Mon compte
    Nuit d'été en ville
    Note moyenne
    2,1
    79 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Nuit d'été en ville ?

    16 critiques spectateurs

    5
    3 critiques
    4
    0 critique
    3
    0 critique
    2
    1 critique
    1
    8 critiques
    0
    4 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    bsalvert
    bsalvert

    319 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 mars 2013
    Un homme et un femme nus la plupart du temps parlent de différentes choses autour de l'amoir, le concept pourrait être sympa, jovial mais non on s'enuye ferme.
    PLV : film français par excellence tout le monde se fait plaisir sur le plateau de tournage en oubliant le spectateur
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 085 abonnés 4 213 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 septembre 2016
    Nuit d’été en ville est le deuxième Deville que je vois, et honnêtement ce n’est toujours pas une réussite ! Ok il y a un défi osé, mais proposer un défi osé ne signifie pas signer une réussite.
    Néanmoins, je dois reconnaitre que tout n’est pas mauvais. L’interprétation, qui repose en fait uniquement sur deux acteurs, est très bonne. Marie Trintignant, Jean-Hugues Anglade, tous deux tiennent la baraque, avec des rôles pas simples, et se montrent crédibles, beaucoup plus en tout cas que les dialogues qu’on les amène à débiter. En effet, si les interprètes se montre à l’aise, et évite un jeu trop démonstratif et théâtral, malheureusement ce n’est pas le cas des échanges qu’on leur demande, avec des répliques totalement pas crédibles pour une première rencontre amoureuse ! En fait c’est là que le bât blesse : non, ce film n’est en rien authentique ! Les dialogues sont d’une artificialité rare, lourd, souvent inutiles, on sent qu’il faut meubler pour arriver à une durée respectable. Ils sont prolifiques, et il ne recèle aucun trésor ! Pas d’humour, pas de subtilité, ils se veulent tour à tour très littéraires d’autres fois très vulgaires (ce qui est assez déconcertant, ce changement de registre de langue ultra-soudain paraissant terriblement gratuit et anti-naturel). Du coup, cela gâche le jeu des acteurs, pris dans une histoire qui se résume à : on fait l’amour, on bavarde en vaquant à des occupations, on se baigne, on se brosse les dents et au lit ! Voilà ! Il n’y a rien de plus, vu qu’on ne sort pas de cet appart, ce qui fait que Nuit d’été en ville est un huis clos total, de la première seconde à la dernière, et en plus tous les volets sont fermés. C’est cool pour se balader à poil pendant 1 heure 20, car oui, les acteurs sont constamment nus. Bon, un choix qui pourra plaire aux amateurs de nudisme !
    Michel Deville signe une réalisation honnête, qui peut-être est le meilleur atout de ce métrage avec le casting. S’il n’apporte pas beaucoup de légèreté, néanmoins il filme bien ses acteurs, et donne un peu de mouvement malgré tout à un métrage qui reste très statique, jusque dans le mobilier qui pèse bien ses trois tonnes par meubles ! La bande son est soignée mais on en profite trop peu (il s’agit de morceaux de Saint-Saëns, très beaux).
    Nuit d’été en ville est pour moi un exercice de style peu digeste, court et pourtant inutile tant on ne sait pas ce qu’a voulu faire Deville. Si c’était saisir la simplicité d’une rencontre c’est raté, j’ai rarement vu plus alambiqué, et si c’était pour saisir le naturel alors c’est doublement raté car les dialogues sur-écrits sont tout sauf naturels ! On se retrouve avec une pièce de théâtre en huis clos, emmenée par deux bons acteurs, mais qui se débattent assez vainement. De bonnes choses, mais gâchées, je crois. Un tel film entre les mains d’un Emmanuel Mouret par exemple, pourtant adepte des dialogues écrits aurait eu une allure meilleure, le réalisateur sachant faire émerger de ses coquetteries de style une douce poésie, un sens de la rêverie, une élévation au-dessus du réel dont ne semble absolument pas vouloir se départir Deville. 1.5
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 novembre 2008
    Et blablabla et gnagnagna ...
    Backpacker
    Backpacker

    53 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 octobre 2006
    Rarement réalisateur n'aura réussi à cerner, avec une telle justesse, la relation d'un soir transformée en passion durable entre deux amants, constamment en proie au désir et au doute. Michel Deville a conçu un huis-clos époustouflant de réalisme et de lyrisme dans lequel règnent aussi bien la pudeur que l'impudeur, la vérité que le mensonge, le désir que la répulsion, l'humour que la tristesse... Le jeu exceptionnel de la fort regrettée Marie Trintignant et du touchant Jean-Hughes Anglade atteint un niveau de perfection rarement égalé dans un duo d'acteurs qu'il en devient totalement fusionnel. Cette oeuvre littéraire bénéficie en outre d'une réalisation hors-pair qui suggère autant qu'elle montre... Enfin, Michel Deville, même en mettant, au propre comme au figuré, ces deux acteurs à nu, ne sombre jamais dans la moindre vulgarité. N'ayons donc pas peur de classer le fa-bu-leux "Nuit d'été en ville" parmi les vingt plus importants films français jamais réalisés...
    soulman
    soulman

    67 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 août 2023
    On a beau apprécier les films de Deville, la finesse de son écriture, d'"Adorable menteuse" au "Voyage en douce", en passant par "Benjamin", on est ici immédiatement saisi par le côté vain de l'exercice. Face à face entre deux amants après l'amour, dont les dialogues se révèlent rapidement creux, joués comme sur une scène de théâtre, dans une scénographie sans grâce. Anglade en fait des tonnes, chichiteux, dans une posture tellement peu naturelle qu'il provoque irritation et ennui. Je n'ai pas pu visionner plus de 20 mn de ce pensum, vraisemblablement le plus raté des longs-métrages du cinéaste...
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    916 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 août 2023
    Huis-clos sensuel assez vain.
    Ce n'est pas que c'est inintéressant mais on se lasse très vite de leurs échanges quelque peu précieux.
    Les corps s'élancent et sont toujours en mouvement. Finalement cela pourrait être une étude de la nudité pour les apprentis peintre.
    Hotinhere
    Hotinhere

    417 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 août 2023
    Un huit-clos amoureux sensuel mais très insipide en raison de dialogues qui n'intéressent personne, et en dépit d'un couple séduisant...sur le papier !
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    104 abonnés 2 176 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 septembre 2023
    CET AILLEURS QUI RESPIRE. C'est beau d'aimer, comme un instant fait l'éternel. Mourir sur tes lèvres, repousser les limites des lignes de ta main. Zorg s'en rappelle.
    Jrk N
    Jrk N

    33 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 mars 2018
    Marie Trintignant adorable, Anglade assez bon sur la distance, Deville réalisateur subtil qui n'appuie jamais (et que j'aime beaucoup), son épouse Rosalinde souvent très bien inspirée ne suffisent pas à relever le défi formel "un couple nu dans un appartement parlent pendant une heure et demi." Il aurait fallu deux acteurs plus puissants et plus forts (Adjani-Auteil aurait été géniaux) et un rapport plus équilibré entre le texte et l'action. Par exemple ce type de rapport que l'on trouve dans Bergman. Ce type de pari aboutit soit aux chef d'oeuvre soit au désastre et ne permet pas de faire un "bon film intéressant". Pour éviter le désastre il faut que tout soit parfait. Le pire c'est la musique de Saint-Saens et le reste ne répond pas au défi. Il fallait peut-être essayer mais le résultat est un désastre donc hélas.
    calamarboiteux
    calamarboiteux

    18 abonnés 440 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 mai 2008
    Ils sont amants pour la première fois, dans son grand appartement. Elle souhaite qu’il ne reste pas, ils commencent à parler de leurs expériences amoureuses, puis de leurs vies, sous forme de jeu de rôle ; il reste jusqu’au matin.
    Pendant une heure vingt, on ne voit que les deux acteurs, nus, puis sommairement habillés, jasant interminablement. Par instant leurs monologues sont entrecoupés par une belle musique de Saint-Saëns : des instants de répit hélas rares et courts.
    Un film sur la communication entre les sexes qui ne communique que l’ennui, exaspérant d’inaction, farci de dialogues d’une grande banalité, qui se veulent profonds mais sont mal fagotés. L’érotisme dit et acté ne supplée pas la vacuité du propos.
    Deville est un cinéaste qui ose parfois une recherche formelle. Ce peut être intéressant, comme dans dossier 51, ou raté, comme ici. Il convient donc d’oublier cette production dont le seul intérêt est de nous rappeler combien Marie Trintignant était attachante.
    SB88
    SB88

    13 abonnés 1 017 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 août 2023
    C'est d'un ennui ! Une discussion inintéressante d'un couple d'un soir pendant tout un film !!! Au moins créer de bons dialogues, c'était la moindre des choses ! Alors ils sont nuls et nus ! Pour les plus de 18 ans mais au fond, je me demande qui peut trouver ce film bien...
    1,8/5
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    14 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 février 2024
    Ils viennent de se rencontrer et passent ensemble leur première nuit. Jusqu'au petit matin, il vont se parler et s'étudier, se confier l'un à l'autre spoiler: et envisager une vie commune.

    Avec cette dissertation nocturne entre deux amants, Michel Deville approche le huis-clos absolu: deux personnages anonymes, le plus souvent nus, dans un appartement, sans qu'aucun incident ou personnage extérieurs n'interviennent dans leur découverte mutuelle. Bien que pénétrant l'intimité du couple, le propos de Deville, à travers le dialogue entre Jean-Hugues Anglade et Marie Trintignant, est moins (et même pas du tout) émotionnel ou passionnel que littéraire et cérébral. C'est un exercice de style en forme de jeu amoureux, où se glissent divers aphorismes sur l'amour, les souvenirs et les expériences que se racontent les deux amants, une sensualité audacieuse.
    Le film n'est certes pas sans originalité ni intérêt artistique. Le problème, c'est que la conversation s'éternise, relègue le spectateur au rôle de temoin passif, de voyeur, et confine au bavardage. Finalement, le procédé est peu convaincant en ce qu'il sacrifie la vérité du couple à une forme esthétique artificielle, à une situation trop évidemment factice.
    No Quarter
    No Quarter

    3 abonnés 321 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 août 2023
    Dialogues comme lus d'un bouquin. Ennuyeux au possible. La nudité des deux acteurs ne rajoute rien. Film pour intellos bobos.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 janvier 2013
    Je viens de revoir ce film qui, il a déjà 20 ans, m'avait tant marqué. Les âmes chagrines ou les âmes simples n'ont vu ou voulu voir que les corps nus et les dialogues omniprésents. Justement, la présence de ces 2 comédiens, l'œil du réalisateur qui se fait naturaliste et non voyeur, font qu'au bout de 5 minutes, les corps ne sont plus nus mais habillés par leurs sentiments, leurs émotions. S'il y a nudité dans ce film; c'est celle de l'âme. Cette œuvre toute entière nous plonge dans ce qu'il y a de plus beau, de plus laid, de plus lâche et de plus fort en nous. On voudrait que cette nuit ne s'arrête jamais, on voudrait les retenir, non pas parce qu'ils sont beaux ou spectaculaires, non simplement parce qu'ils sont nous. Il n'y a rien de sexuel ici et les voyeurs seront bien déçus, il n'y a plus de corps; juste 2 humains qui par leurs joutes, ne cherchent finalement qu'à se tenir chaud l'un contre l'autre malgré une nuit d’été en ville étouffante.
    Omka
    Omka

    10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mars 2021
    Le meilleur film de jean Hugues Anglade et Marie Trintignant. Ne suivez pas les préjugés des avis négatifs. Mais peut-être faut il être amoureux pour s'immerger dans ce bain de sensualité.
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top