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Ykarpathakis157
3 405 abonnés
18 103 critiques
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0,5
Publiée le 13 septembre 2020
Toute l'histoire de Inunaki : Le Village oublié du début à une heure plus tard (j'ai arrêté de le regarder à cause d'un ennui extrême) n'a aucun sens et est stupide. Tout d'abord pourquoi reviendriez-vous dans ce tunnel sachant que la mort de votre petite amie est louche et que vous soupçonnez que c'est surnaturel ???. Pourquoi quelqu'un penserait-il même à revenir en arrière et à défier le surnaturel ?. Pourquoi le feriez vois après un regard sur ce tunnel est effrayant et sombre. La présentation "style documentaire" au début avec le tremblement pendant près de 15 min m'a fait perdre la moitié de l'intérêt. Les acteurs comme dans tous les films japonais surjouent mais ici ils battent des records. Je ne recommande vraiment pas de le regarder et même si vous n'avez rien d'autre à faire...
Le scénario s'avère vite un peu fouilli, entre la psychiatre au 6ème sens, ses relations familiales, le destin de certains protagonistes, les liens inter-générationnels, les rapports entre la ville et les causes et conséquences... etc... Tout n'est pas franchement cohérent (la cabine téléphonique ?!) et le manque de fluidité narrative font qu'on attend toujours le twist qui va rendre toute sa cohérence au film. Shimizu semble pourtant en effervescence, tous les trucs et astuces du film d'horreur y passe... Le pire, les esprits à la fois fantôme et matière ok, mais quel est le rapport avec les vampires ?! Incompréhensible... Shimizu signe un film d'horreur qui part dans tous les sens, à tel point qu'on finit par se détacher jusqu'à cette fin académique. Reste un bon climax, quelques passages qui font mouches (les "suicides"), et de bons acteurs. Site : Selenie
Inunaki est une série B horrifique par le réalisateur de The Grudge qui ne tient malheureusement pas vraiment la route. Histoire ennuyeuse et réchauffée, ressorts horrifiques peu efficaces, manque de souffle et de rythme.
Un film étrange qui pourra dérouter certains par la complexité du déroulement de l'intrigue et par son côté irrationnel . Mais au fur et à mesure où l'on progresse dans le film , on comprend le parti-pris du réalisateur pour emmener le spectateur dans une ambiance digne des meilleurs mangas de cette décennie. Et certaines scènes du final me rappelle trop le décor du chef d’œuvre de Mamoru Hosoda "Les Enfants Loups". C'est surement cela qui aura retenu le plus mon attention dans ce film qui patauge parfois.
Takashi Shimizu sait manipuler le genre de l’épouvante. Il renouvelle sa façon de filmer les fantômes japonais à travers cette histoire de village hanté. Redoutablement efficace lorsqu’il exploite le mystère et le hors-champ, il le devient nettement moins lorsqu’il devient trop démonstratif.
Si les Yurei-Eiga pullulaient (pour mon plus grand bonheur !) à la fin des 90's/début des 00's, cette vague horrifique venant du Japon a disparu progressivement pour nous laisser occasionnellement quelques productions d'une qualité pas toujours présente. Alors lorsqu'un des fers de lance de la J-horror nous reprend du service en adaptant la légende macabre du village abandonné d'Inunaki, mon intérêt ne pouvait qu'être éveillé. Malheureusement, les belles années des films de Yurei sont loin et il est dur d'imaginer que c'est Takashi Shimizu, à qui l'on doit les The Grudge/Ju-on, l'auteur de cette mauvaise série B. Pas grand chose de positif à relever dans ce "Inunaki Mura" qui ne séduit ni par sa réalisation bancale, ni par son scénario brouillon ou le jeu médiocre de ses acteurs. Le pire est qu'il se rate sur l'essentiel à savoir le sentiment d'horreur provoqué chez le spectateur. Le cinéaste use de ressorts usés jusqu'à la moelle et les fantômes sont plus ridicules qu'effrayants. Même les jumpscares sont globalement foirés. "Inunaki Mura" fait vieillot et ne fera peur qu'aux personnes un peu trop sensibles et peu habituées du genre.
Comme pas mal de production du genre. Le genre version asiatique, a chez nous. Un petit effet supplémentaires que lorsqu'il s agit de production US. Et c est le cas ici, ou même si certaines scènes dira t-on "choc". Sont malheureusement pour la plupart des plans ou séquences déjà dans d autres films de ce type ("transformation","contorsion","fantômes etc...). Mais on échappe à la succession de Jumpscares comme c est la mode.
Rhoolaaalaaa. Film lent, ennuyant, et sans intérêt. Le scénario est bidon, les scénaristes ne se sont pas du tout creusés la tête. Les acteurs jouent mal, on dirait des débutants. Bref, ne perdez pas votre temps.
Dommage. Dommage que le film n’ait pas été plus soigné au niveau de l’esthétique et que son scénario n’ait pas été un peu plus épuré. Car l’ambiance de cet histoire qui raconte les fantômes (les secrets) de famille aurait pu donner quelque chose de vraiment bien. Dommage car pour un film d’épouvante, il n’est que rarement angoissant, même s’il reste intéressant. J’ai aussi eu par moment l’impression qu’il s éparpillait, qu’il lançait des pistes dont il ne savait pas quoi faire et que quelques scènes indépendamment réussies n’apportaient pas grand chose au récit. C’est intéressant mais très en dessous de son potentiel selon moi.
Malgré la promesse d'un bon réalisateur (Ju-On m'avait laissé un excellent souvenir), le film se veut un peu trop lent et sans surprises tellement les jumpscare et effets d'horreur sont prévisibles et ne font pas peur. Le film parait un peu longuet...
Inunaki est plutôt bien, avec une histoire qui donne envie de suivre. Le film a reçu le prix spécial du jury au festival Gerardmer 2020 (c'est d'ailleurs en partie pour ça que je l'ai regardé). Personnellement je n'ai pas énormément accroché car j'ai trouvé trop de longueurs pourtant ça avait l'air intéressant.
Quoiqu’il soit capable, comme beaucoup de réalisateurs japonais, de passer d’un genre à l’autre avec aisance, sans pour autant témoigner d’une personnalité marquée (là aussi, comme beaucoup de réalisateurs japonais), Takashi Shimizu est surtout connu pour avoir initié la franchise ‘Ju-on”, connue et adaptée en Occident sous le titre ‘The grudge’, qui fut l’un des films d’horreur les plus authentiquement terrifiants du début des années 2000. Le voir revenir à ses premières amours suscite donc un intérêt immédiat, même si le résultat s’avère bien différent des spectres blafards aux longs cheveux noirs qui ont assis sa réputation. ‘Inunaki’ est avant tout un film d’atmosphère, consacré à une malédiction familiale aux contouQuoiqu’il soit capable, comme beaucoup de réalisateurs japonais, de passer d’un genre à l’autre avec aisance, sans pour autant témoigner d’une personnalité marquée (là aussi, comme beaucoup de réalisateurs japonais), Takashi Shimizu est surtout connu pour avoir initié la franchise ‘Ju-on”, connue et adaptée en Occident sous le titre ‘The grudge’, qui fut l’un des films d’horreur les plus authentiquement terrifiants du début des années 2000. Le voir revenir à ses premières amours suscite donc un intérêt immédiat, même si le résultat s’avère bien différent des spectres blafards aux longs cheveux noirs qui ont assis sa réputation. ‘Inunaki’ est avant tout un film d’atmosphère, consacré à une malédiction familiale aux contours imprécis et qui tacle au passage une certaine faculté de la société japonaise à pratiquer l’amnésie sélective. Avec un minimum d’effets pour les apparitions fugaces de ses revenants, ‘Inunaki’ se montre pourtant plus efficace que tous les films qui usent et abusent du jump-scare à grands renforts de mouvements de caméra désordonnés et de violons stridents. Même les effets spéciaux, objectivement assez ratés quand on voit ce qui existe aujourd’hui, possèdent un côté “à l’ancienne” qui accroît ironiquement le sentiment de malaise. Il ne faut toutefois pas espérer couiner de crainte comme lorsqu’on avait découvert The Grudge pour la première fois - oui, je l’avoue, il m’arriva de couiner à un âge plus tendre - mais alors que sauf exception, l’épouvante, qu’il soit américain, espagnol ou asiatique, a connu des heures plus glorieuses, un film qui se risque à autre chose qu’à surexploiter avec un conformisme désolant un concept trop malingre pour tenir la distance mérite qu’on s’y intéresse...même si ‘Inunaki’ aurait sans doute gagné à dégraisser son intrigue que sa complexité finit par rendre un peu trop confuse.rs imprécis et qui tacle au passage une certaine faculté de la société japonaise à pratiquer l’amnésie sélective. Avec un minimum d’effets pour les apparitions fugaces de ses revenants, ‘Inunaki’ se montre pourtant plus efficace que tous les films qui usent et abusent du jump-scare à grands renforts de mouvements de caméra désordonnés et de violons stridents. Même les effets spéciaux, objectivement assez ratés quand on voit ce qui existe aujourd’hui, possèdent un côté “à l’ancienne” qui accroît ironiquement le sentiment de malaise. Il ne faut toutefois pas espérer couiner de crainte comme lorsqu’on avait découvert The Grudge pour la première fois - oui, je l’avoue, il m’arriva de couiner à un âge plus tendre - mais alors que sauf exception, l’épouvante, qu’il soit américain, espagnol ou asiatique, a connu des heures plus glorieuses, un film qui se risque à autre chose qu’à surexploiter avec un conformisme désolant un concept trop malingre pour tenir la distance mérite qu’on s’y intéresse...même si ‘Inunaki’ aurait sans doute gagné à dégraisser son intrigue que sa complexité finit par rendre un peu trop confuse.
D'habitude je suis fan du cinéma horrifique asiatique... Mais je dois bien avoué que celui-ci m'a plus que déçu. Entre les scènes prévisibles, une narration hachée et l'absence de moment de terreur tout est fait pour que ce film tombe dans l'oubli. Une soirée horreur de perdue en ce qui me concerne :(
Si vous vous attendez à un film d'horreur, passez votre chemin. Ici la trame est une enquête /épouvante mais beaucoup plus tiré vers le mystère. Le chef op livre une belle photographie poétique en fonction des intentions et de l'ambiance. Il est vrai que la VF manque de crédibilité et que la VO sera toujours plus préférable. Quant au scénario, s'il peut sembler complexe, difficile d'appréhender le saut temporel qui emmêle les esprits. Cependant, gardez en tête que ce film d'enquête/mystère rappelle les premières intentions d'Hideo Nakata avec Ring et Takashi Shimizu en profite pour ré-interroger la notion de Bakemono. Qui sont les vrais monstres ? Est-on un monstre par nos actes ou par notre sang ? Je ne vous en dirai pas plus. Bonne séance !