Avis : J'irai où tu iras - Page 3

Super film ont passe par beaucoup d'émotions,
les acteurs au top, bravo la réalisatrice la musique du film est génial

Deux sœurs, aux caractères différents, l’une réputée fragile que son père préserve de tout ce qui est susceptible de l’affecter, l’autre allant et volant davantage de ses propres ailes en se confrontant et faisant face aux aléas et autres grandes et petites misères de la vie. Ces deux sœurs se sont éloignées l’une de l’autre. Le père, lui, est resté proche des deux. Il est malade. Est-ce que ce sera l’occasion de rapprocher ses deux filles ? Voilà, en gros le fil conducteur, avec quelques relents potentiellement dramatiques, malgré la bande annonce qui nous laisserait plutôt penser qu’il s’agit de comédie pure (de mœurs, sociale, familiale…) avec de la répartie, des piques, de l’affrontement entre les deux sœurs. Le problème de ce scénario, c’est son fil conducteur qui s’effiloche rapidement et qui ne conduit plus grand-chose et nous égare dans une multitude de registres sans perspective bien claire.

Ce film gentillet de Géraldine Nakache se perd entre les différentes pistes qu'il explore. Que ce soit l'impossibilité du deuil de leur mère chez de jeunes filles ou la recherche de la complicité perdue, la maladie du père, l'exploration du travail social ou la vanité du miroir aux alouettes du monde de la variété, tout est approché mais jamais approfondi. On a du mal à croire à ce couple bancal de deux jeunes sœurs qui devraient être complices mais que tout semble opposer. La recette du film d'ambiance réside souvent dans l'habile équilibre entre rire et gravité. Il semble que celui-ci n'est pas atteint malgré le talent des deux comédiennes. On aurait pu, par ailleurs éviter les longs tunnels musicaux - laborieux cabotinage - qui ne m'ont pas vraiment ému.

Bof bof bof le film part bien puis après on tourne vite en rond avec les 2 soeurs toujours en désaccord....

absolument afligeant. des scènes où j'étais gené pour les actrices. des situations sur jouées ridicules et ennuyeuses. je suis retourné sur mon portable. .. pour une certaine catégorie de public qui aime les films d'histoires dramatiques de familles.

Quelle nullité un film qu on oublie à peine sorti de la salle où j'ai failli m'endormir les dialogues sont nuls les situations ridicules même pas risibles voir très penible à l oreille la scène du bluthouth est insupportable et n'apporte rien que l'envie de quitter la salle
Les acteurs sont mauvais même Timsit n'arrive pas à relever le niveau le pompon est pour Nakache trop mauvaise du début à la fin du film
Même par mauvais temps vous trouverez mieux à faire ce n'est pas ce film qui va remonter le niveau du cinéma francais

je suis tellement déçue, je m'attendais à un film vivant, mais il manque d'entrain et de Pep's. Timsit en fait trop dans le genre papa poule. Et les filles se cherchent (et ne se trouvent jamais d'ailleurs). c'est long, long, long. Dommage

Film aussi drôle qu'émouvant, une histoire poignante et un super jeu d'acteurs, à aller voir en urgence!!

Film divertissant et sympathique.
Mais je trouve qu'il est trop axé sur C. Dion, c'est pénible.
A part cela, c'est une histoire attachante.
spoiler: Dommage qu'on soit "saoulés" par C. Dion.

film assez lent et parfois ennuyeux malgré quelques passages émouvants. Le jeu d'acteur est assez bon mais ne suffit pas pour rehausser le film.

La grande déception 2019. J'aime beaucoup Leïla Bekhti, mais là j'ai l'impression qu'elle s'ennuie. A croire qu'elle fait acte de présence pour faire plaisir à la copine. Le duo ne fonctionne pas.
Je reprends les qualificatifs de beaucoup, ce film est plat, sans intérêt, lourd, larmoyant et très ennuyeux. On ne comprend même pas leur histoire de famille et encore moins pourquoi elle se déteste.

Une création de qualité
Bravo au talent des actrices et à la réalisation de Géraldine Nakache

Deux actrices sans véritable jeu d'acteur malheureusement toujours les mêmes grimaces et expressions du visage etc donc on a peu de plaisirs à les retrouver ensemble dans un film peu intéressant. A éviter

Le plaisir de voir Leila Bekhti ❤ et Géraldine Nakache. Une intention et une volonté louables pour traiter des thèmes simples mais humainement ultra complexes que sont la famille, le deuil, l'amour filial, la transmission, la communication, être soi sous le joug du regard et de la volonté des autres . . . Mais justement, vouloir faire simple est ultra complexe. On a alors une histoire vue et revue avec un scénario cousu de fil blanc avec des rebondissements attendus et certains personnages stéréotypés ou caricaturaux, des situations un peu inutiles et un comique de répétition qui devient un peu lourdingue. On n'appuie pas trop sur la personnalité de chacun car le survol nous laisse suffisamment deviner leurs fêlures, forces et faiblesses. On a quelques rires grâce aux facéties de Patrick Timsit en Papa Poule débordant d'amour pour ses filles et voulant faire le bonheur autour de soi sans qu'on s'inquiète pour lui (pour masquer ses propres faiblesses) quelques larmes quand la vie nous rappelle les moments tristes (deuil, maladie, engueulades avec ceux qu'on aime, le manque de communication, le manque d'amour en retour du trop plein fourni . . . ) quelques grimaces quand on supporte les délires des autres par empathie (la répétition en voiture) . . . C'est plaisant dans ses moments-là car on sent la sincérité. Mais les scènes hystériques ou de pathos sont malheureusement trop appuyées. Une grosse incongruité scénaristique spoiler: comment une art-thérapeute n'arrive pas à accepter que le mutisme de sa soeur à la mort de leur mère ne puisse pas être vaincue par le chant !!??
Agréable mais avec des longueurs. Un film qui fera les joies des 2e parties de soirées télé estivales.

Ce film est classé dans la catégorie comédie mais c'est quand même davantage une comédie dramatique qu'une comédie tout court.
Car même s'il y a des passages amusants, c'est surtout une histoire familiale un peu lourde.
J'ai bien aimé dans l'ensemble, c'est intéressant et on ne s'ennuie pas.
Mais ce que je n'ai pas aimé, cependant, c'est ce concours de choristes pour C. Dion (un peu lourd et cliché).