Avis sur Edge of the World

Fait historique dont le sujet est évidemment intéressant, sauf que… la réalisation souffre d'un montage déplorable rendant le film très pénible à suivre. La notion de temps et la chronologie sont très mal rendues, les raccourcis trop nombreux impactent l’enchainement des faits et la complexité de la situation, au point que parfois on a l’impression d'avoir louper un passage et c'est dommage car l'interprétation et le casting n'appellent pas de critiques particulières. Bref, cet épisode de l’histoire de l’empire britannique méritait un bien meilleur traitement que ce film très inégal et maladroitement réalisé.

Plus qu'un film d'aventures, un parcours initiatique. Celui d'un homme devenu sultan, qui choisit une terre, une culture, totalement différentes de l'origine de la sienne. Des Images magnifique, un dépaysement réel entre mer et Végétation, mais le film a du mal a évoluer dans sa narration, malgré un Jonathan Rhys-Meyers investi, transcendé par son personnage. Le film est tiré d'une histoire vraie, rendant tout de même le propos intéressant factuellement. Surprenant, même...

Petit budget, plans serrés pour masquer le vide, l'ennui vous gagne, pas une franche réussite, 2 étoiles !

L'histoire vraie, mais romancée de James Brooke, qui fut le premier Rajah blanc du Sarawak. Michael Haussman, qui n'avait plus réalisé de film depuis près de vingt ans, raconte l'histoire de cet homme arrivé avec son cousin et son neveu qui s'est peu à peu fait une place auprès des locaux. La confrontation avec Mahkota, qui n'en est pas vraiment une dans un premier temps, ajoute de la tension au récit. On a l'impression que cela peut péter à tout moment. Mahkota est un peu un obsédé des décapitations. Il prend la tête des gens, au sens littéral du terme, que ce soit pour tuer ou pour recevoir une offrande. Pour moi, le récit perd en intérêt quand spoiler: Brooke monte en grade et que Mahkota est relégué au second plan
. On ne sait pas trop ce qu'il veut faire à la tête de sa communauté et les enjeux sont affaiblis notamment par une romance pas très intéressante. Dans les grandes lignes, c'est un film intéressant, mais Rob Allyn, le scénariste, a peut-être voulu couvrir une trop grande partie de l'histoire de cet homme qui a régné pendant trente ans. À la fin du film, on n’a pas l'impression d'en savoir beaucoup plus qu'au début alors qu'il y avait beaucoup d'histoires intéressantes à raconter que ce soit sur Brooke, sur ces gens, leurs coutumes, leur façon de vivre, etc.

Le destin fascinant de l'aventurier anglais James Brooke, devenu Raja d'une province malaise, avait déjà inspiré le roman de Joseph Conrad Lord Jim, dont fut tiré un film superbe avec Peter O'Toole. Le moins qu'on puisse dire, c'est que Edge of the world, malgré la présence de Jonhatan Rhys Meyers, n'est pas à la hauteur de ce chef d'oeuvre, ni de L'homme qui voulait être roi, sur le même thème. Ce film manque avant tout d'ampleur. Peut-être par manque de moyens. Les scènes de combat sont confuses et parfois incompréhensibles, y compris l'attaque des hommes serpents avec leur magnifiques pirogues en forme de reptiles, qui aurait pu donner lieu à des séquences spectaculaires. On aurait aimé voir le puissant vapeur de la marine anglaise, le retour de Brooke en Angleterre, où il était devenu une star. Bref, un film vraiment étriqué pour un tel sujet. Ca se laisse voir, mais on n'est pas envoûté par l'atmosphère magique de l'Asie comme dans Lord Jim.

Intéressant film retraçant le destin extraordinaire d un homme devenu roi en Asie. Néanmoins si le début du film laisse présager une immersion dans cette jungle et l insertion dans cet univers on se perd progressivement dans cette histoire. Cela devient confus, en tout état de cause peut-être par faute de moyens cela devient assez fade, dont les scènes de combat... bon enfin un film intéressant mais ne donnant pas une grande impression de saga extraordinaire... dommage

Milieu du XIXeme siècle, Bornéo vu par un explorateur anglais et promu à un destin incroyable. Le sujet laissait augurer des aventures hautes en couleurs et en émotions. Mais cette production sonne faux, manque terriblement de grandeur et de crédibilité. Mise en scène pauvre, raccourcis perturbant la chronologie, interprétation caricaturale, doublure catastrophique... une reconstitution en forme de mascarade!

Edge of the world se veut d’être un grand film d'aventure historique ou l'on retrouve l'acteur principal Jonathan Rhys-Meyers que l'on a découvert dans l'excellente série Vikings sur Netflix. Des voyageurs explorateurs anglais découvrent une île proche des philippines qui promet une belle aventure et de belles rencontres avec l’autochtone. Le ton se veut sérieux, mystérieux mais malheureusement le film est mal réalisé, trop de raccourcis de l'histoire le font presque passer pour un téléfilm. Il manque de profondeur pour être considéré comme un film d'aventure sérieux, les lances et autres costumes semblent arrivés des accessoires de la production, même les acteurs manquent de crédibilités parfois. Une aventure ratée qui n’intéresse finalement pas.

Réal cheap, scènes clichées, plutôt bien joué mais très mal doublé.. même si la représentation de l'époque est bonne l'ensemble est soporifique à la longue

Encore une histoire vraie qui tire sur" l'homme qui voulut être roi," mais par moments , je me suis retrouvé dans les mêmes images que Copolla pour Apocalypse Now sans la qualité de la photo et du jeu de l'époque ainsi que la narration de Sheen.
On a déjà vu Meyer sur un meilleur jour, ainsi que Dominic Monoghan
On a l'impression d'une pale copie qui ne sait pas quoi choisir , avec des personnages à mon avis caricaturaux surtout pour les autochtones? Dommage on pouvait bien mieux faire

Un film juste avec de belles images le reste est une pure catastrophe le film à éviter c'est mal joué le film est un assemblage de scènes où l'on s'ennuie du début jusqu'à la fin des films

Intrigué par le pitch de ce film d'aventures, j'ai découvert un film au scénario souvent confus et jalonné de scènes sanglantes et répétitives à tel point que je ne suis pas allé au bout.