Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Obs
par Xavier Leherpeur
On se serait volontiers passé de l’intrigue, balourde, sur les origines du chef, mais pas du message de tolérance.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Alain Masson
CertesCrescendo est un mélodrame éhonté. [...] Mais on a parfois les larmes aux yeux. Si le rire peut servir d’argument en faveur d’une comédie, pourquoi les sanglots ne justifieraient-ils pas un mélodrame ?
Télé 7 Jours
par Camille Brun
Malgré de bons sentiments un peu exacerbés, ce drame humaniste parvient à toucher grâce à son beau sujet et à ses excellents jeunes comédiens.
Le Figaro
par B.P.
Les personnages tombent dans l'excès dès qu'ils évoquent le conflit israélo-palestinien. Seul le maestro, incarné par l'acteur de Toni Erdmann, Peter Simonischek, s'en sort plutôt bien.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce film sur la tolérance et les vertus de l’art enfonce des portes ouvertes mais le fait plutôt bien.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par V. Cau.
De cette histoire, largement inspirée du West-Eastern Divan Orchestra fondé en 1999 par Daniel Barenboim, Dror Zahavi tire un film dont la force de propos se dilue dans la platitude de la mise en scène et une fin très mélo.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Porté par le comédien autrichien Peter Simonischek et une bande de jeunes acteurs israéliens et palestiniens, Crescendo séduit par sa mise en scène élégante et les beaux paysages du Tyrol, mais la lourdeur de son message agace.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Crescendo clame haut et fort le noble message qu’il veut délivrer mais aurait gagné à faire exactement l’inverse : suggérer au lieu de marteler.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
C’est au mieux insipide, au pire embarrassant – le chef d’orchestre fils de nazis… —, même si Peter Simonischek, l’inoubliable père de Toni Erdmann (2016), ne manque pas de charisme dans ce concerto de couacs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
On se serait volontiers passé de l’intrigue, balourde, sur les origines du chef, mais pas du message de tolérance.
Positif
CertesCrescendo est un mélodrame éhonté. [...] Mais on a parfois les larmes aux yeux. Si le rire peut servir d’argument en faveur d’une comédie, pourquoi les sanglots ne justifieraient-ils pas un mélodrame ?
Télé 7 Jours
Malgré de bons sentiments un peu exacerbés, ce drame humaniste parvient à toucher grâce à son beau sujet et à ses excellents jeunes comédiens.
Le Figaro
Les personnages tombent dans l'excès dès qu'ils évoquent le conflit israélo-palestinien. Seul le maestro, incarné par l'acteur de Toni Erdmann, Peter Simonischek, s'en sort plutôt bien.
Le Journal du Dimanche
Ce film sur la tolérance et les vertus de l’art enfonce des portes ouvertes mais le fait plutôt bien.
Le Monde
De cette histoire, largement inspirée du West-Eastern Divan Orchestra fondé en 1999 par Daniel Barenboim, Dror Zahavi tire un film dont la force de propos se dilue dans la platitude de la mise en scène et une fin très mélo.
Les Fiches du Cinéma
Porté par le comédien autrichien Peter Simonischek et une bande de jeunes acteurs israéliens et palestiniens, Crescendo séduit par sa mise en scène élégante et les beaux paysages du Tyrol, mais la lourdeur de son message agace.
Première
Crescendo clame haut et fort le noble message qu’il veut délivrer mais aurait gagné à faire exactement l’inverse : suggérer au lieu de marteler.
Télérama
C’est au mieux insipide, au pire embarrassant – le chef d’orchestre fils de nazis… —, même si Peter Simonischek, l’inoubliable père de Toni Erdmann (2016), ne manque pas de charisme dans ce concerto de couacs.