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    La Mule
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    4,0
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    thenewchamp
    thenewchamp

    34 abonnés 268 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 janvier 2019
    Un veil homme ayant des kms de conduite à son compteur se retrouve à faire passeur de drogue d un état à un autre aux états unis. L histoire est assez originale pour en faire un film. Ce dernier se regarde mais est sans plus, le film est long et repetitif.
    martine R.
    martine R.

    2 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2019
    Bien sans plus, un peu décevant car il ne se passe pas grand chose, mais on passe quand même un moment agréable.
    scrabble
    scrabble

    34 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 février 2019
    c’est pas bon du tout. c’est long et répétitif c’est soporifique et j’ai bien failli m’endormir. les dialogues sont plats et sans intérêt. le scénario est vide et ce n’est pas magistralement joué. c’est même surjoué.
    Adrien J.
    Adrien J.

    42 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 février 2019
    Crépusculaire et attachant, le dernier long métrage du grand Clint Eastwood semble être une mise en abîme plutôt réussie de lui-même et de sa carrière.
    Cependant, au delà de son efficacité et des ses qualités évidentes (l'histoire ; le jeu d'acteur), le film reste oubliable et ne marque pas les esprits en raison d'un rythme un peu lent et d'un dénouement plutôt décevant.
    Mais on reste satisfait à la fin de ce que l'on vient de regarder tout de même.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 janvier 2019
    C'est cousu de fil blanc ! Je ne vois pas ce que gagne le cinéma et, encore moins, le spectateur. C'est pauvre à tous les niveaux. Pourquoi une presse aussi élogieuse ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 février 2019
    Un très beau film avec une belle morale « profiter de ceux qu’on aime sans remettre à plus tard ». Un grand Clint ! Même si on s’étant à un peu plus d’action. On rit et sourit plusieurs fois
    Rudlet4
    Rudlet4

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 janvier 2019
    Ça faisait vraiment longtemps que je ne m'étais pas ennuyé à ce point ! Au bout de 10 mn on sait tout ce qui va se passer. Caricatures des policiers, des hommes du cartel, de la gentille famille américaine et... du vieux idéal. .. J'ai déjà apprécié des films de Clint Eastwood, mais alors là il a fait dans le pathétique en cherchant à se donner un rôle fringant, repentant etc... Vraiment pas un bon moment.
    Yves G.
    Yves G.

    1 288 abonnés 3 294 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 janvier 2019
    Earl Stone (Clint Eastwood) a consacré sa vie à son entreprise d'horticulture quitte à y sacrifier sa famille : sa femme (Dianne Wiest), sa fille (Alison Eastwood) ne le lui ont pas pardonné. Mais, avec le développement du commerce en ligne, son entreprise périclite. Aussi accepte-t-il sans trop y regarder la proposition que lui fait un cartel mexicain : convoyer des livraisons de drogue de plus en plus importantes entre le Texas et l'Illinois.
    L'agent spécial Bates (Bradley Cooper), récemment muté à Chicago, grâce aux infos que lui communique un narco qu'il a réussi à retourner, est sur les pistes de cette "mule" au profil inhabituel.

    Le problème du dernier film de Clint Eastwood est qu'il se contente de suivre à la lettre le scénario que je viens de résumer. Sans surprise. Sans temps mort non plus. C'est la marque de fabrique du cinéma de Eastwood depuis une vingtaine d'années, un cinéma dont je n'ai jamais compris la vénération qu'il inspire. À rebours de ma génération, je ne tiens pas "Sur la route de Madison" ou "Million Dollar Baby" pour des chefs d’œuvre. Je n'ai pas le culot de soutenir qu'il s'agit de mauvais films. Mais je ne vois aucun génie dans leur mise en scène appliquée.

    Sans doute "La Mule" frappe-t-il par l'humilité de son réalisateur qui n'hésite pas à se mettre (une dernière fois ?) en scène. Clint Eastwood a quatre-vingt huit ans. Earl Stone a le même âge. S'il a toute sa tête et une santé qui lui permet sans faillir d'avaler les kilomètres - et de passer toute une nuit avec deux charmantes donzelles - son dos s'est voûté, sa démarche est plus hésitante, sa peau parcheminée semble aussi fragile que du papier de soie. On est loin des poses virilistes de "L'Inspecteur Harry".

    Pour autant - et contrairement à ce que son affiche annonce, avec un héros qui, tourné vers la gauche, semble regarder vers son passé - "La Mule" n'a rien de crépusculaire. Il baigne au contraire dans une lumière radieuse. Il se borne à défendre un message simple, qui trouvera un écho chez tous les spectateurs des deux bords de l'Atlantique : il ne faut pas perdre sa vie à la gagner ni sacrifier sa famille à son travail. Simple. Simpliste.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 janvier 2019
    Très déçu par le manque de rythme et d’actions.
    La fin est très moyenne, ce qui gâche le synopsis pourtant interessant. Cependant quel plaisir de revoir Clint Eastwood a l’écran.
    Sylwish
    Sylwish

    6 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 janvier 2019
    Une seule conclusion possible : 'La Mule' fait pâle figure devant les monuments de cinéma que sont Mystic River ou Million Dollar Baby, pour ne citer qu'eux. Difficile de ne pas comparer, difficile d'isoler l'oeuvre et de mettre des mots dessus quand on connaît la maestria du cinéaste. Peut-être faut-il se rendre à l'évidence : Clint Eastwood est allé au bout et n'a plus rien à raconter... Car soyons honnêtes : le film est archi-convenu, l'intrigue cousue de fil blanc, les personnages souvent stéréotypés - les invraisemblances s'accumulent et les bons sentiments débordent des plans. Alors oui, c'est rigolo de voir Clint se lâcher devant la caméra, cabotiner à gogo, oui, c'est dingue d'avoir une telle patate à 88 ans, oui, c'est beau, cette envie, ce plaisir. Mais ça ne fait pas un bon film. Heureusement, il y a des petites touches cyniques bien senties, une pincée d'autodérision ça et là, et alors le film retrouve un peu de son souffle, mais dans son ensemble, ce que c'est sage, ce que c'est gentil, ce que c'est daté !!! On est loin des frissons d'antan... Clint se fait plaisir sans trop se prendre la tête : il réalise un film plat, sans étincelle, sans émotion. C'est toujours mieux que la faute de goût impardonnable qu'était Le 15H17 Pour Paris, me direz-vous...
    Xavier d
    Xavier d

    8 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 décembre 2021
    Film pour les enfants et/ou pour personnes âgées. Scénario lourdingue avec des ficelles énormes. Réalisation et direction d'acteur sans aucune finesse. Eastwood se fait plaisir en se filmant au lit à 90 ans avec des filles nues ... et nous mets mal à l'aise. Ses messages pseudo philosophes sur les priorités de la vie, n'apprennent rien a personne, sauf QI inférieur à 60. Clairement e film de trop.
    islander29
    islander29

    764 abonnés 2 274 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2019
    Ouf, Le 15h17 Pour Paris est oublié….On retourne dans L'Illinois…..On a eu chaud….Clint renoue avec le film de gangster utilisant un vieil homme, pour faire passer de la drogue par dizaines de kilos….Il ne faut pas être choqué par le visage ridée de l'acteur (approchant les 90 ans) Car Clint a beaucoup d'autodérision et d'humour parfois très américain ( L'allusion à James Stewart, soyez vigilant) et les allusions en espagnol (viejo, viejito) les constats sur le téléphones portables...c'est vrai que le scénario n'est pas d'une force inébranlable (quelques esprits pourraient être arrêtés par cela), mais le film est un immense plaisir sous deux angles propres au réalisateur, la photographie musicale et l'émotion, avec un zest de culpabilité sur son passé familial…On a vers la fin les larmes aux yeux en regardant ce vieil homme faisant son autocritique….Pour le reste je crois que c'est un bon Eastwood, plus apaisé mais restant intelligent sur lui et la vie…..Ne parlons pas d'un film d'action, mais certains passages m'ont fait penser à ce vieil homme traversant l'Amérique de David Lynch sur une tondeuse à gazon, même tendresse…Pour ma part, je n'ai pas été déçu, loin s'en faut….Je conseille…..
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    120 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2019
    Après une série de trois films complexes plus ou moins controversés sur l’Amérique et le rapport maladif qu’elle entretient avec ses héros, Clint Eastwood renoue ici avec une certaine forme de simplicité qui a souvent fait sa force. Simplicité à la fois thématique, narrative et formelle qui s’éloigne radicalement d’un 15h17 pour Paris aux teintes plus expérimentales qui a dérouté pas mal de monde tout en étant malheureusement très incompris dans ses intentions. La Mule est un projet plus fédérateur sur le papier avec notamment le retour du grand Clint devant la caméra, ce qui fait écho à son succès commercial et critique Gran Torino dont on pensait clairement à l’époque qu’il s’agirait de son dernier rôle au cinéma. Dix ans après, la recette Eastwood derrière et devant la caméra fonctionne-t-elle encore aussi bien ?

    Nous suivons ici les aventures d’un vieil homme, Earl Stone (incarné par Mister Eastwood himself donc), qui va arrondir ses fins de mois en convoyant de la drogue pour le compte d’un cartel mexicain. Ce qui marque d’entrée de jeu, c’est ce sens de l’écriture qui va dérouter assez subtilement le spectateur dans un univers qui paraît si familier au cinéma. En effet lorsque l'on parle de cartels et de trafiquants de drogue sur grand écran, nous avons régulièrement le droit aux clichés des gros durs tatoués qui froncent les sourcils et sont bien méchants. Dans la Mule nous les retrouvons bien mais ils nous auront rarement paru aussi humains.

    Au fur et à mesure que les missions s’accumulent, les liens entre les gangsters et le vieil homme se tissent et s’étoffent de manière parfaitement naturelle. C’est aussi ce qui rend ce film si attachant en fin de compte, le fait de voir des personnages aux caractéristiques simples mais évolutives et finalement assez surprenantes. Pas de manichéisme primaire donc, ce qui est réellement appréciable. D'autant plus que ces relations atypiques pleines de légèreté contrastent avec les relations délicates que le personnage entretient avec des personnes bien plus proches, à savoir les membres de sa famille.

    Thématique régulièrement présente dans la filmographie d’Eastwood, et souvent représentée de manière complexe, le thème de la famille aura rarement été traité de façon aussi introspective chez le cinéaste. Et pour cause, la fille du personnage délaissée par son paternel n’est autre que la fille de Clint Eastwood dans la vraie vie. Cette teinte autobiographique ajoute une autre profondeur à ce thème souvent évoqué et limite éculé au cinéma, d’autant plus que la sobriété du traitement rend le relation crédible. On pourra d’ailleurs dresser un parallèle avec **Les Pleins Pouvoirs** sorti une vingtaine d’années plus tôt et qui traite d'une relation père-fille similaire en filigrane. Et c’est en voyant La Mule qu’on comprend finalement encore plus le sens que donne Eastwood à la représentation familiale dans son cinéma.

    Outre les relations familiales compliquées, il y a cette confrontation à distance entre la mule et l’agent du FBI incarné par **Bradley Cooper** qui a une obligation de résultats dans la guerre menée face aux cartels. Confrontation intéressante entre deux personnages qui se croiseront sans se connaître et développeront un lien respectueux intrigant à suivre pour le spectateur, ce qui est finalement dans la continuité de chaque relation que l’on verra apparaître à l’écran. Et c’est une des grandes forces de La Mule, le fait que chaque personnage existe suffisamment à l’écran pour qu’on s’y attache et qu’on ressente de l’empathie. Le vieil Earl est bourré de défauts. Il a délaissé sa famille pour le boulot, est un peu raciste sur les bords sans le faire exprès et a sa propre morale pas exempte de tout reproche mais qu’est-ce qu’on s’y attache. Idem pour son ex-femme et sa fille, idem pour le chef du cartel et le protégé de ce dernier, idem pour les gangsters du garage. Une écriture de personnages toute simple mais terriblement efficace et qui ne les limite pas à de vulgaires stéréotypes.

    Le film dans l’ensemble mêle habilement les séquences légères et humoristiques aux scènes plus dures et plus tendues, du fait notamment de la persévérance et de l’obstination du vieil Earl qui fait là un job comme un autre avec la même liberté que sa précédente activité de chef d’entreprise. Ce qui ne manquera pas d’énerver plus d’une fois les membres du cartel et de dérouter plus d’une fois ceux du FBI. Après les missions ont tendance à se dérouler assez rapidement et sont représentées de façon peu périlleuses, ce qui est ma petite déception. Pas de quoi bouder son plaisir non plus tant le film est bien rythmé et mis en scène avec une efficacité redoutable. J'ai toujours l'impression qu'on a tendance à l'oublier mais Eastwood reste un très bon formaliste avec une esthétique reconnaissable entre mille.

    Et sur un plan personnel, je dois bien dire que le film apporte son lot d’émotions. Non seulement par son histoire et son sujet mais aussi par la présence à l’écran d’un Clint Eastwood qui n’a jamais été filmé aussi âgé. Je trouve sa présence particulièrement émouvante tant c’est un acteur pour qui j’ai toujours eu de l’admiration et que j’ai vu évoluer au fil des âges dans des films souvent marquants. Et le voir là, en pleine forme mais marqué par les stigmates de la vie à 88 ans, c’est vraiment quelque chose de spécial.

    Mais si on enlève cette parenthèse, il s’agit bien là d’un film aussi simple que touchant, dans la lignée de son magnifique **Honkytonk Man** (qui traite d'une relation familiale, tiens tiens). Nous n’assisterons pas au film le plus audacieux ni le plus original du monde mais nous assistons tout simplement à un beau petit morceau de cinéma très agréable et tout en sobriété. En tout cas ça confirme le retour en force opéré par Eastwood depuis 5 ans après une série de films anodins et insipides (coucou **Invictus**). Et on espère que ce bon vieux Clint a encore quelques idées derrière la tête pour continuer à nous sortir des films de ce calibre.
    zorro50
    zorro50

    109 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 janvier 2019
    Clint Eastwood enrichit sa longue carrière d’un nouveau chef d’œuvre en tant que réalisateur-interprète, et il est parfait quelle que soit sa casquette. Dans ce film on le compare à 2 reprises à James Stewart, pour ma part, je trouve qu'il ressemble encore davantage à Henry Fonda. Quoiqu’il en soit, ce surhomme est une légende vivante, un monument à tout jamais dans l’histoire du cinéma. Par ailleurs, en guise de clin d’œil pour accentuer l’émotion dans ses lamentables rapports familiaux à l’écran, il a choisi sa propre fille pour interpréter sa fille ! Je recommande vivement son film. J'ai adoré ! … et pourquoi pas un Oscar du meilleur acteur pour couronner le tout ?
    garnierix
    garnierix

    197 abonnés 414 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 janvier 2019
    Clint Eastwood a le cinéma dans le sang. Il parvient à fabriquer un héros à partir d’un vrai salopard –attention, pas un méchant, juste un hédoniste qui n’a pensé qu’à son plaisir toute sa vie, et qui ne s’est jamais trop soucié de moralité. Un certain type d’américain ultralibéral, pas un criminel –d’autres penseront que si. D’ailleurs, s’il trouve une sorte de rédemption à la fin, c’est plutôt grâce aux circonstances, et pas grâce à lui. Ce héros made in Eastwood a forcément quelque chose de sympathique. Il fustige à longueur de temps tout ce qui vient d’internet et des mobiles, ça amuse. Un de ses plaisirs est de cultiver les daylilies, de belles grosses fleurs qui fanent le soir même (son nom en français, hémérocalle, fait plutôt penser à une maladie grave). Il adore les chansons de country, qu’il chante en voiture et qu’il danse dès qu’il peut, comme “A Day To Say Thank You�, “Cat In The Hat�. Il sait où se procurer les meilleurs sandwichs de porc effiloché du Midwest, même s’il doit faire un crochet pour s’y rendre, indépendamment de ses engagements. Et pas seulement les meilleurs sandwichs, les femmes aussi. Avec tout ça, fait-il le bête ? est-il réellement inconscient ? Il faut savoir que l’histoire est tirée d’une histoire vraie (Leo Sharp) pour croire à sa vraisemblance. Mais l’intérêt du film n’est pas juste le personnage, même s’il est incarné par Eastwood aux soixante ans d’expérience, son élégante nonchalance, son charme, sa complexité, ses idées discutables. L’intérêt est aussi la mise en scène, son art d’accorder (contraster, assouplir, colorer) le personnage avec les paysages, le soleil, les intérieurs, y ajouter la dose optimale d’humour ou de brutalité –une recette qui ne s’enseigne pas. Car Eastwood, à 88 ans, joue et dirige –il ne l’avait pas fait depuis 10 ans. Un exploit qui est double. Le chanteur de country Toby Keith a fait la chanson du générique de fin “I Just Don’t Let The Old Man In� (je laisse pas le pouvoir au vieil homme), qui est précisément, paraît-il, ce que Eastwood lui aurait répondu, avant de se lancer dans le film, quand Keith lui avait demandé “How do you do it, man?� (mais comment tu fais ?)
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