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    La Mule
    Note moyenne
    4,0
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    812 critiques spectateurs

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    Aulanius
    Aulanius

    175 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 janvier 2019
    Je vais être objectif et je clame haut et fort que "La Mule" est mou, cliché, ennuyant et répétitif. Même les acteurs ne jouent pas bien. Encore heureux qu'il y ait Taïssa Farmiga et Andy Garcia que j'aime bien. J'ai passé deux heures au cinéma et je regrette vraiment d'avoir payé ma place car ce long métrage n'est pas digne de ce nom. Les personnages ne sont même pas attachants et tout est cousu de fil blanc à chaque fois. Je vous passe les scènes pleurnichardes que vous allez pouvoir apprécier à de nombreuses reprises. Même le scénario est bâteau et c'est dommage car pourtant, il y a de quoi faire. On parle de la B.O qui est quasiment la même tout le long ? Pour moi, c'est du gâchis surtout avec les moyens qu'ils ont et quand on est mélomane comme moi. Franchement, c'est difficile de trouver un bon point à part peut-être la part d'humour omniprésente dans une situation de tension, ça c'est bien vu. Mais pour le reste, rien de bon à retenir. A non, j'oubliais que pour une fois, je n'ai pas eu le choix de le voir en VF et les doublages ... une blague tout simplement. Enfin bref, je vais m'arrêter, après tout le monde va me détester ! Je ne recommande vraiment pas. 6/20.
    elbandito
    elbandito

    316 abonnés 945 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mars 2019
    Sans doute le film de trop pour l’acteur Eastwood, caricature de lui-même, qui aurait dû s’arrêter au très réussi "Gran Torino". Avec "The Mule", nous assistons à une répétition de séquences sans âme dans lequel un retraité en difficulté, authentique américain, essaie de rattraper le temps perdu consacré à son travail d’horticulteur uniquement, en faisant le bien financièrement parlant autour de lui. Sauf que l’amour de sa famille ne s’achète pas… tout comme le temps perdu. On ne ressent aucune empathie pour notre papy dealer qui fleurit sur le tard. J’avoue ne pas comprendre une presse si élogieuse pour cette histoire très médiocre au scénario douteux et à la morale simpliste : la famille doit passer avant le travail.
    Jake S.
    Jake S.

    68 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 avril 2019
    Clint Eastwood est de retour devant et derrière la caméra pour la première fois depuis « Gran Torino » avec un nouveau drame familial cette fois axé sur un sujet qu’on ne présente plus : les cartels de drogues. En surfant sur la vague des « Narcos », « Sicario » et autres films et séries du genre, Eastwood nous en fait découvrir une partie plus inconnue liée aux mules qui font passer la drogue d’un point A à un point B. Toujours sans se hâter, le film nous emmène petit à petit là où il veut et les rapports entre les différents personnages deviennent plus limpides. Tout cela donne lieu à un sacré cas de conscience pour notre Steve Earl en fin de film : choisir entre la famille ou le travail, sachant que peu importe sa décision, il perdra gros. Les enjeux sont donc plutôt intrigants et on se prête au jeu, sans rien d’exceptionnel non plus.
    Jean Noel Lanthiez
    Jean Noel Lanthiez

    15 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2019
    Ne boudons pas notre plaisir ...!!!! Clint à l'écran en vieil homme ....film simple, film qui sans en avoir l'air fait mouche et touche. Vieil homme sans famille, vieil homme sans peur.... Voyez-vous même ce que ce vieil homme a encore à nous dire ..
    traversay1
    traversay1

    3 104 abonnés 4 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2019
    En tant que cinéaste bientôt nonagénaire, Clint Eastwood sait parfaitement que l'on va qualifier son dernier film (avant le prochain ?) de testamentaire. De cela, peu lui chaut sans doute et l'on ressent avant tout son plaisir de réaliser et aussi de jouer, ce dont il nous avait privé ces derniers temps. La mule, bien que tiré d'un simple article de journal (un vieux monsieur engagé pour convoyer des paquets de drogue d'un Etat à un autre), est un film très personnel où il exprime en vrac tout ce qu'il pense de l'Amérique, de la façon dont on traite les vieux, de l'immigration, des valeurs familiales qu'il place au-dessus de tout comme le sage qu'il a lui-même tardé à devenir. Le politiquement correct, cela on le savait depuis longtemps, n'est pas sa tasse de thé et son personnage, un brin réactionnaire dans le film, lui ressemble beaucoup. Qu'importe, ce qui séduit dans La mule, c'est l'amour du cinéma et des histoires que possède toujours Eastwood, avec un côté crépusculaire et nostalgique qui sont l'apanage de l'âge. La mule est souvent taillé à la serpe du point de vue narratif avec de gros raccourcis et pas mal d'enchaînements peu crédibles. Mais on s'en moque car il y a une réelle jubilation à voir ce héros un peu branlant avec son caractère trempé ne pas s'en laisser compter par des plus jeunes et des moins blanchis que lui. Un testament, alors ? Oui, peut-être, dans une veine proche de Gran Torino en un peu moins bien quand même mais qui on est pour faire la fine bouche ?
    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    164 abonnés 1 029 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2019
    Une jolie balade drôle et mélancolique entre drame familial et polar réalisé et interprété par le grand Clint Eastwood revenu à son meilleur.
    Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
     Kurosawa
    Kurosawa

    515 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2019
    Cela faisait depuis "Gran Torino" que l'on n'avait pas vu jouer Clint Eastwood dans l'un de ses films, et l'émotion qui nous saisit en est décuplée. Le corps a vieilli, la démarche est plus lente, la voix plus hésitante mais Clint ne nous fera pas le coup du film-testament – déjà fait. "La mule" est au contraire léger, aérien, d'une drôlerie qui fait office d'arme contre le politiquement correct et de bouclier à l'épreuve de la mort. Si le comique est partout, son impulsion est logique puisque c'est l'incongruité de la situation initiale qui prête d'abord à rire (un octogénaire qui joue le rôle de mule pour un cartel mexicain) avant d'être dérivée à travers des scènes qui figurent Earl Stone en tant que pur électron libre, conducteur irréprochable qui remplit ses missions sans réaliser la moindre erreur et qui se permet même de s'arrêter où et quand il le souhaite, sans que les truands censés le surveiller puissent le maîtriser. Mais derrière sa légèreté, le film pose implicitement une question subversive : comment se fait-il que ce type ait pu enchaîner autant de "voyages" en toute tranquillité ? On peut bien sûr évoquer la naïveté de certains flics (la scène avec le chien) qui voient Stone comme un vieux gâteux mais c'est surtout le racisme de la police qui est pointé, bien plus dangereux que les expressions salées mais bienveillantes de l'horticulteur. Suspecter naturellement des noirs plutôt que des blancs retraités ou bien croire que deux mexicains puissent être les simples déménageurs de la mule dit beaucoup de ce racisme flagrant, dont profite tout de même bien Earl Stone qui se garde de tout jugement. Honnête avec lui-même et avec les autres – impossible de douter de la sincérité des conseils qu'il adresse à l'agent Bates (Bradley Cooper) –, il assume ses actes à l'image du procès final et dresse un bilan lucide de sa vie. Il est d'ailleurs très beau de voir Alison Eastwood jouer le rôle de la fille de Stone pour signifier que, dans sa partie intimiste, "La mule" réduit sensiblement l'écart entre la fiction et la réalité en mettant en scène une somme de reproches et de regrets sur un mode aussi tendre que violent. Avec l'évidence du classicisme, Clint Eastwood signe un film apaisé, à la fois efficace et émouvant, et dévoile une nouvelle (dernière ?) facette d'un corps qui aura traversé tel un mythe les soixante dernières années du cinéma américain.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 27 janvier 2019
    comment est ce possible ... Mr Eastwood homme aux multiples talents se foire lamentablement dans une fable 100% américaine absolument bourrée de clichés les noirs, les Mexicains, la famille,, les flics tout y passe .... je n'ai rien contre les films lents ou sans rythme mais aucun points n'est exploré la relation entre lui et certaines personnes du cartel se limite a seulement quelques blagues si vous cherchez de la profondeur, oubliée la elle est totalement inexistante. comment peux t'on mettre 4,1 de moyenne pour ce film cela reste le vrai mystère .....
    RedArrow
    RedArrow

    1 530 abonnés 1 491 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 février 2019
    Bien sûr, il y a l'oeuvre crépusculaire indissociable de l'homme et c'est sans doute la plus grande force de l'âme qui habite "La Mule". N'hésitant pas à faire à nouveau de son physique vieillissant une composante essentielle du film, Clint Eastwood semble se mettre à nu une ultime fois devant sa propre caméra, conscient que les faiblesses et les rides dues à son grand âge sont peut-être le moyen le plus direct d'incarner les cicatrices existentielles de son personnage Earl, un retraité fauché devenu une mule pour le compte de narcotrafiquants mexicains. À travers lui, il y a bien entendu cette idée d'une génération rendue obsolète par une société moderne avec laquelle elle ne peut plus être en phase, Earl en est d'ailleurs mis à la marge par sa faillite financière face aux avancées technologiques et prend une revanche sur elle en lui retournant ce statut d'invisibilité sociale avec son nouveau "métier", mais il y a aussi et surtout la destinée d'un homme qui a préféré la liberté que lui offrait sa renommée professionnelle au détriment de sa vie familiale.
    Présentée d'emblée par une rupture définitive avec sa fille (Alison Eastwood) dont il rate volontairement le mariage, cette fuite perpétuelle vis-à-vis de l'intimité de ses proches en arriverait dangereusement à son point de non-retour s'il n'y avait pas la remise en cause d'un personnage désormais conscient du peu de temps qu'il lui reste à vivre pour réparer les dégâts. Au contraire d'un "Gran Torino" où Eastwood mêlait la question de l'âge à un dernier tour de rodéo de l'éternel redresseur de torts inséparable de son oeuvre, "La Mule", lui, se centre sur l'homme se voyant arriver aux portes de la mort avec un bilan dont il ne peut se satisfaire et qui décide d'embrasser une extrémité invraisemblable dans le simple but de se rapprocher de la part la plus importante -mais ignorée jusqu'alors- de sa vie. "La famille avant tout", ce simple mantra sera maintes fois répété comme une boussole vers la rédemption obligatoire des derniers instants d'un long-métrage peut-être encore un peu plus personnel que les autres à cause de la confusion sciemment entretenue entre la figure vieillissante devant et derrière la caméra. L'aversion pour les nouvelles technologies, un indécrottable regard bourré de clichés racistes, une langue bien pendue, la volonté de réparer le lien père/fille (une thématique redondante de la filmographie d'Eastwood), utiliser les rouages d'un monde qui ne tourne plus rond pour démontrer la nécessité d'un retour à l'essentiel... Impossible de distinguer vraiment les contours du personnage de ceux de son interprète et cela ne rend "La Mule" que plus touchant grâce à cette impression de voir un monument du septième art dans une dernière virée lardée de clins d'oeil à sa filmographie comme pour en essorer un dernier message de retour aux fondamentaux de l'existence humaine. D'ailleurs, si l'on s'en tenait à ce seul discours testimonial, on pourrait considérer "La Mule" comme une incontestable réussite... Mais il ne saurait camoufler à lui seul les facilités d'un long-métrage qui va finalement et bizarrement s'avérer des plus balisés.

    On ne saurait se prononcer sur ce qui est vrai ou faux dans "La Mule" par rapport à la véritable histoire de Leo Sharp qui a inspiré Clint Eastwood mais ce qui en ressort à l'écran frise trop souvent l'invraisemblable pour être véritablement crédible. De la manière succincte dont est abordé Earl pour devenir une mule au détour d'une discussion avec un inconnu (il ne s'inquiète même pas d'une telle personne parmi l'entourage de sa petite-fille), en passant par un cartel mexicain parfois aussi bisounours qu'hyper-violent pour se saboter lui-même, jusqu'à des agents de la DEA en planque pour retrouver le pick-up d'Earl dans un motel sans penser à vérifier les plaques des véhicules garés sur le parking de l'établissement, "La Mule" passe par un lot incroyable de raccourcis pour sauvegarder le plus longtemps possible son héros des menaces extérieures avant l'aboutissement de sa quête.
    Cette impression de facilité se ressent aussi par un casting qui ne prend absolument aucun risque car la plupart des interprètes du film se retrouvent dans des rôles qui leur collent déjà à la peau. Outre Clint Eastwood et ses tics indéboulonnables, Bradley Cooper devient encore une fois le pendant jeune du cinéaste par l'intermédiaire d'un personnage qui poursuit la même voie que son aîné, Michael Peňa joue une fois de plus le rôle de l'acolyte sympa, Andy Garcia se caricature en chef de cartel, Laurence Fishburne est de nouveau un chef qui approuve tous les actes de ses subordonnés in fine lors de scènes de bureau parfaitement inutiles, Clifton Collins Jr nous refait le coup de la tête brûlée incontrôlable, la redondance de Robert LaSardo et de ses multiples tatouages dans la peau d'un énième gangster mexicain en provoquerait presque l'hilarité et Dianne West en épouse blessée rappelle d'autres compositions bien plus majeures de l'actrice. Tout ce petit monde paraît se répéter dangereusement dans des personnages dont les contours sont autant connus par eux-mêmes que par les spectateurs et, même de ce point de vue, Clint Eastwood en pâtit quelque part.
    On ne s'étendra pas sur le caractère polémique du personnage public mais le bonhomme en vient quand même à conforter sa vision raciste en la transformant (sous couvert de dénonciation) en solution pour sortir d'une situation inextricable face à un policier, certains y verront la revendication de sa liberté de ton mais, tel un vieil oncle aux idées bien arrêtées pendant un repas de famille, Clint Eastwood se révèle bien embarrassant sur ce plan tout comme lorsqu'il met en lumière le côté volage de son personnage en filmant des postérieurs de jeunes femmes à une soirée avec l'oeil un brin pervers de cet oncle gênant.
    Et puis, surtout, le récit de "La Mule" est téléphoné de A à Z et n'offre aucune surprise dans son déroulement vers la rédemption de son héros. Comme on l'a rappelé, le portrait de Clint Eastwood qui se dessine en creux tout au long du film a beau être une force mais il repose sur un tel nombre de couleuvres à avaler dans une route à sens unique et surlignée au marqueur par ce simpliste "La famille avant tout" déjà évoqué que cela en vient finalement à étouffer toute tentative de faire jaillir une émotion bien réelle lors des derniers instants qui auraient dû être un feu d'artifice sur ce plan.
    Une des ultimes phrases prononcées par la fille de Clint/Earl -"Au moins, on saura où tu es comme ça !"- sonnera d'ailleurs comme un aveu d'échec de ce point de vue au niveau l'écriture : alors qu'elle se voudrait penser comme un ultime sourire sur la relation chaotique avec son père, la réplique s'entendra plutôt comme une sorte d'absurdité cruelle et incapable de traduire toute l'ampleur des sentiments désormais apaisés que ce final voudrait nous transmettre...

    L'émotion véhiculée par le regard d'un Clint Eastwood dans une de ses dernières odyssées cinématographiques est bien présente mais, si on prend le temps de dissiper le brouillard artificiel qu'elle provoque sur le long-métrage, force est de constater qu'il ne reste plus qu'un film aux ressorts bien trop faciles et loin d'être à la hauteur de l'intelligence des oeuvres les plus éminentes du cinéaste. On va maintenant espérer que "La Mule" ne représente pas son seul testament filmique car il est loin d'être à la hauteur de l'immense héritage que le metteur en scène et acteur a sans doute encore à nous transmettre.
    lara cr28
    lara cr28

    66 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2019
    Earl, jardinier botaniste, vieux, seul et ruiné se retrouve presque malgré lui dans un réseau de trafiquants de drogues. Le charme de ce film repose essentiellement sur la candeur de ce vieil homme déambulant au milieu de cette plèbe mexicaine. Heureux de se voir remercier de fortes sommes d'argent, il prend goût à ces expéditions qui sont autant de cheminements vers son destin. Sa générosité abonde tout au long du film; s'il se rachète un pick-up de luxe, le reste, il l'emploie à aider sa famille et les associations qui lui sont chères. Ce sera aussi pour lui l'occasion de rattraper un passé et de se réconcilier avec son ex-femme et sa fille. D'une certaine façon, le film montre qu'il n'est jamais trop tard, chaque expédition le rend paradoxalement plus humain, plus attachant. le film file habilement la métaphore du jardin que le personnage ne cesse de cultiver jusqu'à la dernière image.
    Chris46
    Chris46

    465 abonnés 978 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2019
    " La mule " sympathique film de Clint Eastwood .

    C’est l’histoire d’un homme de 80 ans nommer Earl Stone ( Clint Eastwood ) qui est au bout du rouleau . Sa famille ne lui parle plus et son entreprise connaît des difficultés et risque d’être saisie . C’est pourquoi il accepte un boulot qui , en apparence , ne lui demande que de faire le chauffeur en transportant de la marchandise d’un point A à un point B . Sauf que , sans le savoir , il est engagé à être passeur de drogue pour un cartel mexicain . Il devient alors une " mule " . Extrêmement performant il transporte des cargaisons de drogues de plus en plus importantes . Mais il a tendance à en faire qu’à sa tête pendant ses trajets en ne respectant pas les règles qui lui ont été fixé ce qui pousse les chefs du cartel à lui imposer un supérieur pour le surveiller . Mais ils ne sont pas les seuls à s’intéresser à lui car l’agent de la DEA Colin Bates ( Bradley Cooper ) est plus qu’intrigué par cette nouvelle mule . Il va alors tenter de ne pas se faire arrêter par cette agent et de ne pas se faire tuer par les hommes du cartels de plus en plus excéder qu’il ne respecte pas les règles qui lui ont fixés pendant ses trajets ...

    " La mule " est un sympathique film signé Clint Eastwood . Ce n'est pas le meilleur film mis en scène par Clint Eastwood mais il est très sympathique . C’est avec plaisir qu’on retrouve Clint Eastwood à la fois réalisateur et acteur principale de son film ce qui n’était plus arriver depuis plus de 10 ans avec " Gran Torino " en 2009 . " La mule " est l’adaptation d’une histoire vraie celle d’un vieux monsieur de 90 ans nommer Léo Sharp un vétéran de la seconde guerre mondiale qui était devenu dans les années 80 un transporteur de drogue pour le cartel de Sinaloa . Il était devenu le meilleur transporteur du Cartel car il passait totalement inaperçu lors de ses trajets . Qui pouvait se douter qu’un vieux monsieur de 90 ans transportait de la drogue pour un cartel . Clint Eastwood et son scénariste Nick Schenck se sont donc inspiré de la vie assez incroyable de cette homme pour écrire ce film . Et ils ont eu une bonne idée car le film très sympathique . L’histoire est prenante avec cette homme de 80 ans qui va devenir bien malgré lui un passeur de drogue pour un important cartel ou il va tenter de ne pas se faire arrêter nottament par un agent de la DEA qui va tout faire pour le coincé ce qui va donner lieu à quelques bon moment de suspense . Il y a également des moments assez amusants car ce personnage de 80 ans est totalement en décalage avec le monde du cartel et qu’il ne respecte aucune de leurs règles nottament pendant ses trajets pour convoyé la drogue et sa va les rendre dingue . Le film contient aussi des moments assez touchants nottament grâce à l’histoire personnel de ce vieux monsieur de 80 ans qui est totalement seul car sa famille ne lui parle plus à cause de pas mal d’erreur qu’il a faite dans sa vie et qui est à deux doigt de perdre son entreprise qui était alors sa seule raison de vivre et qui va devoir se reconvertir bien malgré lui en convoyeur de drogue . Les scènes finales sont d’ailleurs très touchantes spoiler: quand il se fait arrêter et qu’il plaide coupable au tribunal
    . Le film est donc un bon cocktail de suspense , d’humour et d’émotion . Je pense quand même qu’on aurait pu exploiter un peu plus cette histoire . J’avoue que , même si j’ai passer un bon moment à suivre les déboires de ce convoyeur pas comme les autres , je reste quand même un peu sur ma faim . Je pense qu’on aurait pu donner un peu plus de suspense , de rebondissements et d’action à cette chasse à la " mule " .
    La film est porter par un très bon casting avec à sa tête l’infatigable Clint Eastwood qui joue à merveille ce vieux monsieur qui va devenir bien malgré lui chauffeur pour un cartel de la drogue . Il joue un personnage à la fois attachant et touchant ( ce vieux monsieur que sa famille ne veut plus parler , qui est à deux doigts de perdre son entreprise et qui va être contraint de devenir convoyeur de drogue pour s’en sortir ) mais aussi amusant ( ce vieillard totalement en décalage avec le monde du cartel ) . A plus de 80 ans Clint Eastwood montre qu’il en a encore sous le coude . Le reste du casting tient bien la route avec nottament Bradley Cooper ( que Clint Eastwood avait déjà dirigé sur le film " Américan Sniper " ) qui joue bien le rôle de l’agent déterminé à arrêter ce convoyeur de drogue . Je pense quand même qu’on aurait pu développer un peu plus le personnage de Bradley Cooper qu’on ne voit au final pas énormément à l’écran c’est dommage . J’aurais aimer un vrai jeu du chat et de la souris entre Bradley Cooper et Clint Eastwood . Au final sa reste assez superficiel .

    Pour résumer " La mule " même si il n’est pas le meilleur film réaliser par Clint Eastwood s’avère prenant et divertissant .
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    41 abonnés 914 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 avril 2020
    Un Eastwood mineur et très académique qui se regarde sans déplaisir et sans surprises. La mise en scène est évidemment impeccable et on retrouve les thèmes chers à son auteur (le père absent, l'Amérique profonde, ...) mais la magie n'opère que par intermittences.
    Christophe C
    Christophe C

    12 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 février 2019
    Mr Clint Eastwood est un grand acteur. C'est aussi un grand réalisateur. Malheureusement il nous prouve avec cette oeuvre, pour rester poli, que parfois il faut savoir s'arrêter!
    Il ne se passe rien pendant toute la durée du film. Et le contexte familial rajoute une colère ou une envie de pleurer de rage devant un tel navet. J'ai beau chercher si il y a une morale à cette histoire, je n'en vois pas. Je me demande ce que les spectateurs et les critiques qui encensent le film avaient bu ou fumé avant de le voir. 1h56 d'ennui, fuyez!!!!!
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 148 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 janvier 2019
    C’est peu dire si je ne l’attendais pas ce film… Entre les déclarations du grand Clint qui disait au lendemain de « Gran Torino » qu’il ne réapparaîtrait plus jamais devant une caméra, et de l’autre côté deux derniers films (« American Sniper » et « 15h17 pour Paris ») vraiment pas engageants, je n’étais clairement pas demandeur d’un nouveau Eastwood… Mais bon, peut-on décemment tourner le dos au réalisateur de « Million Dollar Baby », « Mystic River » et « Un monde parfait » ? Je suis donc allé la voir cette « Mule », et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce film s’impose rapidement comme un film clef dans la filmographie de l’auteur. Au-delà de toute considération formelle, on sent l’envie de livrer quelque-chose de très personnel. Difficile de ne pas faire le parallèle entre cette histoire vraie de vieux séducteur bourru qui a passé son temps à s’épanouir dans sa vie au détriment de sa famille et Clint Eastwood lui-même. Ce film est clairement un message laissé aux siens, l’implication de sa fille dans le casting le surlignant d’autant plus. Mais bon, la démarche personnelle a beau être honorable, on parle malgré tout d’un film là. Pour que l’œuvre me parle à moi, spectateur, j’ai besoin que ce mea culpa sache toucher à une certaine forme d’universalité. Sur ce point, l’ami Clint a su user de son savoir-faire légendaire. C’est propre. Efficace. Posé. Une réalisation sobre au service de son personnage central : lui-même. Beaucoup de choses reposent donc sur la qualité d’écriture du personnage d’Earl Stone et fort heureusement, Eastwood évite le trip égotique qui cherche à se justifier. Il ne s’épargne pas. Il montre ses faiblesses sans détour. Mais il sait aussi se rendre suffisamment humain et sympathique pour qu’un bon équilibre s’impose. Bref, rien à redire. Tout fonctionne comme sur des roulettes. Peut-être même trop d’ailleurs… Parce que si j’avais à faire un seul reproche à cette « Mule » ce serait bien celui-là : il est balisé du début jusqu’à la fin. Aucune surprise. On comprend très rapidement de quoi il est question et de comment les choses vont évoluer. Il n’est d’ailleurs pas rare de se retrouver avec des dialogues sans nuance qui exposent de manière explicite les intentions de l’auteur. ( spoiler: « J’ai gagné beaucoup d’argent, mais tout ça ne m’a pas permis d’acheter ce dont j’avais le plus besoin : du temps. » Mouais… Un peu plus de subtilité sur ce coup-là, ça n’aurait pas fait de mal perso…
    ) Alors après, est-ce vraiment un problème ? En ce qui concerne : pas tant que ça. J’aurais presque envie de dire que ça fait partie du genre. Cette « Mule » est clairement pensée, écrite et réalisée comme un classique, c’est-à-dire un film qui, certes, récite une partition connue, mais qui la récite bien, ce qui n’est jamais désagréable. Rien de transcendant donc, mais je ne vais pas non plus bouder le bon moment que j’ai passé. Après tout, au-delà de la maitrise globale de l’ouvrage il y a quand même dans ce film un testament qui se pose là. Et pas n’importe quel testament. C’est celui d’un grand bonhomme du cinéma américain. Et rien que pour cela, cette « Mule », elle vaut le déplacement… Bon après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    Dandure
    Dandure

    151 abonnés 203 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2019
    Attention, cet avis contient des spoilers tels que : spoiler: toi aussi, compte le nombre de Eastwood au générique.
    La bande-annonce semblait promettre un thriller avec un jeu du chat et de la souris entre Clint Eastwood et Bradley Cooper. Il n'en est rien. Pour ce duel au sommet, il faudra repasser. D'ailleurs les quelques scènes entre agents des stups (Cooper et Fishburne) tournent vite en rond. "Il me faut des écoutes chef! - Ok, allez-y", "Il me faut un hélico, chef - Ok, allons-y", "Il me faut du temps, chef - Ok, faisons ça". Si le film tient dans sa durée, c'est grâce au choc désopilant des cultures entre un vieillard jovial et tête de mule et les membres criminels d'un cartel mexicain. Papy joue à GTA. Lui aussi aime l'argent facile, le luxe, les femmes et le grosse bagnoles. Toutefois, si Gran Torino montrait la révolte d'un homme, la mule, dans son confortable pick-up est un peu plus pépère. Pas de grande démonstration mais le rappel que la vie peut être douce à qui sait en profiter en bonne intelligence doublée d'une histoire de rédemption beaucoup plus intime. Car la mule est inspirée d'une histoire vraie : celle de Clint Eastwood, acteur et réalisateur plus souvent sur les plateaux que parmi les siens. Une belle façon de se faire (un peu) pardonner.
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