant. Mais aussi, riche, subtil et tendre.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
L’auteur de ce film, à côté duquel ceux de Lynch sont des bluettes compréhensibles, n’est pas seulement un virtuose de la marionnette, il possède aussi le sens du cadre et de la perspective. Et sa mise en scène est d’une inventivité étourdissante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Clarisse Fabre
Junk Head souffre peut-être de quelques longueurs, mais rend émouvants des personnages qui ont des boulons à la place des yeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
Un récit dystopique à la forme fascinante, mais au scénario trop répétitif pour convaincre pleinement.
Positif
par Yann Tobin
Le principal défaut de l’entreprise réside dans l’écriture d’un scénario répétitif, privilégiant l’accumulation sur la progression, avec le risque d’un résultat fascinant pour les uns, soporifique pour les autres.
Télérama
par Cécile Mury
L’aventure, souterraine, évoque un cauchemar débridé, où l’on suit les innombrables tribulations d’un humain du futur, envoyé en mission pour découvrir les secrets de la reproduction chez des mutants qui grouillent sous la surface. Et si ce résumé vous semble déja nébuleux et farfelu, attendez de voir le film…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Maud Gacel
La curiosité que suscite le film n’occulte pas longtemps ses nombreux défauts.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par S.B.
La prouesse technique ajoutée à la composition d’un univers unique, qui traduit la passion de son auteur, se met au service d’un ovni singulier et radical, dont on regrette un récit complexe et déroutant qui s’avère rapidement hermétique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Dommage donc qu’ici le fond ne parvienne jamais à se hisser au niveau de la forme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Mad Movies
Junk Head est un pur acte de foi, le témoignage de la volonté insubmersible d'un artiste possédé par sa vision et le besoin turgescent de la partager avec quiconque languit de sortir des sentiers balisés de la science-fiction traditionnelle.
20 Minutes
« Junk Head » est un film de science-fiction aussi original que dérangeant.
Culturopoing.com
Les gros studios peuvent aller se rhabiller, la détermination et le talent d’un seul homme sont capables d’offrir l’une des plus belles propositions du genre vue depuis longtemps. Fabuleux.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Peut-on être un parfait inconnu, autodidacte, et faire d’un premier film un petit chef-d’œuvre ? Le Japonais Takahide Hori apporte une réponse affirmative avec Junk head , tout à la fois un miracle, une prouesse et l’un des films d’animation les plus singuliers vus depuis longtemps.
Ecran Large
D'une inventivité impressionnante lorsqu'il s'agit de créer un monde de toutes pièces (littéralement), Junk Head est un accomplissement technique et artistique hors du commun.
Franceinfo Culture
Le tout premier film d'animation de Takahide Hori sort du lot grâce à son style à la fois dérangeant et fascinant.
L'Ecran Fantastique
Une œuvre destinée à devenir culte auprès des amateurs d’objets filmiques non identifiés.
Le Dauphiné Libéré
Junk head est une incroyable épopée futuriste postapocalyptique, une dystopie underground dans laquelle une épidémie a décimé un tiers de la population mondiale : il faut sauver la race humaine et descendre dans un monde souterrain qui ressemble au Metropolis kafkaïen de Fritz Lang.
Le Parisien
Bluffant graphiquement et sidérant au niveau de son récit (...).
Les Fiches du Cinéma
Créé quasiment de toutes pièces par son réalisateur, T. Hori, Junk Head n’a pas à rougir de son résultat final et s’affirme comme une œuvre potentiellement culte de l’animation en stop motion, notamment grâce à son humour et à son univers déviant.
Voici
Sombre, organique, angoissant. Mais aussi, riche, subtil et tendre.
L'Obs
L’auteur de ce film, à côté duquel ceux de Lynch sont des bluettes compréhensibles, n’est pas seulement un virtuose de la marionnette, il possède aussi le sens du cadre et de la perspective. Et sa mise en scène est d’une inventivité étourdissante.
Le Monde
Junk Head souffre peut-être de quelques longueurs, mais rend émouvants des personnages qui ont des boulons à la place des yeux.
Ouest France
Un récit dystopique à la forme fascinante, mais au scénario trop répétitif pour convaincre pleinement.
Positif
Le principal défaut de l’entreprise réside dans l’écriture d’un scénario répétitif, privilégiant l’accumulation sur la progression, avec le risque d’un résultat fascinant pour les uns, soporifique pour les autres.
Télérama
L’aventure, souterraine, évoque un cauchemar débridé, où l’on suit les innombrables tribulations d’un humain du futur, envoyé en mission pour découvrir les secrets de la reproduction chez des mutants qui grouillent sous la surface. Et si ce résumé vous semble déja nébuleux et farfelu, attendez de voir le film…
Critikat.com
La curiosité que suscite le film n’occulte pas longtemps ses nombreux défauts.
Le Journal du Dimanche
La prouesse technique ajoutée à la composition d’un univers unique, qui traduit la passion de son auteur, se met au service d’un ovni singulier et radical, dont on regrette un récit complexe et déroutant qui s’avère rapidement hermétique.
Première
Dommage donc qu’ici le fond ne parvienne jamais à se hisser au niveau de la forme.