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    Blanche-Neige et les sept nains
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    282 critiques spectateurs

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    selenie
    selenie

    5 636 abonnés 6 062 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 septembre 2019
    Premier long métrage d'animation Disney récompensé par un Oscar d'honneur, ou plutôt par 8 Oscars, une grande et sept petites avec la mention spéciale "Innovation indiscutable dans le domaine de la cinématographie ayant charmé des millions de spectateurs et ayant ouvert au cinéma de vastes perspectives."... En effet, le succès sera phénoménal et le film marque une étape décisive dans l'innovation et l'évolution technique de l'animation. Certains pourront s'offusquer de personnages trop caricaturaux, mais n'est-ce pas l'apanage d'un conte de fée ?! Mais il est vrai qu'à y regarder de plus près ce n'est pas Blanche-Neige qui est le personnage le plus intéressant. Un film à voir et à revoir.
    Site : Selenie
    kroston
    kroston

    4 abonnés 291 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 juillet 2019
    Une animation de qualité mais un film d' une niaiserie extrème qui s' avère
    difficile à regarder jusqu'au bout .
    ennuyant .
    Alexis D.
    Alexis D.

    97 abonnés 873 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 juillet 2019
    "Blanche-Neige et les Sept Nains", premier long-métrage des studios Disney, sorti en 1937, a marqué tant l’histoire du cinéma que l’imaginaire collectif : les nains, la sorcière, la gentille héroïne et les chansons inoubliables sont autant d’éléments indélébiles de la culture occidentale du XXe siècle. Pourtant, si chacun se souvient avoir vu ce film, il ne fait pas, en général, partie des "grands classiques" qu’on voit et revoit. Le film est en effet profondément marqué par son époque, les années 1930, aux standards cinématographiques et sociétaux très éloignés de ceux du spectateur contemporain. Oui, "Blanche-Neige" est neuneu. "Blanche-Neige" est ennuyeux. Blanche-Neige elle-même est une oie blanche, une héroïne passive, dénuée de personnalité, qui se contente d’attendre que son prince vienne la chercher. Mais alors, pourquoi une telle emprise? Est-ce uniquement à cause de son statut d’icône, premier long-métrage d’animation à la fois sonore et en couleurs ? Ne doit-on voir dans la persistance du film qu’un succès de la machine Disney ? Mais surtout, près de 80 ans après sa sortie, peut-on regarder ce film et y trouver un intérêt quelconque sans être historien du cinéma ? Si votre nain domestique insiste pour que vous le regardiez avec lui, risquez-vous de corrompre un jeune esprit, périrez-vous d’ennui ? Comme beaucoup d’autres contes issus de la tradition populaire européenne, "Blanche-Neige" a été fixé dans sa forme actuelle par les frères Grimm en 1812. Ses origines sont variées et anciennes, certains y trouvant même des traces du mythe de Perséphone. Au début des années 1930, Walt Disney, qui a trouvé le succès grâce à ses courts-métrages animés, souhaite dépasser ce format et produire un long métrage. Son choix se porte sur "Blanche-Neige et les sept nains", une histoire suffisamment universelle pour garantir l’intérêt du public; Walt Disney a par ailleurs été très marqué par une adaptation cinématographique du conte qu’il a vu enfant. Quatre ans de pré-production, trois ans de production et un budget explosé conduiront au succès triomphal du film. Ce succès n’était en rien assuré, Walt Disney avait joué l’avenir de son studio sur un pari risqué auquel peu de gens croyaient : réussir à intéresser le public à un dessin animé de plus de 8 minutes. Conscient de la difficulté, les producteurs travaillent et polissent le script avec un soin méticuleux. Des artistes européens sont appelés à l’aide pour donner au film l’atmosphère des folklores dont le conte est issu. Un travail colossal est entrepris pour parvenir à la première animation un tant soit peu réaliste d’un être humain. L’introduction conduit littéralement le spectateur dans le conte de fées en l’entraînant dans les images d’un livre, sur l’air de "Un jour mon prince viendra", donnant ainsi le ton du film. La première séquence animée met en scène la Reine, jalouse de la beauté de Blanche-Neige, préméditant froidement le meurtre de la jeune fille. On a vu plus niais. Le contraste est absolu avec le premier aperçu de l’héroïne, toute occupée à chanter une chanson mièvre, bientôt rejointe par un prince qui s’empresse de lui faire une déclaration d’amour. C’est mièvre, mais c’est la grammaire propre aux contes de fées : la relation amoureuse n’est pas une représentation réaliste des rapports humains mais le symbole d’une étape à franchir vers la maturité affective. Fort heureusement, les décors sublimes et une mise en scène bien pensée rendent le tout très regardable. Le film prend rapidement une tournure très sombre quand le chasseur s’approche menaçant avec son couteau, forçant l’héroïne à s’enfuir dans une forêt cauchemardesque. La forêt, monde mystérieux où le règne de l’homme le cède à celui de la nature, présente une nature ambivalente : elle peut être un refuge contre la société (coucou "Robin des Bois", ou au contraire le lieu de toutes les terreurs. L’inanimé s’anime, la princesse perd son humanité et devient un animal traqué. Musique, mise en scène, utilisation de couleurs abstraites restituent l’angoisse étouffante de la séquence. C'est une séquence assez effrayante (avec ces branches qui tentent de toucher Blanche-Neige). Après cette épreuve, qui symbolise dans la lecture psychanalytique de l’œuvre le traumatisme de la fin de l’enfance et l’entrée dans l’adolescence, la forêt devient Eden, un lieu accueillant et protecteur, peuplé de gentils animaux. Ces gentils animaux, peut-être un peu trop présents pour le spectateur adulte, servent une triple fonction. Tout d’abord, le lien qui se crée entre eux et l’héroïne souligne son innocence et sa pureté. Ils permettent également aux dessinateurs de moins montrer la fichue princesse qu’ils ont tant de mal à animer. Enfin, spectateurs de l’action, ils y réagissent et, tel le chœur des tragédies grecques, amplifient l’implication du spectateur dans la scène. Ce procédé consistant à montrer la réaction des personnages à l’action plutôt que l’action elle-même est d’ailleurs une constante dans tout le film. Arrive ensuite une autre scène mythique, le ménage de la maison des nains avec l’aide des animaux, porté par l’air entraînant de "Siffler en travaillant", bientôt suivie du cultissime "Heigh Ho" des nains. Dès le début de la production, une importance considérable leur a été accordée. Les nains permettent de faire des gags et doivent apporter humour et chaleur humaine au film par leur comique et leurs personnalités attachantes. Résultat, les nains occupent l’écran dans une suite de séquences sans fin. Heureusement que la scène de la dégustation de soupe a été abandonnée avant le montage final. "Le Voyage Inattendu" de Peter Jackson n’a hélas rien inventé en termes de trop longs moments de nains s’occupant dans une maisonnette. Si l’on accepte de se laisser emporter par la pantomime et un humour naïf, on peut quand même sourire un peu. Sur sept personnage, deux-et-demi ont une véritable personnalité : un demi-point pour Prof; Grincheux apporte du dynamisme à l’ensemble; Simplet est désarmant avec son comportement mimé sur celui d’un gentil petit chien. Concernant les animaux, j'ai bien aimé la tortue qui est très drôle en essayant toujours d’aider mais en ayant toujours un train de retard, comme la scène où elle met beaucoup de temps à monter l’escalier pour finalement le redescendre. Mon nain préféré reste Simplet, incontestablement le nain le plus drôle. Les nains ont le mérite de souligner la noirceur de la reine-sorcière par le contraste entre leurs séquences respectives. La transformation de la reine, dans une mise en scène tourbillonnante au milieu d’un décor gothique très soigné, n’en est que plus terrifiante. De même, le poison, la pomme, le départ en barque de la sorcière, portés par une imagerie très sombre et des jeux sur les couleurs, sont autant de séquences marquantes et qui m'auront marqué dans ma tendre enfance. Devenue une vieille femme fragile, transplantée dans le décor rassurant de la maison des nains, la sorcière perd un peu de son aspect terrifiant dans la forêt. La menace qu’elle représente est toutefois constamment soulignée. Visuellement, l’élément noir tranche sur un ensemble de pastels. Sa rouerie s’inscrit sur son visage déformé et se traduit dans le piège qu’elle tend à Blanche-Neige, ne laissant aucun doute au spectateur sur ses intentions. La tension monte, alors que les gentils animaux rameutent les nains, jusqu’à l’ellipse sur la main de la jeune fille qui s’affaisse, inanimée. La course-poursuite avec les nains s’achève avec la chute fatale de la sorcière mais le véritable climax est atteint quand Blanche-Neige mord dans la pomme; cette tentative tardive pour donner un aspect héroïque aux nains, éléments de légèreté et de comédie dans le reste du film, tombe relativement à plat. S’ensuit une scène de veillée funèbre particulièrement émouvante dans sa justesse, extrêmement triste, avant un dénouement rapidement expédié. Concernant le personnage de Blanche-Neige, femme-enfant des années 1930, au maniérisme exacerbé, représentation d’une vision de la femme qu’on aimerait dépasser, Blanche-Neige n’est pas une héroïne moderne. Elle est en revanche assez conforme à ce que l’on peut attendre d’une héroïne de conte de fées : un personnage auquel l’enfant est invité à s’identifier, dénué de traits de personnalité distinctifs; l’évolution du héros à travers une série d’étapes symboliques doit permettre au jeune lecteur/spectateur de résoudre ses propres confits intérieurs. La disneyisation du conte entraîne la perte de certains éléments et en transforme d’autres. Néanmoins, elle conserve la structure fondamentale de l’histoire, construite autour du conflit œdipien entre la reine et Blanche-Neige, ainsi que les étapes que celle-ci doit franchir avant d’atteindre la maturité de l’adulte. Après avoir traversé l’épreuve de la forêt puis s’être appuyée sur l’aide des animaux, l’héroïne prend l’initiative de ses actions. Certes, il ne s’agit que de régenter la maisonnée des nains, mais elle se pose alors en personnage maternel, auquel les nains obéissent sans discuter. Liés aux forces mystiques de la nature, les nains, êtres masculins mais dénués de sexualité, facilitent la rupture d’avec le bonheur paisible de l’enfance. Toutefois, incapables de protéger la jeune fille, ils ne peuvent être qu’une étape dans le cheminement de l’héroïne. Quand Blanche-Neige cède à la tentation de la pomme, symbole éminent de sexualité (coucou "Adam et Eve", il est encore trop tôt : elle sombre dans le coma. Cette période d’attente est nécessaire avant de pouvoir s’éveiller enfin à la vie d’adulte. Ainsi, le film conserve le message inconscient qui a ancré le conte dans les traditions populaires. La force du message est appuyée par les enjeux très importants de l’histoire. La cruauté de la reine est soulignée à plusieurs reprises, en particulier quand elle se moque du squelette d’un malheureux qu’elle a laissé mourir de soif dans un cachot. Le danger qu’elle représente est très réel. L’aspect grotesque du personnage transformé en sorcière repoussante, ses yeux exorbités, son rire caquetant, son hurlement de triomphe en font un personnage inoubliable. A sa sortie, le film fut interdit aux moins de 12 ans au Royaume-Uni (une décision que peuvent probablement comprendre les générations de parents réveillés par les cauchemars de leur progéniture, même si une telle limite d’âge fait sourire aujourd’hui). La musique, omniprésente dans le film, complémente parfaitement les images. Toutes les séquences ont été synchronisées pour parvenir à une la meilleure concordance possible entre image et son; ceci est particulièrement vrai lors des gags des nains. "Un jour mon prince viendra", valse romantique à souhait, et la marche archi-entraînante "Heigh-Ho" sont des classiques intemporels, repris sous toutes les formes possibles et imaginables depuis leur création. Toutefois, l’histoire, malgré une forme très marquée par son époque (Blanche-Neige, cette brave petite, n’oublie pas de faire sa prière avant d’aller dormir), n’a rien perdu de sa force. Les messages inconscients contenus dans le film parlent à tout un chacun et contribuent à sa persistance. Les décors, en particulier l’intérieur de la maison des nains, l’extérieur du château et le donjon de la sorcière sont somptueux. Si on s’intéresse un tant soit peu à l’histoire de l’animation et du cinéma en général, la question ne se pose même pas : c'est un classique incontournable et inter-générationnel qui a marqué le cinéma, son histoire, ses codes... Si on a envie de se laisser emporter dans un univers onirique et charmant, pour peu que l’on renonce un moment au cynisme et que l’on accepte de retrouver les émotions plus simples de l’enfance, on regarde. Pour ma part j’ai aimé, j’aime et j’aimerais toujours autant "Blanche-Neige et les sept nains" déjà parce que c'est l'un des films qui aura profondément marqué mon enfance (que j'ai regardé en boucle de 4 à 6 ans), et qu’il y a beaucoup plus de bon à en dire qu’on ne voudrait le laisser entendre. Cela dit si il a des inconvénients, que ça soit dû à la mentalité de l’époque ou en tant que film, mais parlons-en justement avec d’abord les personnages. Blanche-Neige est, à elle seule, l’archétype de la princesse tel qu’on la représente actuellement. Elle parle aux animaux, chante et est ridiculement jolie et pâle, gentille et c’est à peu près tout ce qu’il y a à retenir autour de cette princesse. Alors d’un côté, je comprends très bien que comparé aux dernières héroïnes Disney comme Esméralda, Mulan, Tiana, Raiponce ou encore Belle, elle est extrêmement faible en tant que personnage et semble plus réduite à faire le ménage et la cuisine qu’autre chose. Toutefois, elle n’est pas désagréable pour autant, et cela est justement renforcé par l’arrivée de nos 7 personnages qui sont, en quelque sorte, à la fois les faire-valoirs mais aussi les stars du film, nos très chers nains : Prof, Timide, Atchoum, Dormeur, Joyeux, Simplet et Grincheux (mes deux préférés, surtout avec les réactions qu’ils ont). Principalement, ce sont eux qui servent l’humour du film et les personnages sont très stéréotypés dans le sens ou les noms correspondent au caractère du personnage, mais comme le film raconte son histoire comme un conte tout en étant fidèle, ce n’est pas du tout un mal au contraire. Et puis, je peux pas m’empêcher de sourire ou de rire à chaque fois qu’ils ont des réactions exagérées ou disproportionnées comme lors de spoiler: leur traque au monstre quand ils voient leur maison allumée, leur toilettage avant le repas, leur tyrolienne
    , bref là c’est ma nostalgie et le fan qui parlent. De plus, chacune de leur caractérisation fait très enfantine et je crois que c’est volontaire, on les voit avoir du mal pour certains avec une femme qu’ils rencontrent pour la première fois tandis que Grincheux fait le fier en pestant contre elle mais tous l’acceptent sous leur toit pour sa gentillesse et sa beauté, c’est très classique d’un côté et il faut aimer le film pour cela. Par contre, si la romance entre le prince de Blanche-Neige (qui n'a même pas de nom) et Blanche-Neige est totalement inintéressante, vide et superficielle, il est intéressant de voir que la romance fonctionne si on laisse l’émotion du film nous emporter et son aspect de conte prendre un impact sur nous, car les principales qualités du film ont un avantage qui font que "Blanche-Neige et les sept nains" arrive à plaire malgré tous ces soucis : l’aspect "conte de fées" est assumé car il ne cherche pas à nous faire réfléchir à toute ces questions mais à faire réagir nos émotions devant les événements et le déroulement de l’histoire. Au final on s’en fiche que Blanche-Neige soit peu développée, car on l’a rendu la plus douce et gentille possible pour qu’on veuille la voir heureuse, on s’en fiche que les nains soit stéréotypés avec leur caractère, ils sont drôles, tous sympathiques et mémorables à leur manière car les animateurs et scénaristes y sont allés à fond dans leur exploitation à travers la simplicité de leur personnalité. Et on s’en fiche aussi que la reine ait une motivation qui est simplement reprise du conte car là aussi on y va à fond dans ce qu’elle est. Disney démontre, également, son incroyable talent pour créer quand il s’agit de créer des personnages marquants au look inoubliable. Blanche-Neige est, ainsi, immédiatement caractérisée par sa robe si particulière et étonne par son absence totale de cynisme. La méchante Reine épate par sa dureté et son jusqu’au-boutisme, notamment lors de son effrayante transformation en vieille sorcière (qui m'aura terrorisé durant ma plus tendre enfance). Quant aux sept nains, on ne saluera jamais assez l’idée de génie de Disney de les affubler d’un trait de caractère en rapport avec leur nom et d’une tenue différente permettant de les identifier facilement. Cette idée permet de densifier les personnages, de les rendre attachants et, accessoirement, de jouer avec à l’occasion de gags visuels diablement efficaces. J’ai, pour ma part, toujours eu une préférence pour l’hilarant Simplet (qui fait écho aux grandes heures du cinéma muet) et le ronchon Grincheux. Grâce à eux, le film n’est pas seulement beau, il est également drôle et plein d’énergie. Plus important encore, le film n’a pas peur d’effrayer le jeune public avec des scènes assez frontales (la fuite dans la forêt, la tentative d’assassinat par le chasseur, la première apparition de la sorcière), à l’image des contes d’antan même si Disney a l’intelligence de ne jamais faire durer ces scènes ou de les compléter par une séquence plus rassurante. Une mise en scène impressionnante, une belle histoire, des personnages formidables et des chansons gravées à vie… Comment ne pas aimer "Blanche-Neige et les sept nains", dont le seul défaut est, sans doute, son ancienneté et, de ce fait, une image qui peut paraître surannée à l’heure de l’animation en 3D ainsi qu’une histoire qui pourra sembler trop primaire à certains (la princesse qui attend son prince charmant et finira par partir avec lui sur son cheval blanc vers son château pour vivre heureux et avoir beaucoup d’enfants, pas assez cynique pour un public actuel). En plus ce film transporte, à mon sens, une réelle joie et une certaine légèreté, qui ne fait que s'amplifier, surtout grâce aux musiques et autres chansonnettes. Le moment fort du film est aussi la petite fête, la petite soirée que les nains et Blanche-Neige organisent, et qui est un pur moment de bonheur et d'allégresse. Ce film a aussi une scène profondément triste qui est celle de spoiler: la veillée mortuaire de Blanche-Neige à la fin du film
    . Le fait que cette scène soit aussi dure et triste nous fait plus apprécier le final heureux où Blanche-Neige se réveille. C'est un film qui est rempli d'émotion. La logique et la cohérence y jouent un faible rôle. En effet ce film nous donne ce que nos émotions veulent voir. Par exemple à la fin du film, elles veulent nous faire voir la plus joyeuse et positive des fins, après le plus sombre et le plus triste des moments. C'est un film très réussi de par sa simplicité émotionnelle. C'est un film magique, féérique, enchanteur et cultissime. C'est un film qui nous émerveille, nous enchante, nous met du baume au cœur et qui nous fait retomber en enfance, qui nous fait redevenir enfants lors du visionnage. C'est un film pour lequel j'ai une profonde nostalgie, qui a marqué ma jeunesse, mon enfance, et même ma vie. "Blanche-Neige et les sept nains" fait maintenant partie de la culture : il se transmet de génération en génération et reste un chef d’œuvre pour les époques et pour les enfants. A voir impérativement
    m-claudine1
    m-claudine1

    4 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 juillet 2019
    Chef d'oeuvre intemporel du cinéma d'animation. Il y a eu pourtant bien d'autres adaptations du conte de Grimm mais aucune n'a atteint cette perfection.
    1er long métrage de Walt Disney et aussi le plus abouti, il suffit de regarder la grâce des personnages et de leurs mouvements. Au fil des années et alors même que les techniques s'amélioraient, on a paradoxalement perdu cette fluidité.
    Déjà dansLa belle au bois dormant, le personnage était plus rigide, ses expressions moins nombreuses et réalistes.
    Si l'on regarde en détail les images, on est aussi surpris par la précision des détails, la multitude des petits animaux, les trouvailles incessantes. Tout ceci s'est également appauvri au fil des années.
    Si l'on rajoute à cela les belles chansons qui restent dans la tête et des moments bouleversants.....des années après cela n'a pas pris une ride et on peut aujourd'hui avec bonheur le faire découvrir aux nouvelles générations.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 juin 2019
    C’est un beau Disney et une belle animation de 1937, la magie de cette histoire est intemporelle, à traverser jusqu’à nous pour faire parvenir ce conte de fée fraternel germanique. Mes petites princesses et une duchesse que j’ai vu pour le moment, c’est celle que je préfère le plus, une similitude presque avec ce prince chevalier charmeur posant ses lèvres antidotes contre le maléfice de la méchante sorcière. Une pomme empoisonnée comme le fruit défendu par Abraham que Dieu l’en à informer pour écrire sa bible judéo-chrétienne, qu’au verger florissant cueilli du jardin d’Eden, avertissant le premier homme et sa femme, la première à le croquer finira par céder à la tentation vicieusement, sous l’influence de l’animal impur serpentaire manipulateur des livres saints. Ainsi soit la Reine des ombres ensorcelées devenue belle-mère d’une orpheline qu’est la douce jeune femme, Blanche est comme la neige et aussi pure que le cristal couvrant sa beauté destin funeste endormissement. Une nouvelle épouse comploteuse ravivant cette place chère dans le cœur de son père veuf énuméré, la diablesse réincarnée se trouvant des attributs affiliant à l’orgueil humain, jusqu’à l’obsession tel est ce miroir mon beau miroir, qui c’est la plus belle ? Le serviteur de l’ombre reflet ne peut que se soumettre à sa maîtresse possessive de l’objet magique ténébreux, mais se mettra une rivale à son égo attirant jalousie terriblement éternelle. Ces sept petits hommes ajoutent du burlesque au grotesque qui ravivera de souvenirs inoubliables, des rigolos prolétaires durs labeurs adoucis par l’humanisante grande princesse « Blancheur-Des-Neiges » pleine de tendresse sonore mélodieuse.
    Bryan V.
    Bryan V.

    66 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 mars 2019
    Avis bref :
    Blanche-neige et les 7 nains, le premier long métrage d’animation Disney. Tout le monde connaît évidement cette célèbre histoire qui d’ailleurs a déjà était mainte et mainte fois reprise. Une version de cette histoire maintenant culte tout comme ce long-métrage et ses personnages. Histoire, très romancière et surtout culcul, grande histoire d’amour et de contes pour petite princesse. Les personnages eux sont géniaux que cela soit les animaux muets qui accompagnent notre héroïne ou bien ces nains toujours propre à soit (Prof, Grincheux, Dormeur, Atchoum, Timide, Joyeux et Simplet.) Simplet est vraiment mon petit préféré, de plus toute l’humour du film (même si à petit dose) s’en dégage tout grâce son personnage. Les chansons sont également pour l’ensemble top et souvent entraînante, on adore et n’oublie pas (Je cite uniquement celle que j’adore) : Heigh-oh, Sifflez en travaillant et la Tyrolienne des nains. C’est évidemment rêveur pour le petite fille avec un soupçon de magie et surtout d’amour. Disney se révèle tout de suite à la fois cruelle, mais surtout très fleur bleue avec cette première histoire.
    Enfin bref, premier Disney d’une longue lignée d’animation.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 septembre 2018
    Premier Chef-d'oeuvre des Studios Disney, Blanche Neige et les Sept Nains est un film incontournable pour tous les passionnés du cinéma. Il est souvent dit qu'il s'agit du premier long métrage dans l'histoire de l'animation, ce qui est faux, car d'autres films avant lui ont vu le jour dans d'autres pays. Toutefois, la Blanche Neige de Walt Disney est la seule production animée des années 1930 à avoir su traverser les temps et à avoir su garder sa popularité. D'ailleurs, elle n'a pas beaucoup vieilli, au contraire, l'oeuvre possède aujourd'hui une aura unique de celle qu'avaient les films d'autrefois.
    Tout le monde devrait avoir vu ce monument du cinéma au moins une fois dans sa vie.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 mai 2018
    Blanche neige est un chef d'oeuvre , graphiquement , cette délicatesse nous fascine , musicalement , un véritable fouet musical , scénaristiquement un peu naïve mais comment ne pas succomber à cette histoire pas du tout ennuyeuse , les personnages sont excellents . Ce chef d'oeuvre est indispensable , vous le voyez comme ça naïve et simple mais personne en succombera ! Parfait !
    Greg A.
    Greg A.

    43 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 avril 2019
    Tout premier film des studios Disney , Blanche neige est un classique a voir certes mais qui reste plutot moyen .. trop de chansons et de clichés rendent le film parfois lassant et des graphismes qui ont plutôt vieilli même si ça reste remarquable pour l'époque .. Ma note : 5.5/10
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 janvier 2018
    Un chef d'oeuvre incroyable et sublime à voir absolument des studios Disney avec des chansons mythiques, des personnages attachants, une animation magnifique et une histoire originale. L’un des plus beaux films d'animation de tous les temps.
    moket
    moket

    465 abonnés 4 231 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 décembre 2017
    Un grand classique qui a aujourd'hui ce charme un peu vieillot. L'animation est somptueuse, le film est tour à tour léger et sombre. Seul le prince, réduit au rôle de potiche, est un peu décevant. Pour le reste, la magie est intacte.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 novembre 2017
    Un chef d'oeuvre à voir absolument des studios Disney avec des chansons mythiques, des personnages attachants, une animation magnifique et une histoire originale. L’un des plus beaux films d'animation de tous les temps.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 novembre 2017
    Un classique qu'il faut avoir vu. Le seul défaut que j'ai pu trouver est le prince charmant (trop efféminé)
    Eli P
    Eli P

    13 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 octobre 2017
    Je n'avais pas vu ce film depuis de nombreuses années et je dois avouer avoir été très déçu. Blanche Neige et sa romance avec son prince anonyme sont les plus gros points faibles de ce classique Disney qui a, selon moi, très mal vieilli et ne mérite donc pas vraiment son titre de "classique". Naïve au possible, exagérément sotte, Blanche Neige m'a très vite passablement lassé, le coup de grâce étant porté par sa romance avec le prince dont j'ai déjà oublié le nom (en a-t-il seulement un ?). Ce dernier est absent durant tout le film, en faisant un personnage creux, vidé de toutes substances, servant simplement à embrasser la princesse à la fin du film, à peine quelques secondes après leur première rencontre ! (LOL...) C'est un film pour enfant me direz vous, mais La Belle au Bois Dormant, La petite Sirène, ou encore Raiponce le sont aussi et n'en oublient pas pour autant de développer chaque personnage. Heureusement, la Reine et les 7 Nains sont à la hauteur et empêche ce film de virer à la catastrophe totale. Interdit aux plus de 10 ans.
    Cronenberg
    Cronenberg

    225 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mars 2018
    un magnifique conte adapté et réadapté à l'écran mais cette fois c'est la première et c'est la meilleure. Un conte assez bien réussi. Je le déconseille aux moins de 3 ans. 3/5
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