Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Le propos de Petite fleur est transparent : la libido, ferment de l’amour comme de la création artistique, ne peut survivre sans charrier avec elle une part de violence. Son objet n’est pas d’en faire la démonstration, mais plutôt d’en tirer une expérience cathartique, en s’inspirant à la fois des comédies de remariage et des dessins animés de Tex Avery.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ce long-métrage est fait pour les doux rêveurs et pour ceux qui ont le goût des songes, de l’irrationnel et des aventures oniriques.
Elle
par Françoise Delbecq
Une dinguerie décapante, portée par une savoureuse brochette d'acteurs.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Cette histoire étrange (un peu longue au démarrage) fait réfléchir à l'absurdité de la violence et à la folie tapie dans le coeur des hommes. Une curiosité.
L'Obs
par Jérôme Garcin
La réalisation est impeccable, et l’interprétation, très fine. Mention spéciale pour le ressuscité Melvil Poupaud.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
(...) un film surprenant, qui avance au rythme syncopé du jazz dont Melvil Poupaud, l’un des héros du film, est grand amateur.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Après le mélo militant El estudiante et le thriller psycho-politique El presidente, le réalisateur argentin Santiago Mitre s’essaie à la comédie romantique décalée. Il revisite le genre à l’aune de ses visions burlesques. Son univers, baigné d’étrangeté et d’une pointe de fantastique morbide, fait de Petite fleur un film singulier, diablement séduisant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Marianne
par Olivier De Bruyn
Sans jamais se prendre au sérieux, le cinéaste, dans Petite fleur, raconte une histoire à la fois triviale et surréaliste.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Chèze
La folie douce de l'Argentin Santiago Mitre vaut le coup d'oeil.
Télérama
par Guillemette Odicino
Une fable noire et saignante sur le couple.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Une comédie noire sur la routine et l'usure du couple, sorte de Un jour sans fin macabre et très cartoon.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Santiago Mitre s’essaye à la tragicomédie burlesque et absurde. Tout n’est pas réussi mais sa vision de la crise de couple reste singulière et jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Une farce inégale mais rafraîchissante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans son nouveau film tourné en France, le cinéaste argentin Santiago Mitre propose une comédie sur un couple en crise qui tente d'échapper au rouleau compresseur des habitudes. Portrait d'un déraciné qui peine à trouver sa place dans son pays d'adoption, « Petite Fleur » installe un climat ambigu et cocasse, poétique, doucement excentrique et durable.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Flirtant entre une comédie acide dont le récit semble possédé d’une fièvre improvisatrice et un portrait plus naturaliste captant avec acuité le quotidien routinier d’un couple, Petit fleur avance devant nos yeux amusés tel un étonnant objet non balisé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Cette variation autour d’Un jour sans fin- porté par le réjouissant trio Daniel Hendler- Vimala Pons- Melvil Poupaud - témoigne de l’aisance de Mitre à évoluer dans un absurde d’autant plus irrésistible qu’il s’efforce de le faire coller le plus possible à la réalité. Imparfait certes mais terriblement séduisant.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le film de Santiago Mitre, qui tire d’un roman d’Iosi Havilio son réalisme magique cher à la littérature latino-américaine, recherche l’effet comique dans la répétition très « cartoonesque » des homicides dont ne semble aucunement se formaliser Jean-Claude. Cet humour macabre ne sera pas de nature à plaire à tous les spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Yves Jaeglé
(...) ce thriller fantastique sur la vie de couple qui s’enlise... Ne décolle pas. Et la présence d’un délicieux Melvil Poupaud en tendre cynique n’y peut rien.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Cette comédie noire, le premier film en français de Santiago Mitre, tombe trop souvent à plat.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Bernard Génin
On peut rester au seuil de ce divertissement qui démarre bien mais ne décolle jamais.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Hélas, à cause d’une mise en scène en dilettante et d’une excentricité parfois forcée, cette petite fleur se fane peu à peu...
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
En dépit d’un ton volontairement absurde et enjoué, Petite fleur ne convainc pas vraiment son spectateur, à force de répétitions et de confusions du scénario.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Véronique Cauhapé
A partir de cette scène répétitive, Petite Fleur tente une réflexion sur l’inconscient, l’acte créatif et la libre interprétation, en usant de circonvolutions aussi démonstratives que vaines.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
Le propos de Petite fleur est transparent : la libido, ferment de l’amour comme de la création artistique, ne peut survivre sans charrier avec elle une part de violence. Son objet n’est pas d’en faire la démonstration, mais plutôt d’en tirer une expérience cathartique, en s’inspirant à la fois des comédies de remariage et des dessins animés de Tex Avery.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce long-métrage est fait pour les doux rêveurs et pour ceux qui ont le goût des songes, de l’irrationnel et des aventures oniriques.
Elle
Une dinguerie décapante, portée par une savoureuse brochette d'acteurs.
Femme Actuelle
Cette histoire étrange (un peu longue au démarrage) fait réfléchir à l'absurdité de la violence et à la folie tapie dans le coeur des hommes. Une curiosité.
L'Obs
La réalisation est impeccable, et l’interprétation, très fine. Mention spéciale pour le ressuscité Melvil Poupaud.
Le Dauphiné Libéré
(...) un film surprenant, qui avance au rythme syncopé du jazz dont Melvil Poupaud, l’un des héros du film, est grand amateur.
Le Figaro
Après le mélo militant El estudiante et le thriller psycho-politique El presidente, le réalisateur argentin Santiago Mitre s’essaie à la comédie romantique décalée. Il revisite le genre à l’aune de ses visions burlesques. Son univers, baigné d’étrangeté et d’une pointe de fantastique morbide, fait de Petite fleur un film singulier, diablement séduisant.
Marianne
Sans jamais se prendre au sérieux, le cinéaste, dans Petite fleur, raconte une histoire à la fois triviale et surréaliste.
Ouest France
La folie douce de l'Argentin Santiago Mitre vaut le coup d'oeil.
Télérama
Une fable noire et saignante sur le couple.
Voici
Une comédie noire sur la routine et l'usure du couple, sorte de Un jour sans fin macabre et très cartoon.
La Voix du Nord
Santiago Mitre s’essaye à la tragicomédie burlesque et absurde. Tout n’est pas réussi mais sa vision de la crise de couple reste singulière et jubilatoire.
Le Journal du Dimanche
Une farce inégale mais rafraîchissante.
Les Echos
Dans son nouveau film tourné en France, le cinéaste argentin Santiago Mitre propose une comédie sur un couple en crise qui tente d'échapper au rouleau compresseur des habitudes. Portrait d'un déraciné qui peine à trouver sa place dans son pays d'adoption, « Petite Fleur » installe un climat ambigu et cocasse, poétique, doucement excentrique et durable.
Les Inrockuptibles
Flirtant entre une comédie acide dont le récit semble possédé d’une fièvre improvisatrice et un portrait plus naturaliste captant avec acuité le quotidien routinier d’un couple, Petit fleur avance devant nos yeux amusés tel un étonnant objet non balisé.
Première
Cette variation autour d’Un jour sans fin- porté par le réjouissant trio Daniel Hendler- Vimala Pons- Melvil Poupaud - témoigne de l’aisance de Mitre à évoluer dans un absurde d’autant plus irrésistible qu’il s’efforce de le faire coller le plus possible à la réalité. Imparfait certes mais terriblement séduisant.
La Croix
Le film de Santiago Mitre, qui tire d’un roman d’Iosi Havilio son réalisme magique cher à la littérature latino-américaine, recherche l’effet comique dans la répétition très « cartoonesque » des homicides dont ne semble aucunement se formaliser Jean-Claude. Cet humour macabre ne sera pas de nature à plaire à tous les spectateurs.
Le Parisien
(...) ce thriller fantastique sur la vie de couple qui s’enlise... Ne décolle pas. Et la présence d’un délicieux Melvil Poupaud en tendre cynique n’y peut rien.
Les Fiches du Cinéma
Cette comédie noire, le premier film en français de Santiago Mitre, tombe trop souvent à plat.
Positif
On peut rester au seuil de ce divertissement qui démarre bien mais ne décolle jamais.
Télé 7 Jours
Hélas, à cause d’une mise en scène en dilettante et d’une excentricité parfois forcée, cette petite fleur se fane peu à peu...
aVoir-aLire.com
En dépit d’un ton volontairement absurde et enjoué, Petite fleur ne convainc pas vraiment son spectateur, à force de répétitions et de confusions du scénario.
Le Monde
A partir de cette scène répétitive, Petite Fleur tente une réflexion sur l’inconscient, l’acte créatif et la libre interprétation, en usant de circonvolutions aussi démonstratives que vaines.