Avis : Deux Moi - Page 7

Klapisch raconte avec tendresse, non pas une rencontre, mais plutôt le parcours chaotique et semé d'embûches de deux êtres terriblement seuls et qui mène à cette rencontre. On voit les personnages se croiser, coexister sans trop le savoir, ce qui rend le film assez savoureux. Et François Civil confirme tout le bien que je pensais déjà de lui.

Cédric Klapish met en boîte un film de bon aloi, moins lisse qu'il n'en a l'air. Ça ne renouvelle pas le genre et ça n'a rien de subversif mais ça se suit bien. L'intérêt de l'histoire, c'est au final le déroulement des névroses enfouies de ces "deux" solitaires, qui fait mouche. Les séquences chat sont mignonnes. Casting parfait avec Ana Girardot et François Civil, l'une et l'autre touchants. Un peu vain cependant.

Ce n'est pas mon fauteuil qui a remué , c'est toute la rangée !
Pourtant, ça part bien. Mais ça s'enfonce bien vite dans des marécages bien plus ennuyeux Qu'énigmatiques.
Il faut reconnaître que les acteurs luttent vaillamment pour nous épargner la déception.
Mettre Virginie Hocq Au générique, c'était malin : je me suis précipitée. Mais la malheureuse doit être meurtrie de voir ce qu'on a fait de son génie pendant son apparition fugace.

Quel manque de rythme par rapport à d'autres Klapisch. Le casting est bien et juste mais ne permet pas de relever mon engouement.

Klapisch sur Once Upon a Time in Hollywood: "Un vide cinématographique", il connaît bien la question... Pas adoré le film de Tarantino mais j'avais réussi à le finir, lui. Succession de banalités chez le psy, le pharmacien ou l'épicier, quel est l'intérêt de la scène avec Niney?

Film qui fait réfléchir... dans un monde où les rencontres se font à présent sur les réseaux sociaux, on nous rappelle que les plus belles rencontres sont dû au hasard ! Et ça nous fait du bien. En toute simplicité... J'aime ce film... (Et la personne qui m'a accompagné)

Nul ! C'est la première fois que je m'ennuie au ciné.
Dialogue très pauvre... on a l'impression que ça va jamais commencer !!! Je ne recommande pas.

Nul, creux, bourré de longueurs et sans intérêt. Avec, cerise sur le gateau, Paris sous ses mauvais jours : triste, maussade et austère. Passez votre chemin

J’ai eu l'occasion et la chance de découvrir « DEUX MOI »  en avant-première à Lyon avec présence de l'équipe le 25 juin dernier ! Si j’ai pris autant de temps avant d’en faire la critique, c’est qu’il m’a profondément marquée et a mis la lumière (comme un effet miroir) sur la problématique très contemporaine qu’est la solitude des jeunes trentenaires dans les grandes villes à l’époque des réseaux sociaux. « DEUX MOI » n'est pas le meilleur film de KLAPISH mais il a le mérite d’être juste, de pointer là où il faut. Quelle que soit notre situation aujourd’hui, on a tous été un jour Mélanie ou Rémy (les deux protagonistes du film); on a tous rencontré les difficultés liées à la virtualisation des rapports et la solitude accrue qui en découle. « DEUX MOI » est un film dont le contenu est assez bien mais qui a le mérite de lancer une réflexion profonde chez le spectateur dès la sortie de la séance.
PS: inutile de souligner l’excellente performance de François CIVIL, c’est officiel depuis un bon moment, j’en suis une grande FAN :)

ce film aurait du duré 1 h 20 mais pas 1 h 50 car des longueurs sont inutiles. Le sujets des rencontres sur internet aurait pu être plus approfondi, mieux exploité. Des scènes sont cocasses, il y a de bonnes réflexions mais ça reste trop long, filmé la solitude d'accord, mais là c'est soporifique, sinon les acteurs jouent bien, dommage que la fin soit bâclé.

Déçu, trop prévisible dès le début, malgré de bonnes répliques, pourquoi les films d'amour seraient toujours dépressifs !!!!!

Cédric Klapisch est au cinéma parisien, ce que Woody Allen est au cinéma new-yorkais ; une marque déposée !
Dès le début de sa carrière, ce cinéaste engagé a toujours su filmer l'intimité de la vie urbaine telle que nous la ressentons au quotidien.
Avec "Deux Moi", il signe un nouveau bijou, encore plus exceptionnel ; il arrive à rendre communs voire quelconques, des comédiens tous fabuleux !
Comment peut-on imaginer François Civil et Ana Girardot, deux si beaux acteurs, aussi paumés, perdus, tristes, dépressifs… incapables d'être intéressés par le monde qui les entoure et qui les isole ?
C'est tout le talent de Klapisch d'arriver à nous identifier à ces dizaines de "fantômes" du quotidien, anonymes dans le métro, la rue, les soirées… rivés à leurs téléphones et leurs réseaux sociaux.
"Deux moi" est un film maitrisé qui nous rend si proches de ces personnages par catharsis que leur bonheur final est une libération pour chacun d'entre nous.
Un film moderne, intense qui prend aux tripes car il aborde des thèmes qui sont les nôtres : la solitude, les traumatismes personnels et familiaux, le besoin de résilience, la psychanalyse, la musique, la danse, l'amour, le besoin du rapprochement humain, le vivre-ensemble, etc…
Cédric Klapisch met ses mots sur nos maux avec une sensibilité rare : "Deux moi", à ne pas rater !

Qui d’autre que Cédric Klapisch pourrait si bien conter la rencontre de deux âmes sœurs esseulées dans un monde citadin qui les engloutit chaque jour. Peut-être cet épicier espiègle et très observateur interprété avec brio par Simon Abkarian, où encore ce pharmacien coincé que joue si bien Zinedine Soualem. Et pourquoi pas deux psychologues, très subtils Camille Cottin et François Berléand ? Pas loin de tous les clichés possibles, Mélanie et Rémy finiront pas dépasser des événements enfouis qui les empêchent d’avancer dans leur vie, ils vont nécessairement se rencontrer, tôt ou tard, ils vivront forcément une romance parfaite, et sans doute beaucoup plus encore… Cette histoire moderne repose principalement sur le talent, la grâce et le charme naturel de ces deux héros du quotidien, interprétés par deux jeunes talents du cinéma français, Ana Girardot et François Civil, étonnants de justesse et de sobriété.

Sans grande surprise, assez agréable a regarder mais le film semble très inspiré d'un film argentin _ Medianeras" tourné à Buenos Aires. Même thématique comment trouver l'amour dans une grande ville. Les 2 personnages se croisent tout le temps sans se voir.,elle vient d'être quittee , c'est lui seulement qui voit le psy
Pastiche du film argenti

La mayonnaise ne prend pas, la mécanique est un peu brouillonne, des scènes qui s’enchainent mais on s’ennuie (heureusement que les second rôles relève un peu l'intérêt). Une comédie romantique qui se veut originale mais qui l'est pas tant que ça. On a déjà vu du Klapish plus percutant.