Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Hugues Perrot
La sensation que le film laisse une fois terminé, c’est bel et bien celle d’un corps guéri, réuni avec lui-même, par-delà la souffrance et la solitude. Et que le plus éphémère des passages dans notre vie peut suffire à la remplir.
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Si Days, volontairement sorti non sous‑titré (mais essentiellement muet), conserve ainsi la sensualité silencieuse du cinéaste, il y a pourtant ici quelque chose de neuf, dans un dénuement plus sidérant encore.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
Tsai Ming-Liang propose un cinéma aux antipodes de la sérialisation des plateformes et des studios, et fait de la contemplation un acte de résistance aux histoires industrialisées polluant notre imaginaire.
Bande à part
par Olivier Bombarda
Days est un film artistique, méditatif et touchant, scrutant les corps et le passage du temps.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Mahaut Thebault
Tsai Ming-liang libère ses plans de l’impératif d’une construction dramatique et s’applique, avec la précision que permet son rapport à la durée, à décomposer tous les événements de la vie des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Amours lascives, torpeur écrasante et déconstruction du mouvement jusqu’à atteindre un immobilisme métaphorique, tout l’art hypnotique du metteur en scène est là, dans ce film sublime d’un cinéaste majeur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Jérôme d'Estais
Enfin ! Que le cri muet et bouillonnant de Tsai Ming-liang puisse finalement surgir sur les écrans, près de deux ans après sa présentation au Festival de Berlin et une diffusion en catimini sur Arte, tient à la fois de l’évidence et du miracle.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le Taïwanais Tsai Ming-liang appartient à une sorte d’internationale cinématographique « zen » résistant à l’accélération généralisée des images par un travail performatif sur la durée des plans. Days, qui nous arrive avec deux ans de retard après le tourbillon de la crise sanitaire, marque une étape supplémentaire dans l’épure.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Avec ce beau tableau de la solitude contemporaine, le Taïwanais Tsai Ming-liang poursuit son éloge de la lenteur et filme le corps abîmé de son acteur fétiche.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
L’ennui qui guette est sans cesse repoussé. L’expérience tout entière est dirigée vers le relâchement et la cure. On en ressort parfaitement détendu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Tsai Ming-liang radicalise une démarche déjà épurée depuis ses premiers films des années 90. Cette œuvre contemplative, composée de seuls plans fixes, est une métaphore de la solitude dans les sociétés contemporaines et possède un réel pouvoir de fascination.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Un film contemplatif découpé en 46 plans de laconisme têtu. Difficile à voir sans être passé par quarante ans d’abonnement aux Cahiers du Cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Michel Ciment
Avec un art du tableau que l’on hésite à qualifier de vivant, Tsai réaffirme son sens plastique, fortement marqué d’homoérotisme mais qui finit par lasser tant il paraît systématique et complaisant.
Première
par Thomas Baurez
La caméra, sensuelle, reproduit in extenso des situations à priori banales (préparation d’un repas...) ou pas (un massage intime). Tsaï Ming-Liang fait, encore une fois, le pari de l’hypnose. Mais ça ne marche pas à tous les coups…
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
La sensation que le film laisse une fois terminé, c’est bel et bien celle d’un corps guéri, réuni avec lui-même, par-delà la souffrance et la solitude. Et que le plus éphémère des passages dans notre vie peut suffire à la remplir.
Les Inrockuptibles
Si Days, volontairement sorti non sous‑titré (mais essentiellement muet), conserve ainsi la sensualité silencieuse du cinéaste, il y a pourtant ici quelque chose de neuf, dans un dénuement plus sidérant encore.
Transfuge
Tsai Ming-Liang propose un cinéma aux antipodes de la sérialisation des plateformes et des studios, et fait de la contemplation un acte de résistance aux histoires industrialisées polluant notre imaginaire.
Bande à part
Days est un film artistique, méditatif et touchant, scrutant les corps et le passage du temps.
Critikat.com
Tsai Ming-liang libère ses plans de l’impératif d’une construction dramatique et s’applique, avec la précision que permet son rapport à la durée, à décomposer tous les événements de la vie des personnages.
L'Obs
Amours lascives, torpeur écrasante et déconstruction du mouvement jusqu’à atteindre un immobilisme métaphorique, tout l’art hypnotique du metteur en scène est là, dans ce film sublime d’un cinéaste majeur.
La Septième Obsession
Enfin ! Que le cri muet et bouillonnant de Tsai Ming-liang puisse finalement surgir sur les écrans, près de deux ans après sa présentation au Festival de Berlin et une diffusion en catimini sur Arte, tient à la fois de l’évidence et du miracle.
Le Monde
Le Taïwanais Tsai Ming-liang appartient à une sorte d’internationale cinématographique « zen » résistant à l’accélération généralisée des images par un travail performatif sur la durée des plans. Days, qui nous arrive avec deux ans de retard après le tourbillon de la crise sanitaire, marque une étape supplémentaire dans l’épure.
Libération
Avec ce beau tableau de la solitude contemporaine, le Taïwanais Tsai Ming-liang poursuit son éloge de la lenteur et filme le corps abîmé de son acteur fétiche.
Télérama
L’ennui qui guette est sans cesse repoussé. L’expérience tout entière est dirigée vers le relâchement et la cure. On en ressort parfaitement détendu.
aVoir-aLire.com
Tsai Ming-liang radicalise une démarche déjà épurée depuis ses premiers films des années 90. Cette œuvre contemplative, composée de seuls plans fixes, est une métaphore de la solitude dans les sociétés contemporaines et possède un réel pouvoir de fascination.
Les Fiches du Cinéma
Un film contemplatif découpé en 46 plans de laconisme têtu. Difficile à voir sans être passé par quarante ans d’abonnement aux Cahiers du Cinéma.
Positif
Avec un art du tableau que l’on hésite à qualifier de vivant, Tsai réaffirme son sens plastique, fortement marqué d’homoérotisme mais qui finit par lasser tant il paraît systématique et complaisant.
Première
La caméra, sensuelle, reproduit in extenso des situations à priori banales (préparation d’un repas...) ou pas (un massage intime). Tsaï Ming-Liang fait, encore une fois, le pari de l’hypnose. Mais ça ne marche pas à tous les coups…