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    L'Oeuvre sans auteur - Partie 2
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    4,2
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    38 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 juillet 2019
    La trame du film souligné par Paula Beer (la femme du peintre) et Sebastian Koch (le beau-père) donne une œuvre vivante et entrainante. Peut être par contraste avec le jeu de l'acteur principal. Un bon moment.
    Colette H.
    Colette H.

    2 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juillet 2019
    Compte tenu de la chaleur, j'ai passé mon mardi après midi au cinéma en regardant les deux films "l'oeuvre sans auteur". Je n'ai pas assez de mots pour exprimer ce que j'ai ressenti pour ces deux films : magnifique magistral......La seconde partie ne déçoit pas sur le 1er : au contraire il est encore plus fort. A voir et à revoir !
    PLR
    PLR

    422 abonnés 1 499 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juillet 2019
    Film d’auteur dans la famille art et essai, certainement assez inaccessible à un très large public. Sur le registre drame, en ce sens que le scénario s’égrène sur une longue période historique (l’histoire contemporaine de l’Allemagne avec un H majuscule) allant du Nazisme au Stalinisme. Avec en filigrane un parti-pris, c’est que l’une et l’autre de ces idéologies sont peu ou prou miscibles entre elles et se nourrissent finalement des mêmes choses, du moins dans le domaine de l’art si ce n'est même davantage. Peu d’action, des sauts narratifs avec un mise en scène assez souvent allégorique. Et comme c’est long, l’ennui n’est pas loin malgré la force du propos. On cherche en vain par contre l’aspect thriller. Sans doute parce qu’on connait la trame de l’Histoire. La présente critique vaut pour la partie une et la partie deux, vues à un jour d’intervalle.
    Jean-Pierre Jumez
    Jean-Pierre Jumez

    87 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 août 2019
    Cette œuvre est tellement riche que je ne me sens pas équipée
    pour la commenter !

    En fait, il faut voir ce film deux fois (oui, je sais, cela fait quatre entrées)

    La première pour l'intrigue magistralement menée.

    La seconde pour l'analyse esthétique, qui va beaucoup plus loin. Au-delà du message politique ("Ich, ich, ich"), On comprend que l'art, ce n'est pas vouloir, c'est subir.
    Quatre séances, et pas un grincement de fauteuil !
    dominique P.
    dominique P.

    802 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 juillet 2019
    Voilà après avoir vu hier la partie 1, je viens de voir ce jour la partie 2.
    Je confirme tout ce que j'ai dit dans ma critique sur la partie 1.
    Voilà une histoire vraiment émouvante et bouleversante.
    Serge V
    Serge V

    82 abonnés 446 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 juillet 2019
    une seconde partie plus axée sur la peinture mais qui n ' oublie pas les destins des personnages de la première partie et compte des moments émouvants ! toujours aussi bien interprété avec la présence de nouveaux acteurs , je citerai Oliver Masucci magnifique entre autres ! pour qui aime la peinture ( pas forcément la peinture contemporaine !!! ) , un film passionnant !
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    47 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juillet 2019
    1ère partie vue le 20190717, la 2nde le 20190719, avis le 20190719 - le même que pour la partie 1.

    Bien, intéressant, quelques longueurs, un peu trop simple.

    J étais resté sur une meilleure impression à la fin de la première partie que celle totale que j ai. Il me semble que la première partie se complexifie au fil du film tandis que la seconde se simplifie. A la fin de la première, le film commençait à jouer avec le spectateur en faisant en sorte qu il sache ce que ses personnages ne savent pas. Mais cela n'arrive quasi jamais durant la seconde partie, l écart entre les spectateurs et les personnages reste à peu près le même, le film ne fait qu exploiter son histoire sans la complexifier, sans lui donner plus d ampleur.

    Pourtant, il y a des choses bien dans la seconde partie, la visite guidée de l école qui montre la recherche bouillonnante qui y a lieu. Le cours du professeur qui est en fait quasi un cours de sociologie ou de philosophie.

    Mais la seconde partie est bien plus simpliste. La famille du peintre disparaît totalement mis à part les deux trois souvenirs qui reviennent. La femme du professeur est quasi inexistante, mis à part une scène sur laquelle j espère revenir, la femme du peintre n a aucune personnalité dans la seconde partie. Si elle mourrait au tout début de la seconde partie, cela ne changerait rien à la fin du film.

    Au final, j ai l impression que le message du film se résume à "ce que les nazis ont fait durant la seconde guerre mondiale, ce n est pas bien et à laissé longtemps des séquelles". Même sur l art le film ne me semble pas tenir de discours remarquable. C est intéressant cette idée que les nazis voulaient du réalisme pur et personnifié, les communistes du réalisme social (de mémoire mais je crains de ne pas avoir bien intégré ce que le film dit). Que l école avant garde voulait la liberté créatrice avant tout (seul vous savez si cela a un intérêt). Et que toutes pensaient faire table rase du passé et réinventer quelque chose, que seul ce qui est à la mode est digne d intérêt.

    Je trouve le film trop maladroit trop souvent. Lorsque Kurt s éraflé avec l arbre, le lendemain il n a plus une seule marque lorsqu il cherche un appartement. J avais remarqué durant la première partie une seconde faute grossière de script a mes yeux mais deux jours plus tard, je l ai oubliée. Je dirais que c était 5 minutes après, peut être quelque chose à base d un mouvement qui termine un plan et commence le suivant, sauf qu ils sont incompatibles. Dans la seconde partie, le plan avec la caméra qui parcourt la façade de l immeuble et qui se termine avec la petite fenêtre ouverte avec le bon angle pour voir l intérieur de l atelier trop maladroitement soigné, ostentatoire. Ou encore la première photo projetée sur une toile, il tourne la toile en position portrait et c est superbement cadré. Pareil, lors de la fin du film il écoute le bruit autour de lui, le film manque cruellement de finesse.
    Pour une raison que je ne m explique pas trop, en général je ne remarque pas particulièrement les anachronismes, mais j ai été gêné par cold song de klaus nomi, 1981 dans une scène datée 1961. Peut être que le morceau est trop connu, que sa date de création est trop cernable.

    J ai dit que je souhaitais évoquer la seule scène du second épisode où la belle mère existe un peu dans le film. Lorsqu elle dit à son mari "ça n'a pas marché". Cette scène m a déçu. Sa fille dit dans le premier épisode que sa mère ne l inquiète pas, sous entendant par la il me semble, qu elle est un peu falotte, peut être qu en fait elle voulait dire que sa mère la soutenais à sa façon. Ce qui est compatible avec l arbre et la visite de la chambre qui suit. Il y a en effet tout un ensemble de petites choses qui dressent un portrait de cette mère et qui semble incompatible avec cette remarque qu elle fait à son mari. En effet, cette remarque signifie qu elle est bien plus agissante que ce que le film dit par ailleurs, et/ou qu elle soutient son mari contre sa fille et/ou qu elle est machiavélique, en tout cas, cette scène ne semble pas cadrer avec le reste du film.

    Au final, tout cela dit que bien que le film est très bien, il a de nombreux cotés décevants qui gâchent l impression générale que le film devrait avoir sur la base de son scénario et de ce qu il aurait été possible de faire d un tel scénario avec de tels acteurs.
    Yves G.
    Yves G.

    1 342 abonnés 3 337 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juillet 2019
    "La Vie des autres" avait connu un immense succès, critique et public : Oscar, César, Bafta du meilleur film étranger en 2007. Depuis douze ans, on attendait le prochain succès de son réalisateur, Florian Henckel Von Donnersmarck. Après un détour calamiteux par Hollywood, où il a dirigé Angelina Jolie et Johnny Depp dans The Tourist, un remake évitable d’un film français, le réalisateur allemand est de retour dans son pays.

    "L’Œuvre sans auteur" se présente comme l’histoire d’une vie : celle de Kurt Barnert, un jeune peintre en devenir, qui naît et grandit sous le nazisme, doit se conformer aux règles du réalisme socialiste qui prévaut en RDA dans l’immédiat après-guerre et finit par se réfugier en RFA dans les années soixante. Comme Fassbinder avec "Le Mariage de Maria Braun", Henckel von Donnersmarck retrace l’histoire de l’Allemagne contemporaine en racontant l’histoire d’un homme. C’est la partie la plus convenue du film, celle qui à la fois suscite le plus grand respect et crée le moins de surprises, tant le cinéma allemand – ou du moins celui qui s’exporte hors des frontières – semble s’être fait une spécialité du film historique contemporain à force de raconter l’histoire des petites gens sous le national-socialisme ("Seul dans Berlin", "Elser, un héros ordinaire") ou sous le communisme ("Le Vent de la liberté", "La Révolution silencieuse", "Good Bye Lenin !").

    Mais tel n’est pas le sujet central du film. Il s’agit plutôt de montrer la naissance d’un génie artistique. Le personnage de Kurt Barnert est inspiré du peintre Gehrard Richter, né à Dresde en 1932, installé à Cologne et devenu mondialement célèbre pour ses « photos-peintures » qui interrogent le rapport de l’auteur à son art. C’est autour de ce thème que le film se concentre dans sa seconde moitié. On y voit le jeune peintre, qui vient de se libérer du carcan de l’art officiel communiste en s’exilant à l’ouest, chercher sa voie. Le film prend le temps de l’accompagner dans ses hésitations. Et, comme de bien entendu, on assiste en direct à l’épiphanie créatrice au son de l’entêtant "November" de Max Richter.

    Ce sujet à lui seul, ne suffirait pas à nourrir une fresque de plus de trois heures – qui est sortie d’un seul tenant en Allemagne mais qui, bizarrement, en France, est diffusée en deux volets, obligeant les spectateurs à passer deux fois à la caisse. Pour nourrir la tension, le film leste notre jeune héros d’un lourd trauma familial : sa tante, la jeune Elisabeth, a été stérilisée pendant la guerre par un gynécologue SS sadique qui se révèle être le père de Ellie, la jeune femme dont Kurt tombe amoureux en 1949. Le « méchant », monstrueux à souhait, interprété par Sebastian Koch, qui jouait le rôle du dramaturge placé sur écoute dans "La Vie des autres", est excellent. C’est d’ailleurs, on le sait, l’indice de la qualité d’un film.

    On pourrait, c’est vrai, reprocher à "L’Œuvre sans auteur" son académisme. Mais ne mégotons pas notre plaisir : depuis quand n’avait-on pas passé trois heures au cinéma sans regarder sa montre ?
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