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    Ainbo, princesse d'Amazonie
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Ainbo, princesse d'Amazonie" et de son tournage !

    Note d’intention

    Originaire d’Amazonie, José Zelada a grandi en étant imprégné d’histoires fantastiques et de légendes propres à cette région. Il a désiré les mêler à l’histoire de sa mère, issue d’une famille d’Européens immigrés dans la forêt amazonienne, tout en évoquant la situation inquiétante de la forêt amazonienne (l’exploitation minière illégale, le changement climatique, l’abattage inconsidéré des arbres…). « On s’est demandé comment offrir au cinéma une belle histoire, tout en transmettant un message aux enfants, pour les générations futures. Et comment brosser le portrait d’une réalité quasi apocalyptique sans être trop déplaisant. L’idée d’un film d’animation s’est alors imposée. »

    Mythologie amazonienne

    Les personnages qui entourent Ainbo s’inspirent de la mythologie amazonienne. Ce sont des guides spirituels. Motelo Mama s’inspire de la légende de la Motelo Mama (« motelo » signifie tortue), il s’agit d’une géante mère tortue qui porte sur son dos une partie de la jungle pour l’emmener en lieu sûr, à l’abri des prédateurs. Le Yacuruna est quant à lui un démon qui contrôle l’esprit des indigènes pour profiter d’eux et voler l’or.

    A quatre mains

    Ainbo, princesse d'Amazonie est le premier long-métrage de José Zelada. Il est épaulé à la réalisation par l’Allemand Richard Claus. Dépasser leurs différences culturelles et linguistiques a été un véritable challenge. « Mais petit à petit, on a réussi à s’accorder autour d’une intrigue centrale et à se soutenir mutuellement. Il avait de l’expérience, de par ses précédents films, et a fait des propositions pertinentes qui se sont parfaitement intégrées au récit. Collaborer avec Richard s’est avéré une expérience formidable » rapporte Zelada.

    Son collaborateur, quant à lui, a eu vent du projet par le producteur exécutif Edward Noeltner qui avait assisté à une présentation du film dans le cadre d’un festival latinoaméricain. Emballé par le projet, il avait aussitôt accepté de le coproduire et de le distribuer à l’international. « En quittant Paris, je me suis dit que j’aimerais également prendre part au film. J’ai demandé à Edward si je pouvais lire le scénario, il me l’a envoyé, et c’est comme ça que tout a commencé. José était aux commandes lors du développement visuel du film, et le style des personnages et des décors reflète essentiellement sa patte et celle de ses collaborateurs péruviens. J’ai rejoint le projet lors d’une phase de perfectionnement du scénario, avant qu’on n’entre en production. Durant la production, qui s’est principalement déroulée aux Pays-Bas, je supervisais tout ce qui concernait à proprement parler l’animation ».

    Une coproduction entre les Pays-Bas et le Pérou

    La plupart des travaux de développement et de préproduction ont été conçus au Pérou puis transférés aux Pays-Bas, où se sont déroulées la production et la postproduction – du squelettage des personnages jusqu’à la livraison du film.

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