Mon compte
    Babysitter
    Note moyenne
    2,7
    523 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Babysitter ?

    62 critiques spectateurs

    5
    6 critiques
    4
    5 critiques
    3
    17 critiques
    2
    16 critiques
    1
    13 critiques
    0
    5 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    circusstar
    circusstar

    113 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 mai 2022
    Ce n'est pas un film c'est un supplice. Décalé, farfelu, parfois limite. Un phrasé rapide. Ça ne commence pas trop mal et puis ça devient rapidement insupportable et inepte. Un film qui a sûrement son public mais dont je fais, manifestement pas partie.
    PLR
    PLR

    407 abonnés 1 476 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 avril 2022
    Un film québécois avec le français et l'intonation de là-bas, sous-titré en français d’ici au début du fait de l’élocution (trop) rapide et de quelques expressions du cru, ça attire toujours l’attention du cinéphile. Car c’est un cinéma qui a souvent produit des pépites (au-delà de l’éternel et inénarrable Xavier Dolan très grand public). Mais cette fois-ci, déception. Quand je critique sévèrement avec une note basse en rapport, je me demande toujours si c’est seulement moi qui n’ai pas aimé. Mais en sortant, j’ai entendu un spectateur glisser à sa compagne : « nul ». Comme moi, il n’a pas aimé cette longue scène de début où la caméra collée aux visages tourbillonne dans tous les sens à en donner le tournis au spectateur. Un effet de style dont on se demande quelle est la finalité. Pour ce qui est du fond du scénario, on s’attend à quelque chose d’humoristique, d’ironique ou de caustique, ceci n’empêchant pas la réflexion, sur les travers des mâles misogynes (pléonasme). Un sujet abordé sur un ton badin et quelque peu loufoque mais sans fond. Ennuyeux.
    traversay1
    traversay1

    3 097 abonnés 4 624 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mars 2022
    Après La femme de mon frère, Monia Chokri passe à la vitesse supérieure avec Babysitter. Le film commence comme une chronique post #MeToo, avec un héros misogyne sans le savoir, avant d'aborder un spectre plus large, mais toujours très actuel et surtout puissamment cinématographique. Le film est à la fois stylisé à mort et très culotté, comme l'est souvent le cinéma québécois, autour du désir et de la domination, entre les deux sexes. Le rythme de Babysitter est ébouriffant et déstabilisant, la réalisatrice ayant par ailleurs décidé d'emprunter les codes de l'horreur et de l'érotisme, inspiré notamment par le cultissime Les lèvres rouges de Harry Kümel. Il s'agit bien d'une comédie, que l'on ne s'y trompe pas, assez souvent irrésistible, mais dont la mise en scène chiadée et colorée ne cesse de surprendre. Sur le plan thématique, Monia Chokri préfère manifestement les questions aux réponses toutes faites et il ne faut pas compter sur elle pour délivrer un message sans ambigüité, à l'instar de la pièce de théâtre que le film adapte, avec de nombreux ajouts au texte initial. Côté interprétation, comme presque toujours dans le cinéma de la Belle province, c'est du nanan, avec des acteurs qui n'ont pas peur du ridicule. Un bémol quand même ? Oui, peut-être les dialogues en mode mitraillette pour lesquels, malgré les sous-titres, il y a nécessairement un peu de déperdition.
    Yves G.
    Yves G.

    1 283 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 mai 2022
    Jeune père de famille, Cédric (Patrick Hivon), la quarantaine, est mis à pied par son employeur pour un geste déplacé qu’il a eu à la sortie d’un match de MMA en compagnie de ses camarades sévèrement alcoolisés, immortalisé par les réseaux sociaux. Son frère Jean-Michel (Steve Laplante), éditorialiste bien-pensant d’un journal à grand tirage, lui recommande de s’en excuser publiquement. Cédric s’attelle à la rédaction d’une lettre, qui deviendra bientôt un livre.
    Sa femme (Mona Chokri), en pleine dépression post partum reprend le travail avant le terme de son congé maternité. Cédric, incapable de s’occuper seul de son bébé, recrute alors une babysitter (Nadia Tereszkiewicz).

    Monia Chokri, réalisatrice tuniso-québecoise, s’était fait connaître par son premier film, "La Femme de mon frère", une comédie célibattante dont elle tenait déjà le premier rôle. J’avais trouvé bien des qualités à ce film ; je lui avais trouvé aussi un défaut : entretenir une constante hystérie, souvent hilarante, mais à la longue épuisante.

    C’est exactement ce même défaut que j’adresserai à ce "Babysitter", bien mal nommé, car le personnage de la babysitter y tient un rôle somme toute secondaire. Chaque scène y est construite, filmée, cadrée avec un excès de sophistication qui en rend l’enchaînement éreintant.
    L’autre problème est que ce formalisme particulièrement élaboré n’est au service de rien ou de pas grand chose. Après la première demi-heure, le scénario fait du surplace. On passe la dernière heure du film à s’ennuyer devant une histoire qui n’avance pas et dont le sujet même – le féminisme post #MeToo – nous interdit de nous réjouir publiquement d’une de ses rares qualités : les appâts gironds de Nadia Tereszkiewicz.
    Audrey L
    Audrey L

    550 abonnés 2 424 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2022
    Adaptation de la pièce de Catherine Léger et deuxième réalisation de Monia Chokri après La Femme de mon frère, la comédie Babysitter s'offre le visuel digne d'un bon Dolan (elle a repris sa chef déco) et l'humour décalé de sa réalisatrice. On ne compte pas les plans où l'on se dit que "ça ferait un chouette tableau à la maison", tant l'esthétique des décors est travaillée, comme une vision fanée des bourgs des années 50, trop colorés, trop plein d'objets d'art déco, avec des vêtements qu'on n'oserait plus porter sauf à la fashion week, mais l'intrigue se situe bien en 2022. Le contexte post-MeToo ne nous en fait jamais douter : le film tape autant sur les machos qui se permettent trop, que sur tous les internautes et spectateurs télé qui se font juges à la place du juge en un claquement de doigts. On a adoré cette position de l'entre-deux, comme si l'on devenait le témoin de deux camps opposés qui s'écharpent et dont le principal intéressé fait son pain béni (pendant que tout le monde juge, lui voit comment tirer profit du battage médiatique, et c'est bien là que Babysitter propose un scénario rusé). On s'est parfois un peu perdu dans le côté foutraque de l'humour (ça va très loin, très vite), mais on s'est rattrapé au final par le côté fantasmagorique, si ce n'est purement fantasmé, de la baby-sitter... spoiler: Tel l'esprit qui apparaît pour révéler tous les désirs les plus profonds de leurs interlocuteurs, qu'ils soient libérateurs ou pervers, puis les plante en pleine catharsis pour qu'ils repartent sur les bases d'une vie plus honnête,
    la baby-sitter nous a ramené aux personnages les plus intéressants des films noirs (Chokri s'est inspirée des films giallos et expressionnistes). Le rythme est excellent, on ne voit pas la petite heure trente défiler, et l'on plonge gaîment dans ce bazar humoristique qui contraste avec la minutie des compositions visuelles. Mention aussi à tous ces plans où un objet ou un personnage débarque dans le plan sans qu'on l'y invite, comme une case de BD qui ne supporterait pas le hors-champ (la tasse de thé qui se jette en premier plan devant le regard surpris de l'épouse, on a adoré). Décalé, mais pas débile, et ça change tout.
    Ufuk K
    Ufuk K

    466 abonnés 1 399 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 avril 2022
    "Babysitter" est une comédie sociale québécoise moyenne dans l'ensemble. En effet l'histoire aborde d'une manière originale des thèmes intéressant comme la misogynie, le sexe dans notre société, le pouvoir des médias sur notre culture avec des acteurs qui jouent le rôle même si l'ensemble peut dérouté et ennuyé par ses bizarreries et ses nombreux codes cachés, l'accent québécois n'aidant pas toujours à la compréhension du film.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    205 abonnés 835 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 avril 2022
    Cédric est un jeune papa. Suite à une blague sexiste, ce dernier va être suspendu de son travail et retrouver sa jeune fille. Durant cette période, il va alors réfléchir à sa my soignée en écrivant un livre. Nadine, sa femme en pleine dépression va profiter de sa présence pour reprendre le travail. Un film canadien réalisé par l’excellente Monia Chokri à l’univers et à l’humour incroyable. Elle réussit à rire du féminisme sans ni le ridiculiser, ni le caricaturer. Rare à notre époque !
    Margauxcornetto
    Margauxcornetto

    11 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 avril 2022
    Les films canadiens, j'ai essayé, je n'y retournerai pas. La mise en scène est tellement particulière que s'en est presque flippant !
    HASTENEP
    HASTENEP

    8 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 mai 2022
    Il est rare que je note aussi durement un film par respect pour les équipes et pour la liberté de création.
    Mais pour là on atteint un tel niveau de douleur visuelle et auditive que je ne peux faire autrement.
    Le scénario plutôt bien vendu dans la bande annonce, aurait pu donner un film très intéressant: il n'en résulte qu'une comédie trash ( je ne spolierais pas mais accrochez vous niveau images grasses ) , des images en plans serrés filmées en mode iPhone un soir de beuverie, une bande son semblable au bruit d'ongles griffant une parois de verre, des dialogues creux.
    Bref douloureux, stupide et très mal filmé.
    Cécile D
    Cécile D

    43 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 mai 2022
    Film caricatural en écriture et en réalisation, ennuyeux au possible. Les seuls plans intéressants sont pompés sur Dolan.
    Dommage, j'aime beaucoup Monia Chokri comme comédienne (films de Dolan) et comme réalisatrice (j'avais adoré la Femme de mon frère), mais sur celui-là je suis très déçue
    Cinephille
    Cinephille

    135 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2022
    Un film frénétique et foutraque sur les excès du féminisme mal compris, dans les réactions hommes/femmes. La réalisation est quelque peu fatigante mais fait partie intégrante du propos. Un peu moins d’outrance aurait mieux servi le film mais déjà voir quelque chose de nettement plus original que les comédies françaises verbeuses ou caricaturales est plutôt sympathique.
    Muriel F.
    Muriel F.

    46 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2022
    Un film surprenant et décalé que j'ai apprécié. Des aspects drôles mélés à des reflexions plus complexes liées à la mysoginie avec en toile de fond, une jeune mère et son bébé qui ne trouve pas le sommeil, et une babysitter fantasque qui viennent occuper le terrain. Monia Chokri a une manière de filmer très personnelle au pays du Québec à la langue si savoureusement familière et lointaine. A voir !
    Arnaud KaDo
    Arnaud KaDo

    49 abonnés 218 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 mai 2022
    Film très particulier. Humour spécial. Et les acteurs en font des ''caisses''. C'est surjoue.
    Je suis pas rentre dans l'histoire. D'ailleurs on dirait que le réalisateur s'est fait plaisir sans penser à un potentiel spectateur.
    Ensemble très moyen !
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 172 abonnés 3 973 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mai 2022
    “Babysitter” est le second long-métrage de l’actrice Monia Chokri, derrière et devant la caméra. L’histoire expose les répercussions de l’acte de Cédric, suspendu de son travail après avoir fait un bisou sur la joue d’une présentatrice de télévision en plein direct. Sa femme veut en profiter pour mettre un terme à son congé maternité. Mais Cédric, dépassé par ses nouvelles occupations, embauche une babysitter. La Lolita est jeune et jolie et s’amuse à se vêtir d’une soubrette sexy. Entre frustrations et dépressions, le long-métrage navigue entre la chair et la morale mais bavarde tellement qu’il en devient un fourre-tout féministe et sans fond.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Joce2012
    Joce2012

    171 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mai 2022
    Ce n’est pas le genre de film que j’aime, trop burlesque, ça m’a endormi et ne m’a pas faire rire, dommage pour une comédie....
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top