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    Deux Moi
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    532 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 octobre 2019
    Aucune action je n'ai pas du tout aimé
    Tres long, mou vraiment déçue .jai tenu pour ne pas quitter la salle avant
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 septembre 2019
    Ce film est long..très long.. trop long.. Les scènes sans intérêts se multiplies la musique est toujours la même, aucun rythme. Je me suis surpris à regarder ma montre à plusieurs reprise.
    Alors oui, l'histoire peut toucher par moment et faire rire à l'occasion mais c'est vraiment trop rare par rapport à la durée du film.
    La bande annonce laissait entrevoir un film touchant et divertissant, je suis passé à coté.
    L_huitre
    L_huitre

    61 abonnés 344 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 septembre 2019
    Je n'ai pas adoré ce film. Question de génération, j'en suis certain, si j'en juge par les critiques majoritairement positives sur Allo Ciné. L'histoire est belle pourtant avec deux acteurs qui ont une présence. Mais le film est lent, très lent... Il enfonce des portes ouvertes sur la nécessaire ouverture d'esprit sur autrui et la réconciliation avec soi-même pour aller au devant des autres. Comme si notre époque n'était pas totalement baignée dans un liquide amniotique psychologique qu'on vulgarise, à longueurs de pages, dans les magazines féminins ( il y a même un magazine grand public sur la Psychologie ). Ici, dans ce "Deux Moi" tout en douceur, Klapisch semble découvrir l'existence des psychothérapeutes, ce qui fait du film une vibrant plaidoyer pour cette profession. Mais le film est un peu daté, avec notamment les réactions des parents à la montagne pour qui "psy" est assimilé à "fou". Cela aurait pu passer, il y a vingt-trente ans, mais aujourd'hui c'est un peu has been... Le mutisme de Remi devant son psy est horripilant. A croire que ces jeunes n'ont aucune vie intérieure et vivent la vie au jour le jour, sans analyse sur soi, ni prise de hauteur. Ma réaction négative face à ce film est donc intimement liée à mon propre parcours psychologique réalisé dans un contexte autrement moins coopératif au niveau de la société dans son ensemble. Par ailleurs, la critique sur les sites de rencontres m'a semblé un truc de gens blasés. Si j'en juge par les rencontres issues de ces sites ( y compris dans mon proche entourage ), je trouve que c'ést beaucoup mieux avec que sans. Admettons que les jeunes générations ne perçoivent pas la chose de la même façon. Le film a donc son utilité. En plus, François Civil et Ana Girardot sont tellement craquants...
    garnierix
    garnierix

    197 abonnés 413 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 septembre 2019
    Cédric Klapisch, connais pas. Mais maintenant, je connais et j’aime. Un critique du Monde dit : il "tente de dépeindre les trentenaires d’aujourd’hui, mais reste en surface". Son film "Deux Moi", est l’exact contraire, pour moi. L’auteur ne tente pas de dépeindre : il marche, il court, il danse, il pleure, il piétine, il grimpe –tout ce que fait une personne normale dans la vie. Il ne dépeint pas les trentenaires d’aujourd’hui : il parle de tous ceux qui risquent de rater leur vie à cause de leur solitude –la maladie du siècle. Il ne reste pas en surface : il creuse, il creuse des puits, il creuse des tunnels, à mains nues, ou bien outillé (avec les psys –ces psys qui ont chacun leur méthode). C’est un film infiniment triste, et en même temps plein d’humour : pas cette tristesse et cet humour bien scénarisés, bien chronométrés, bien envoyés, qui en ferait un drame ou une comédie ; c’est un film qui nous fait aimer ses personnages parce qu’ils nous ressemblent dans nos pauvres errances, joyeuses ou déprimantes. Saurais-je me définir en un mot ? Est-ce que je fabrique des scénarios négatifs dans ma tête ? Quel est le sens à moi que j’espère d’une rencontre ? Est-ce que ma famille a le droit de m’imposer son silence à elle ? Pourquoi devrais-je oublier ce qui me peine ? Des dizaines de questions que les personnages se posent et qu’on se pose à nous-mêmes, qui ne sommes pas des philosopheurs, ni des génies, ni des rentiers, ni des voyous. Ce film n’est pas non plus une longue plainte molle ou rigolote, avec des voix off : il y a une histoire, deux histoires, bien foutues, qui avancent dans le réel, dans la rue, au travail, en courses, dans les boîtes, sur le net, deux histoires qui finiront par se recouper évidemment. Cédric Klapisch c’est une explosion de tendresse envers l’humanité. A.G.
    Francis L.
    Francis L.

    20 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 septembre 2019
    Le cinéma français victime des séries courtes du petit écran fait qu'aujourd'hui les films sont montés par courtes séquences répétitives. On assiste donc à une suite de scènes renouvelées presque théâtrales. Quel ennui malgré de bons acteurs, difficile de ne pas s'ennuyer entre le côté métro boulot dodo. Bref certains ont trouvé le film intéressant pas moi.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 146 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 septembre 2019
    A peine le générique du film fut-il lancé que déjà j’étais en train de me dire que ce « Deux moi » je l’avais déjà vu plein de fois. Klapisch. Klapisch. Encore Klapisch. Les mêmes effets de split screen, les mêmes effets d’accélération, les mêmes captations de paysages ou de scènes de quotidien. En même pas deux minutes, déjà, j’étais en train de me demander ce que ce film allait bien pouvoir m’apporter de neuf. Mêmes têtes d’affiches que dans son précédent « Ce qui nous lie ». Même postulat de rencontres amoureuses que sa trilogie espagnolo-russo-chinoise. Jusqu’à nous refourguer une fois de plus son trip sur des chats qu’on perd… Non mais franchement Cédric ! Entre avoir un univers et tourner en rond, il y a quand même une sacrée différence. Et moi, après seulement quelques minutes de « Deux moi », j’avais déjà le tournis.

    J’ai beau bien l’apprécier notre ami Klapisch, mais comme n’importe quel autre auteur, dès qu’il se met à bégayer, il commence à me fatiguer. Toujours ces mêmes personnages gentils mais qui ne savent pas voir et saisir les moments. Toujours cette envie de peindre une France bariolée mais heureuse, riche d’un multiculturalisme qui va forcément de soi. Toujours ces problématiques personnelles d’encroutement face aux petits conforts de la vie qui nous empêchent de prendre les bonnes décisions… Ici dans « Deux moi », il sera question de psychanalyse. Du besoin de se trouver soi avant d’être capable de trouver l’autre… Aaaah mais que de boboïtude ! Et moi qui avais pour habitude de citer Klapisch pour démontrer au gens que je n’avais intrinsèquement rien contre le cinéma petit-bourgeois parisien ! Là, avec ce « Deux moi », j’arrivais clairement au Klapisch de trop. Celui qui risquait de tout me faire rejeter en bloc. Et puis finalement, sur la deuxième partie du film : la surprise… Ou plutôt non : pas de surprise. Disons plutôt une confirmation que je n’espérais plus. Parce que oui, au-delà d’être un cinéaste bobo-parisien, Cédric Klapisch est aussi un auteur qui a une capacité réelle pour humaniser ses personnages. Ce mec aime les gens, ça se voit, et il sait le traduire à l’écran. Mettre en valeur les corps. Les courbes. Saisir les instants de sensualité. Offrir aux comédiens la possibilité d’exprimer une sensibilité à fleur de peau, notamment dans cet art consommé de l’émotion qui ressort mais qu’on s’efforce de contenir. Alors oui, au bout d’un moment les personnages deviennent touchants. Leur univers devient chaleureux et amical. Et le film parvient à se construire sa propre identité.

    Et même si cette justesse ne lui empêche pas quelques maladresses, comme dans la gestion de ses musiques qui parfois ponctuent trop (ou mal) certains moments clefs ( spoiler: je pense notamment à la rencontre finale entre Rémy et Mélanie
    ), j’avoue que la démarche globale a fini par me convaincre. J’ai fini par oublier les clichés du début pour ne retenir que l’exploration sincère de la deuxième partie. Et j’en suis même carrément venu à me dire que l’ami Cédric avait finalement su jouer intelligemment avec le fait qu’au fond, ce film on l’avait déjà vu avant. Parce qu’en effet, il était impossible de concevoir qu’à la fin de toute cette histoire, spoiler: Rémy et Mélanie ne finissent pas ensemble
    . Pourtant, sur la deuxième partie, je me suis surpris à me dire : après tout peut-être pas. Ça ne s’impose pas. Et que ça se produise ou non, au fond l’intérêt n’est pas là. Ainsi, un peu comme son précédent « Ce qui nous lie », Klapisch est parvenu à me convaincre. Me séduire. Sans être un chef d’œuvre – sans être une révolution en termes de cinéma – ce film a su me faire passer un bon moment, me toucher, et sûrement (comme la plupart des Klapisch) je le reverrai avec plaisir. Donc oui, « Deux moi », malgré son titre peu séduisant, malgré son pitch et son affiche qui sentent l’usure, possède quelque-chose à offrir à son public. Et moi, rien que ça, ça me suffit amplement. Mais bon… Ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    bsalvert
    bsalvert

    320 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 février 2020
    Un film qui fait sourire par quelques situations mais dans l'ensemble qui ne laissera pas un souvenir impérissable; Autant les acteurs sont efficaces, autant le film manque clairement de rythme.
    ned123
    ned123

    124 abonnés 1 662 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juillet 2023
    J'ai vu un film... une chronique moderne, triste et émouvante de ces célibataires parisiens qui traînent leurs vies de boulots en manque de sens à des passés mal assumés qui les empêchent d'avancer... C'est un film très touchant qui convoquent tous les codes modernes et disparus... Les réseaux sociaux dans la vacuité des échanges et le petit épicier totalement impliqué dans la consommation de ses clients. Nous sommes dans l'ultra-moderne solitude comme disait Souchon, et cela est magnifiquement retranscrit par un Klapisch au sommet de son art... Et quel casting... J'adore François Civil...
    Aure L
    Aure L

    19 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 septembre 2019
    La poésie de Klapisch, ses personnages toujours en quête de sens, une géographie parisienne comme actrice. Sourie à l'Univers et celui-ci te sourira en retour
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    111 abonnés 2 276 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 février 2020
    Un très beau film de Cédric Klapisch, où l'on retrouve les thèmes habituels de ces films, Paris, une jeunesse qui se cherche, le chat que l'on cherche et une apparition de la formidable mamie Renée Le Calm, hélas décédée à l'âge de 100 ans en 2019.
    Une jeunesse parisienne individualisé, en mal de connexion réelle avec le monde. En recherche illusoire d'un "moi".
    Deux vies croisées, proches. Très belles images, très beau travail de la photo, du cadrage.
    Un film touchant, une bonne distribution avec François Civil remarqué dans "Le chant du loup" et Ana Girardot découverte ici. Un film doux, calme, agréable, beau et une mise en scène de très grande qualité.
    Merci également à Flocon et Minette pour leur prestation dans le rôle du chat "Nuggets".
    momo M.
    momo M.

    35 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 octobre 2019
    C'est l'ultra moderne solitude de deux trentenaires dépressifs. Film sans prétention assez agréable mais un peu mou. Comme dans chacun cherche son chat, Klapisch sait filmer Paris, ici le 18ème et la Porte de la Chapelle. Quelques scènes drôles avec les seconds rôles très bien interprétés, l'épicier et la collègue de Rémi. On aurait pu se passer des nombreuses séquences avec les psys. De la psy à 2 balles genre" il faut vous aimez si vous voulez aimer les autres" Et Camille Cottin en psy, bof !!
    Dine N
    Dine N

    14 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 septembre 2019
    Soporifque. d'un ennui mais d'un ennui ! 01h40 de suivi psy pour dépressif parisien ... franchement le sujet peut paraître intéressant : la solitude dans les grandes villes mais le rendu est raté.
    J'ai hésité à partir avant la fin tellement c'était long.
    MediaShow
    MediaShow

    125 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 septembre 2019
    La comédie dramatique « Deux moi » est une agréable surprise dans le registre. Une belle alliance entre la simplicité de l’histoire, la complexité psychologique des personnages et l’émotion que procurent la distribution. A ne pas manquer !

    Ma critique complète : https://mediashowbydk.com/critique-film-deux-moi/ (sans spoilers)
    Serge V
    Serge V

    82 abonnés 446 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 septembre 2019
    François Civil et Ana Girardot deux êtres solitaires dans un Paris populaire du 10 ème arrondissement ne cessent de se côtoyer sans jamais se rencontrer , cherchant chacun de leur côté l ' âme soeur ! devinez le dénouement ! les deux jeunes acteurs sont attachants et excellents ! comme son titre l ' indique , le film est très axé sur le côté psychologique François Berléand et Camille Cottin sont deux psys que consultent les deux héros ! Cédric Klapish nous offre un film qui malgré sa lenteur nous tient en éveil !
    Bambiniste
    Bambiniste

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 septembre 2019
    Il manque beaucoup de charme à ce film pour convaincre. Francois Civil est excellent, malgré un scénario qui semble parfois difficile à assumer. Ana Girargot ne pouvait transcender un role trop faible au scénario... Les entrevues des personnages avec les psychanalystes permettent à Cédric Klapisch de tisser une histoire creuse, dans un langage trop littéral et pas assez cinématographique. Quel dommage que Paris ne joue pas un role plus prononcé : tous voisins et inconnus, ce film aurait pu être une géographie urbaine absurde, enlevée. Mais il s'engouffre dans des salles obscures, lieux de résolution de problèmes qui n'en étaient pas (vu la rapidité avec laquelle il sont résolus) sans second degré malheureusement.
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