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    Un jour si blanc
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    3,1
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    25 critiques spectateurs

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    Lacroixjean Lacroix
    Lacroixjean Lacroix

    103 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 mars 2024
    Un peu décevant quand même.
    Très beaux paysages islandais mais scénario faiblard cet décousu!!
    Et que dire de la scène finale?
    L'idée de départ n'était pas mal mais ça se termine "en eau de boudin "
    Mathias MARTIN
    Mathias MARTIN

    8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 décembre 2023
    Le cinéma islandais est à l'image du pays : âpre, brut, sans concessions, graphique, puissant et fascinant. Ce film explore le processus de résilience, avec une montée par paliers de la tension. Comme la brume qui entoure quasi chaque scène, c'est évidemment très opaque pour une grande majorité des spectateurs, mais c'est aussi une expérience de cinéma qui change, qui explore la pudeur des sentiments - comme seuls les "nordiques" savent le faire - et leurs violences aussi. Unique dans tous les sens du terme.
    Pascal
    Pascal

    121 abonnés 1 402 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2023
    La réussite de " Godland" le dernier opus de H.Palmason, jeune cineaste islandais, conduit à revenir sur ses deux films précédents et notamment de" un jour si blanc" son deuxième long métrage.

    En s'appuyant sur le portrait d'un vieux policier en arrêt maladie à la suite du décès de sa femme décédée dans un accident automobile, Pamelson évoque notamment la douleur du deuil, le déchirement d'avoir perdu l'être aimé, la fidélité au sein du couple.

    La force de " un jour..." repose sur son style, son traitement plus que sur son sujet lui-même qui finalement n'est pas d'une très grande originalité.

    La première heure est quasiment sans dialogue et pourra rebuter les spectateurs peu sensibles aux films psychologiques ou leur interprétation personnelle est largement mise à contribution.

    La seconde partie est sans plus doute plus éclairante et plus classique, même si les ellipses scénaristiques dans les moments cruciaux de l'intrigue sont omniprésentes ( le réalisateur utilisera d'ailleurs le même procédé dans " godland").

    Très réussi, " un jour..." comporte malgré tout certains défauts notables même si le film se tient et représente une réussite ( sans doute moins nette que celle que montre " godland"

    J'ai regretté le manque de didactisme de la première partie et un scénario tout de même un peu trop relâché dans sa seconde partie.

    Néanmoins, il faut reconnaître le talent stylistique du réalisateur, qui s'illustrera avec encore plus de brio dans " Godland", sorti récemment (2023).
    Hotinhere
    Hotinhere

    423 abonnés 4 754 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 avril 2021
    Un policier en deuil soupçonne sa femme défunte de l'avoir trompé. Un drame psychologique et contemplatif desservi par un récit peu emballant.
    Guillaume
    Guillaume

    91 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 novembre 2020
    L'atmosphère insufflée par ces productions issues des pays nordiques a décidemment un caractère à nul autre pareil : tout est reposant sur la forme, mais tempétueux dans le fond. Un cinéma sans égal.
    "Un jour si blanc" ne se démarque pas de ses camarades ; mais avec une première partie manquant cruellement de rythme, il glace son public. Le second morceau du gâteau a bien meilleur consistance, et c'est une avalanche d'émotions qui bouleverse le spectateur. Enfin. Mais trop tard pour viser l'excellence.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    35 abonnés 1 077 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 novembre 2020
    Le titre provient des premières images, une voiture roulant, sans feux, dans le brouillard et où le ciel et la terre se confondent dans une même couleur uniforme. La 2e séquence, symbolisant le temps qui passe, laisse présager l’ennui à venir. Toute l’essence du film s’y trouve, le réalisateur privilégiant la forme au fond. Les sujets ne sont pas neufs et l’action pourrait se situer ailleurs qu’en Islande : deuil et cocufiage. Un grand père, Ingimundur, veuf depuis peu ( spoiler: sa femme s’est tuée dans l’accident de voiture filmé au début
    ), est policier. En rangeant les affaires de sa femme, il découvre dans une cassette vidéo, qu’elle avait une liaison et il décide de retrouver l’amant, plus jeune et de se venger. Malheureusement, le scénario n’est pas assez travaillé et court plusieurs lièvres à la fois, le deuil, la trahison, la jalousie et la vengeance mais sans renouveler le genre car il y a déjà eu des films bien meilleurs, sur tous ces thèmes. Vu l’abus des plans séquences (cycle des saisons au début avec un plan fixe sur la maison du policier, de jour et de nuit, par beau temps et sous la pluie, avec des chevaux qui passent et au son d’une musique où dominent les violons, partie de pêche du grand-père avec sa petite fille, Salka, cheminement dans un tunnel sombre où on ne voit rien), le film parait long avec ses 1h49 mn. Un film hybride, voire maniéré (cf. citation des rapports étroits entre Clara Schumann et Johannes Brahms).
    Christoblog
    Christoblog

    744 abonnés 1 617 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 novembre 2020
    Dans la droite ligne de plusieurs films récents de qualité, l'Islande a fourni une livraison intéressante à la Semaine de la Critique 2019 avec ce film de Hlynur Palmason.

    Autant le dire tout de suite, nous sommes ici dans un registre de cinéma d'auteur exigeant (et, c'est vrai, un peu ennuyeux par moment) : format long, scènes étirées, tics de mise en scène, très lents travellings avant, mise en scène un peu rigide. Le cinéaste n'hésite pas à exploiter des idées très conceptuelles : par exemple filmer au milieu du film tous les personnages de face et de loin, comme des portraits, ou composer des natures mortes avec différents objets pour évoquer un accident de voiture.

    Si vous êtes curieux, le voyage vaut tout le même la peine. Outre la nature islandaise, encore une fois très présente dans son immensité, le visage buriné de l'acteur Ingvar Egert Sigurdsson est magnifiquement filmé. L'acteur est décidément de beaucoup de films islandais importants de ces dernières années, dont Sparrows et Jar City.

    Après un départ un peu pénible, Un jour si blanc décolle réellement dans sa dernière partie avec une série d'évènements prenants et plutôt inattendus. Il devient alors très intéressant, entrecroisant avec un certain brio des thématiques fort différentes (deuil, amour filial, jalousie, vengeance, violence).

    A découvrir.
    Kadec
    Kadec

    110 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 novembre 2020
    J'ai plutôt apprécié ce film et surtout j'ai résisté à l'envie de partir avant la fin parce que je viens de passer un mois en Islande. J'avoue que j'ai bien retrouvé ce pays et j'ai eu confirmation de certaines impressions.
    Sans ça le début abscons/bizarre/long m'aurait découragé mais l'élément perturbateur arrive et met en valeur ce début. Il faut donc, selon moi, rester jusqu'à la fin.
    FaRem
    FaRem

    7 438 abonnés 8 828 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mai 2020
    Un fonctionnaire de police mis en congé à la suite de la mort de sa femme se met à soupçonner un homme d'avoir entretenu une relation avec elle. Quand on lit le synopsis, on retient les mots : vérité, obsession, intensifie, danger et vengeance, ce qui nous fait penser à un thriller sur une quête de la vérité sur fond d'un deuil difficile à faire seulement, le film est loin d'être excitant. Pour une personne soi-disant obsédée par la vérité, on ne peut pas dire que Ingimundur soit très actif. Il est même plutôt passif face à cet homme qu'il se contente d'observer de loin sans agir. C'est tout le problème de ce film qui ne propose rien de très excitant. En plus de cela, il met une plombe à se lancer. Après trois quarts d'heure, il n'y a rien à se mettre sous la dent et la suite est à peine plus passionnante. Il n'y a réellement qu'une scène intense dans tout le film qui est décidément bien terne à l'image des paysages islandais gâchés par une météo qui ne les met pas en valeur. Même le traitement du thème du deuil est décevant alors que ça pouvait être intéressant par rapport à Ingimundur et sa façon d'encaisser ce qui lui arrive. A l'image de ses nombreux et interminables plans fixes, "Hvítur, hvítur dagur" est un film bien pauvre tant au niveau du scénario que de la réalisation.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 mars 2020
    Ce film est un bouleversement. A tous points de vue: cheminement des personnages, paysages, prises de vues, jeu des acteurs tous exceptionnels. J’ai eu beaucoup de mal de quitter mon siège...d’autant plus que le film se termine sur la chanson Memories de LCohen. Choix on ne peut plus judicieux. Et la cerise sur le gâteau.
    amafu
    amafu

    6 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 février 2020
    Le réalisateur use et abuse de plans fixes, interminables (dès le début, la vision de la maison par toutes saisons est beaucoup trop longue). Et le scenario (si scenario il y a) est décousu, on voit un flic qui a perdu sa femme dans sa maison, gardant sa petite-fille, avec ses collègues, bref une vie de tous les jours mais dont la vision finit par lasser car on se demande quand donc le film va bien vouloir commencer....Et quand il s'anime, c'est pour des scènes violentes qui semblent arriver là comme un cheveu sur la soupe. Bref ce film est profondément ennuyeux.
    Ginok56
    Ginok56

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 février 2020
    Voilà un film très étrange. Sans véritable scénario et encombré de phases décousues parfois totalement inexplicables, le film commence par une série interminable de plans - photos d'une maison, photos qui, même de qualité, lassent et laissent le spectateur assez froid. Le personnage principal, un veuf découvre peu après l'accident mortel de sa femme que celle-ci le trompait, découverte basée sur des éléments éparses et peu cohérents qui déstabilisent le spectateur sans le convaincre. Car de suspense, il n'y en a pas. Aucun même. Sur ce récit se greffe l'amour entre un grand-père à sa petite-fille et , heureusement, car c'est surtout cet amour qui nous fait entrer de temps en temps dans le film. Splendides images de lumière, particulièrement celles de Salka, la petite fille, l'inspiration bergmanienne étant en arrière plan mais sans le génie. Quant au grand-père, Ingimundur (Ingvar Eggert Sigurðsson), son jeu d'Islandais de glace au caractère aussi tendre qu'un iceberg, il joue parfaitement ce que lui demande son metteur en scène Hjynur Palmason. Hélas pourrait-on dire car on s'ennuie, on se lasse, on se demande pourquoi on convoque le commissaire à Reykjavik, pourquoi la petite-fille est toujours confiée à son grand-père, pourquoi cette maison en construction n'avance pas, pourquoi cette haine aussi violente contre l'ex amant, pourquoi tant de questions sans réponses dans un désordre indescriptible. Dommage !
    PL06
    PL06

    8 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2020
    Le scénario n’est composé que de peu de choses… Mais le réalisateur Hlynur Palmason magnifie son histoire en recourant à des ingrédients du genre polar, en soulignant les paysages grandioses mais sévères de l’Islande, l’isolement des villages, le brouillard, la nuit… Par des scènes oniriques, décalées… La présence de la petite fille de Ingimundur est notre réconfort, la source d’une grande poésie. Car en définitive de polar il n’en est rien, il s’agit surtout d’une réflexion sur le deuil, sur le pardon, sur la reconstruction grâce à l’amour.
    Ingvar Eggert Sigurðsson est majeur dans le rôle de Ingimundur, le film vaut d’être vu rien que pour cela. Il a une présence incroyable, une force qui donne de la vérité à son personnage - tout comme la petite Ida Mekkin lumineuse, absolument remarquable.
    AZZZO
    AZZZO

    268 abonnés 728 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 février 2020
    Le spectateur emprunte un chemin très intérieur, froid et silencieux, celui d'une douleur. Ce n'est pas un film d'action, c'est une introspection, celle de Ingimundur qui, après la mort de sa femme, cherche à se reconstruire un monde, une maison, quelque chose de stable sans pourtant y parvenir. Il n'y a ni action, ni humour, ni courses poursuites mais on appréciera la beauté et l'intelligence de chaque plan. Tristement magnifique.
    Anne Valérie M.
    Anne Valérie M.

    4 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2020
    Un film aux cadrages exceptionnels et une histoire, un homme surtout,Ingimundur qui nous ramène aux héros mythologiques. Un homme en "colère" qui a une relation exceptionnelle avec sa petite fille(magnifiquement interprétée par cette enfant...)...une grande sobriété, des routes et des tunnels qui symbolisent cette interrogation douloureuse sur l'existence...et puis cette Islande, ces chevaux si résistants, le passage des saisons, des cailloux telluriques. C'est magistral!
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