Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
BIBA
par Mélanie Klein
Un grand film.
Bande à part
par Isabelle Danel
Très documenté, ce film sur trois femmes qui se prostituent pour subsister regarde une réalité crue avec une humanité vraie. Et trois comédiennes épatantes.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Pour joindre les deux bouts, trois femmes du nord de la France traversent la frontière belge pour aller travailler dans des maisons closes. Filles de joie suit leur quotidien sans pathos ni faux semblant.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Frédéric Fonteyne et Anne Paulicevich ne tombent pas dans le misérabilisme, mais captent une réalité, où les meilleurs moments de vie de ces trois copines sont ceux où elles se retrouvent ensemble, complices, avec en commun leurs secrets qu’elles sont les seules à partager.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Maryline Alligier
Film âpre mais bouleversant, il nous rappelle qu’on ne peut ouvrir les yeux que dans un rapport intime à l’autre, rapport ni marchand ni de domination, mais sensible et sans jugement.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Pour joindre les deux bouts, trois femmes du nord de la France traversent la frontière belge pour aller travailler dans des maisons closes. Filles de joie suit leur quotidien sans pathos ni faux semblant.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
par Nathalie Simon
À travers leur film, Frédéric Fonteyne et Anne Paulicevich racontent le quotidien réaliste de trois prostituées, sans jamais verser dans le pathos ou la mièvrerie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Quel coup de poing que cette chronique à la fois noire et lumineuse qui parle d'une certaine condition de la femme sans jamais sombrer dans le misérabilisme ni le pathos !
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Sur un scénario cimenté par la complicité d'un exceptionnel trio féminin, et servi dans les scènes d'intérieur par une vraie belle lumière, « Filles de joie » est pétri jusqu'au bout d'une énergie aussi volcanique que tendre, et évite toute mauvaise passe.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marie Claire
par Eléna Pougin
Très engagé politiquement, ce film belge prône la légalisation de la prostitution. À tel point qu'il dépeint violemment, et à son paroxysme, la condition actuelle des prostituées.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Même si le film a quelques défauts de rythme et navigue entre plusieurs styles, Filles de joie est porté par trois actrices admirables.
Voici
par A.V.
Un trio d'actrices chauffées à blanc qui n'ont pas froid aux yeux.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Trois belles actrices illuminent ce film qui dépeint le quotidien, entre peines, joies et drames, de femmes contraintes de se prostituer dans une maison close en Belgique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Bien servi par son trio d’actrices, le film de Frédéric Fonteyne et Anne Paulicevich reste trop caricatural et peine à trouver le ton juste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Adrien Gombeaud
Précisément documenté, "Filles de joie" trouve ses meilleurs instants dans la description précise d’une maison de passe ordinaire, dans la chronique du quotidien de femmes à la fois exploitées et indépen- dantes. C’est sur la forme que le projet dérape.
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
Le sujet était suffisamment fort pour ne pas convoquer les codes du thriller dans ce récit saisissant de justesse.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une vision tragique de la famille, de la sexualité et plus généralement de la condition des femmes en Belgique, mais sans doute à l’excès.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
C’est longuet, hésitant entre le docudrama et le polar social (les réalisateurs ont rencontré le fameux Dodo la Saumure), d’où une impression mi-figue, mi-raisin. Mais les actrices sont top.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Immersion totale, entre séquences douloureuses et camaraderie plus ou moins feinte. On n’est pas fan.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Philippe Ridet
Insistant sur la dimension politique de leur film, Frédéric Fonteyne et Anne Paulicevich assument un discours féministe assez radical. Les femmes ici représentées sont toutes également victimes de la domination masculine et de la crise économique. Comme si la première était consubstantielle de l’autre. C’est sans doute l’aspect le moins convaincant de Filles de joie.
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Frédéric Fonteyne et Anne Paulicevich, à partir du réel désir d’évoquer un sujet délicat sans misérabilisme, tombent dans les clichés sans traiter leur sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Paola Raiman
Ce revenge movie à la française s’avère être un mauvais cocktail de naturalisme de sitcom et de féminisme dégriffé.
Première
par Sophie Benamon
Mais les héroïnes de Filles de joie n’ont rien de Fantine des temps modernes. Jamais on ne sent l’urgence de la précarité les menacer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
Difficile de faire plus glauque et misérabiliste, avec des éléments fictionnels outranciers plaqués sur une réalité sociologique douloureuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
BIBA
Un grand film.
Bande à part
Très documenté, ce film sur trois femmes qui se prostituent pour subsister regarde une réalité crue avec une humanité vraie. Et trois comédiennes épatantes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Pour joindre les deux bouts, trois femmes du nord de la France traversent la frontière belge pour aller travailler dans des maisons closes. Filles de joie suit leur quotidien sans pathos ni faux semblant.
Franceinfo Culture
Frédéric Fonteyne et Anne Paulicevich ne tombent pas dans le misérabilisme, mais captent une réalité, où les meilleurs moments de vie de ces trois copines sont ceux où elles se retrouvent ensemble, complices, avec en commun leurs secrets qu’elles sont les seules à partager.
La Septième Obsession
Film âpre mais bouleversant, il nous rappelle qu’on ne peut ouvrir les yeux que dans un rapport intime à l’autre, rapport ni marchand ni de domination, mais sensible et sans jugement.
Le Dauphiné Libéré
Pour joindre les deux bouts, trois femmes du nord de la France traversent la frontière belge pour aller travailler dans des maisons closes. Filles de joie suit leur quotidien sans pathos ni faux semblant.
Le Figaro
À travers leur film, Frédéric Fonteyne et Anne Paulicevich racontent le quotidien réaliste de trois prostituées, sans jamais verser dans le pathos ou la mièvrerie.
Le Journal du Dimanche
Quel coup de poing que cette chronique à la fois noire et lumineuse qui parle d'une certaine condition de la femme sans jamais sombrer dans le misérabilisme ni le pathos !
Le Parisien
Sur un scénario cimenté par la complicité d'un exceptionnel trio féminin, et servi dans les scènes d'intérieur par une vraie belle lumière, « Filles de joie » est pétri jusqu'au bout d'une énergie aussi volcanique que tendre, et évite toute mauvaise passe.
Marie Claire
Très engagé politiquement, ce film belge prône la légalisation de la prostitution. À tel point qu'il dépeint violemment, et à son paroxysme, la condition actuelle des prostituées.
Ouest France
Même si le film a quelques défauts de rythme et navigue entre plusieurs styles, Filles de joie est porté par trois actrices admirables.
Voici
Un trio d'actrices chauffées à blanc qui n'ont pas froid aux yeux.
La Croix
Trois belles actrices illuminent ce film qui dépeint le quotidien, entre peines, joies et drames, de femmes contraintes de se prostituer dans une maison close en Belgique.
Libération
Bien servi par son trio d’actrices, le film de Frédéric Fonteyne et Anne Paulicevich reste trop caricatural et peine à trouver le ton juste.
Positif
Précisément documenté, "Filles de joie" trouve ses meilleurs instants dans la description précise d’une maison de passe ordinaire, dans la chronique du quotidien de femmes à la fois exploitées et indépen- dantes. C’est sur la forme que le projet dérape.
Télé Loisirs
Le sujet était suffisamment fort pour ne pas convoquer les codes du thriller dans ce récit saisissant de justesse.
aVoir-aLire.com
Une vision tragique de la famille, de la sexualité et plus généralement de la condition des femmes en Belgique, mais sans doute à l’excès.
L'Obs
C’est longuet, hésitant entre le docudrama et le polar social (les réalisateurs ont rencontré le fameux Dodo la Saumure), d’où une impression mi-figue, mi-raisin. Mais les actrices sont top.
La Voix du Nord
Immersion totale, entre séquences douloureuses et camaraderie plus ou moins feinte. On n’est pas fan.
Le Monde
Insistant sur la dimension politique de leur film, Frédéric Fonteyne et Anne Paulicevich assument un discours féministe assez radical. Les femmes ici représentées sont toutes également victimes de la domination masculine et de la crise économique. Comme si la première était consubstantielle de l’autre. C’est sans doute l’aspect le moins convaincant de Filles de joie.
Les Fiches du Cinéma
Frédéric Fonteyne et Anne Paulicevich, à partir du réel désir d’évoquer un sujet délicat sans misérabilisme, tombent dans les clichés sans traiter leur sujet.
Cahiers du Cinéma
Ce revenge movie à la française s’avère être un mauvais cocktail de naturalisme de sitcom et de féminisme dégriffé.
Première
Mais les héroïnes de Filles de joie n’ont rien de Fantine des temps modernes. Jamais on ne sent l’urgence de la précarité les menacer.
Télérama
Difficile de faire plus glauque et misérabiliste, avec des éléments fictionnels outranciers plaqués sur une réalité sociologique douloureuse.