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    The Vast of Night
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    2,7
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    64 critiques spectateurs

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    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    107 abonnés 2 330 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 septembre 2020
    Un film bavard mais parfaitement mis en scène, une histoire classique mais fascinante car bien racontée.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 juillet 2020
    Malgré un synopsis intéressant, on s’ennuie ferme devant ce film. Le scénario est vraiment faible. Heureusement les personnages sont attachants. C'est un peu bavard mais heureusement finalement car force est d'avouer qu'il ne se passe rien dans ce film. De plus, c'est tourné dans une pénombre constante qui finit par être vraiment désagréable à la longue...
    Si vous ne le voyez pas, et bien vous ne manquerez pas grand chose.
    Kal D.
    Kal D.

    4 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 août 2020
    magnifique ambiance encore une fois recrée a merveille de la part des américains de ces époques années 60 où tout autres époques auxquels c'est nécessaire de nous plongé pour les besoins d'un film...en France on est incapables,sans moyens dédier au décors, personnages, figurants...
    bref
    film tout a fait surprenant de qualité de rythmes,jeux des acteurs , déroulé de l'histoire en temps réel quasiment calqué sur la durée d'un match de basketball.
    nul doute dans l'esprit des cultisime rencontre du troisième type et autre film de rencontres avec des êtres supposé extraterrestre...
    les gens sous estime l'importance des 20 première minute mais c'est un tord ..elles sont faites pour nous imprégné de l'ambiance et des acteurs... attachant.
    sans prétention et remarquable surprise cinématographique.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    90 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 août 2022
    Plus le temps avance, plus il est en théorie difficile de représenter le passé. Pourtant, ponctuellement, on y arrive de mieux en mieux. Des costumes au langage en passant par les accessoires et les décors, The Vast of Night est un exemple de film qui va plus loin que d’être une perle de reconstitution : c’est une simulation. Écrit comme un "teleplay" ancré dans l’ufomanie des années 1950, on le vit comme un pur produit médiatique d’époque, remis au goût du jour tout au plus. Le réalisateur, quand il devient scénariste, use d’ailleurs d’un pseudonyme pour marquer la rupture entre son œuvre "propre", le film fondamentalement indie qu’il nous propose derrière la bannière d’Amazon, et ce show suranné qui est à l'intérieur et qui se montre si éclairant sur la densité du monde d’alors.

    Je parle de densité pour plusieurs raisons, mais surtout pour une histoire de rythme redécouvert. En effet, on a tendance à voir le monde d’aujourd'hui comme effréné, et celui qui l'a précédé comme lent. Mais Patterson propose une troisième vision : celle d’un monde *déjà* effréné, où l’on se dépêchait de vivre car tout était encore à inventer, et tout à dire sur une technologie en plein boom. On fantasmait et on se précipitait vers l’avenir promis, peuplé de voitures volantes et de téléphones portables – mais parfois on n'avait rien à faire d'autre que de vivre l'instant. Le film rappelle que patience et impatience ne sont pas opposés et c’est ce qui fait son charme : alors que l’histoire entière se passe sur quelques heures et qu’un sentiment d’urgence permanent la baigne, elle est remplie de flottements paisibles qui paraissent en contradiction avec ce qu’on connaît de la vie aujourd'hui, où la technologie nous permet de tout accélérer et de justement combler ces moments d’attente, ces vides qui nous semblent inutiles et qu’on redoute. C’est au creux de ceux-ci que Patterson construit un film qui rend hommage à une génération qui vivait le temps différemment, et bien sûr à la radio en général, où le silence visuel est requis pour que le son prenne vie (quelques fondus au noir nous le rappelleront).

    Bourré de passion et de références pour un genre qui nous a donné Rencontres du troisième type et autres monuments dont l’aura peine à vieillir, The Vast of Night n’est pas tant un film de science-fiction qu’un film sur la pop culture de la science-fiction. Ça donne bon espoir que le genre ne mourra jamais vraiment, ni ne se fânera tant qu’on saura remasteriser le charme des temps passés.
    Jonathan P
    Jonathan P

    59 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 septembre 2020
    Soir de match de basket dans une petite ville au Nouveau-Mexique, toute la ville réunit au même endroit. Everett, un animateur de...la suite sur Boulevardducinema.com
    Clément D
    Clément D

    19 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 août 2023
    Immersion dans l'époque. Plans et travelings très réussis.
    Personnages vrais, ça sonne juste (même si ça reste de la fiction).
    La musique est très importante dans un film et est souvent un pilier d'ambiance essentiel. je trouve que le thème principal au violon est parfait et en accord avec l'intrigue.
    Ne vous attendez pas voir des ET envahir la ville à la ID4 ou type District 9, parceque vous seriez déçu. Ça me fait penser plutôt à Rencontre du 3ieme Type.
    Avec ce côté immersif du film, nous sentons la présence (même hors champs) des visiteurs, par les dialogues des deux protagonistes et ceux des témoins.
    J'adore les films qui traitent ce genre de sujet, et je n'ai pas été déçu. Ce film est, pour moi, original et réussi.
    Beru Ramone
    Beru Ramone

    10 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 septembre 2022
    J'ai aimé ce que les pires critiques ici même ont détestées.
    L'ambiance bizarre, les dialogues sont on ne sais pas où ils vont nous mener. Idem pour l'histoire.
    Ça va rester dans le cartésien, ou partir on ne sait trop où !?
    La narration fait le film. Quel que soit la fin, ce film est agréable à regarder.
    Pour moi, une réussite.
    Eric B
    Eric B

    8 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 août 2022
    Étrangement ce film me marquera. Malgré un scénario tenant à peine sur une page, des personnages bien qu' attachant mais manquant d' originalité. Non ce que je retiendrai, c'est l'atmosphère très particulière du film. Tourné en temps réel, de nuit dans une petite ville des années 50. C'est sombre, c'est inquiétant. Je retiens un plan séquence remarquable qui nous fait traverser la petite ville au raz du sol.
    Casimirismylegend
    Casimirismylegend

    43 abonnés 311 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 juin 2021
    Il y a 50 ans, La quatrième dimension faisait mieux en noir et blanc et en 25 minutes. Pourquoi ce film? Les créateurs de ce projet ont-ils oublié Rencontres du troisième type? C’est plutôt pauvre et prévisible... même pour un passionné d’ufologie... le scénario n’offre aucune surprise et aucun dénouement intéressant...
    Matthieu P
    Matthieu P

    7 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 août 2020
    efficace, beau et astucieux (la meilleure façon de retranscrire la radio à l'écran).
    on ne s'ennuie pas

    bravo
    Cinévore24
    Cinévore24

    300 abonnés 600 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mars 2021
    Malgré son petit budget, un premier long atmosphérique plutôt maîtrisé, dans la veine d'un épisode de la série "Histoires Fantastiques" de Spielberg.
    Une intrigue assez simple sans être simpliste, où le son a son importance, dans le récit comme dans la mise en scène.
    À découvrir. 6,5/10.
    Jorik V
    Jorik V

    1 198 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mars 2021
    Voilà une bonne petite surprise venue de nulle part. « The Vast of night » correspond tout à fait à l’adage selon lequel le peu de moyens permet de grandes idées et parfois, comme c’est le cas ici, à des réussites plus ou moins affirmées et évidentes. On sent le budget microscopique, un tournage rapide et une production confidentielle loin de toute influence des studios. Et c’est ce qui fait la beauté du geste, car ce premier film d’Andrew Patterson transpire par tous ces grains de pellicule l’amour du cinéma. Très référencé, il a beau être minuscule par son budget, il est immense par ses idées et sa conception, se transformant en un hommage pertinent et maîtrisé à tout un pan du cinéma de genre des années 50 à 70 voire 80. Comme si ce film était le fantôme empli de nostalgie des productions de science-fiction d’antan. Et on convoque ici tout un imaginaire foisonnant et bien connu dans le domaine, de la zone 51 à Roswell en passant par les projets militaires secrets.



    En effet, le long-métrage ne s’en cache pas, il s’inspire fortement des épisodes de la célèbre série d’époque « La Quatrième dimension ». A ce titre, il propose dès ses premières images une immersion dans un univers similaire puisque nous traversons littéralement l’écran de télévision. Mais on pense aussi beaucoup à des séries plus récentes comme « Au-delà du réel » et bien sûr « X-Files ». Enfin, du côté cinéma c’est bien sûr à « Rencontres du troisième type » de Spielberg que « The Vast of night » peut être assimilé facilement et avec évidence. Et, plus récemment, à « Midnight Special » de Jeff Nichols qui s’inspirait (ou rendait hommage) lui aussi… au film culte de Spielberg. Toutes ces références sont pleinement digérées, actualisées et remises dans un contexte rétro du meilleur effet ce qui évite le plagiat. Patterson reste humble avec son petit film mais s’ouvre une propre voie passionnante même si elle n’est pas dénuée de défauts. Comme dans beaucoup de premiers essais.



    Le premier quart d’heure est en effet quelque peu laborieux. Si techniquement le plan-séquence introductif est brillant, le flot de dialogues ininterrompus, le nombre de noms cités et la pléthore d’enjeux éventuels effleurés nous perdent et ne nous cueille pas vraiment de prime abord. C’est peut-être pour perdre le spectateur, mais une fois cette partie finie et que l’intrigue de « The Vast of night » se pose on est davantage conquis. Dès lors, notre intérêt ne va plus se démentir face à cette histoire de signaux étranges sur les ondes menant vers une science-fiction certes désuète, proche de la magie, mais totalement captivante et pleine de charme. C’est très bavard mais on est cloué aux lèvres des personnages au fur et à mesure que le film avance, désireux de savoir de quoi il retourne. Et la tension monte crescendo et de manière exponentielle jusqu’à un final grandiose quoiqu’attendu. Au-delà de l’originalité pour notre époque d’un tel film, la maestria technique de Patterson (ce plan-séquence en milieu de bobine qui traverse à ras du sol le petit village où se déroule l’action est dément sans être une démonstration de talent gênante) montre que ce jeune homme a du talent à revendre et donne envie de voir la suite. Une bonne petite surprise pleine d’amour pour le cinéma, d’idées et de candeur.



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    ConFucAmuS
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    476 abonnés 924 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 janvier 2022
    Produit pour un petit million de dollars, The Vast of Night montre déjà l'assurance de son metteur en scène Andrew Patterson. La référence à la Quatrième Dimension est pleinement assumée dès l'ouverture et elle prend encore plus de sens une fois les 90 minutes ingurgitées. Il ne s'agit pas de verser dans l'exaltation nostalgique (pourtant bien en vogue), mais d'en retrouver le pouvoir d'évocation et la pertinence. Le fin mot de l'histoire n'est pas plus intéressant que la manière de la raconter, et c'est bien ici que le film étonne. Il peut paraître lent à certains, mais je trouve au contraire qu'il prend le temps de donner du poids à ce qui est raconté (littéralement). La plupart des moments forts se situent au cours de dialogues, et si Patterson les filme en plan fixe ou carrément sur un écran noir (!) comme pour retrouver la force originelle des récits/légendes dont il s'inspire. Une célébration de la communication dans sa forme la plus pure. La voix comme seul repère, tout le reste laissé à notre imagination. Pas étonnant que l'un des personnages principaux du film soit un récepteur radio (on est à la fin des années 50), extension absolue d'une tradition aussi vieille que l'humanité. Instrument dont fera bon usage Orson Welles avec sa lecture de La Guerre des Mondes (relatant une invasion extra-terrestre) qui fit tant de bruit en 1938. Nul un hasard si le nom de la station radio d'un des personnages principaux est un acronyme du classique de H.G Wells (WOTW = War Of The World). Évidemment, le 7ème Art est devenu un canal de diffusion au même titre que les deux premiers modes. Nouvelle ère, nouveau mode de transmission mais les légendes elles restent. L'aspect minimaliste correspondant tout à fait au crédo de Patterson, il s'en sert afin d'en extraire l'infinie richesse. Néanmoins, le réalisateur ne s'en tient pas là, comme en témoignent les quelques plans-séquences, en particulier celui parcourant la ville. On le sentira moins en phase lors des phases où l'intrigue s'emballe (beaucoup trop de coupes). Malgré tout, le long-métrage est largement tenu par ses deux comédiens (Jake Horowitz et Sierra McCormick, étincelants) et les choix malins de son réalisateur pour mettre dans l'ambiance. Tout cela concourt à faire de The Vast of Night en vraie curiosité en plus d'être un bel hommage à la série de Rod Serling.
    Gregg S.
    Gregg S.

    15 abonnés 350 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 août 2022
    Véritable hommage à la série "Twilight Zone", ce film propose une expérience cinématographique a part entière. L'écriture est excellente et la réalisation totalement maîtrisée. The Vast of Night est un petit bijoux de SF qui surprend le spectateur sans jamais utiliser la facilité. A savourer sans modération !
    DavY Croquette
    DavY Croquette

    43 abonnés 1 077 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 septembre 2022
    C'est vraiment, vraiment pas mal. Déjà c'est extrêmement bien filmé. Le plan secance sur la ville est juste superbe. Le tout est plutôt lent mais être ennuyeux. Il y a vraiment un univers particulier, malheureusement le manque de moyen se fait sentir. Mais au final, c'est pas mal.
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