Avis : Violent Night - Page 10

Sans excentricité, Tommy Wirkola assaisonne son Violent Night d'une pincée de magie mais bien en dehors des scènes d'actions bourrines. Le trait d'humour est toujours bien venu mais on regrette que l'ensemble ait le ventre mou et que le costume ne soit pas plus rouge sang.
Pas assez audacieux pour un pitch qui autorisait pourtant les plus grands excès. Presque un film familiale.

Entre Die Hard et Home Alone 3 "Maman je m'occupe des Méchants" (oui j'ai volontairement choisi le 3e pour ceux qui ne sauraient pas que les films Cultes avec Malcaulay Culkin avaient eu un 3e opus et même un DTV !). Si David Harbour fait un super père Noël badass tout le reste du casting est digne d'un téléfilm, le concept est aussi bête qu'il en avait l'air (le Père Noël vs des terroristes d'opérette). C'est tellement mauvais en tout et abrutissant que j'ai plus d'estime pour les romances télévisuelles de fin d'année. Die Hard et Home Alone ont inspiré, si c'est un hommage, préférez les classiques.

Excellent vraiment ! c est drôle et décalé tout en parlant du monde de l enfance avec ce Père Noël. Loin des téléfilms mièvre voilà de quoi vous réconcilier avec l idée de Noël. Du grand n importe quoi contrôlé !.

C'était un film sympa mais sans plus. Rien d'extraordinaire. Les scènes d'action sont pas mal mais un peu trop axées comiques à mon goût.

Sans être particulièrement original comme concept, c'est traité de manière suffisamment imaginative et décomplexée pour qu'on salue le résultat.

Mélange de pure comédie burlesque, de thriller et de gore bien dégueu, le résultat parvient à rester équilibré et surtout à maintenir l'attention de bout en bout sans se perdre dans tout ça.

Certaines séquences sont vraiment délirantes à tous points de vue, que ce soit dans la comédie ou dans la violence poussée à l'extrême (et croyez-moi, ça va loin !).
Il y a des moments cela frise le cartoon, et on a même un hommage non déguisé à "Maman, j'ai raté l'avion" qui ne prend vraiment pas de gants avec ses victimes.

On peut ne que constater que le film fonctionne également avec un côté "Piège de Cristal" (Die Hard) très prononcé.
Mais c'est pas du pompage honteux, c'est vraiment autre chose de proposé en plus...

David Harbour en Père Noël badass, et John Leguizamo en antagoniste principal, pur enfoiré fier de l'être, sont vraiment épatants de drôlerie et de "politiquement incorrect" !
Cam Gigandet en gros ringard de star d'action movies décérébrés est également très drôle.
Et si le casting des "gentils" (pas si gentils que ça, tous des co**ards en fait) tient bien la route mais sans faire de grosses étincelles, celui des terroristes bien cassés de la tête est également excellent, et offre des "performances" de félés plus que divertissantes et bienvenues.

Un film comme ça, ça ne se décrit pas, malgré son concept simple, c'est tellement surprenant et déjanté parfois, que c'est difficile de le faire; un film comme ça, ça se conseille. Vivement. Très vivement !
Pour se taper un jouissif moment régressif... et pas si bête que ça en plus...

Violent Night de Tommy Wirkola (Seven Sisters) avec David Harbour (Hellboy) et film qui sort de l'ordinaire de se qu'on a l'habitude de voir et qui change des téléfilm mal doublé.

Pour commencer David Harbour qui incarne un Père Noël alcoolique et plutôt violent j'ai adoré l'idée entre humour et ce côté gore comme dans Bullet Train et Nobody c'est excellent il y a plein de petite référence qui font plésire comme le passage a la Maman J'ai Raté L'avion qui c'est bien mélanger l'humour de Trudy et le côté violent gore des méchant et sa tout le long on et sur un très bon casting les acteurs sont excellents et la musique qui va avec c'est excellent le mélange entre Noël une fête joyeux et coloré et des mercenaires violent plutôt noir l'opposé de Noël c'est excellent.

Ce que j'ai moins aimé c'est certain passage en trop ou inutile le Père Noël a visité la maison de A à Z avec lui on a fait toute les pièces de la maison la fin qui et un peut long des adieux qui dure 20 minutes alors je sais que c'est le Père Noël mais il faut le laisser faire sa tournée.

En globalité un film qui change de d'habitude David Harbour qui et excellent le parfait mélange entre humour et gore j'ai passé un très bon moment et resté sage sinon vous vous avez la preuve de se qui va vous arriver.

film de Noël complétement décalé. de l'action. vraiment trop, nous avons rigolé tout le film. génial.

Détourner les clichés de noël tout en conservant l’esprit de noël, au cinéma, c’est généralement mission impossible : vu les éléments que les mauvais esprits aiment tourner en ridicule, il leur est difficile de faire croire qu’ils sont quand même sensibles à tout ce que cette fête charrie dans son sillage. Soit on se marre, soit on bêle, c’est la règle…du moins, jusqu’à la sortie de ‘Violent night’ dans lequel une prise d’otage au sein d’un manoir huppé va être perturbée par l’arrivée du Père noël - le vrai - dont on va dire, pour résumer son état d’esprit, qu’il n’est pas du soir (en tout cas pas du soir de réveillon). Je vous passe les détails, les péripéties, la personnalité des bandits (sadiques) ou des otages (dysfonctionnels) : ce qui compte, c’est que ‘Violent night’, de manière inexplicable, joue sur trois tableaux à la fois et que ça fonctionne carrément bien. D’une part, il est aussi généreux en mièvrerie que n’importe quel autre film de noël et passe la pommade sans le moindre complexe à ceux qui sont friands de ce genre de choses. En contrepartie, il est d’une violence totalement décomplexée, qui vire au gore pur et simple à l’occasion de quelques mémorables séquences d’étripage…et malgré ce mariage du feu et de la glace, il est souvent drôle, dans sa grossièreté et ses effets de cartoon, un peu comme s’il s’agissait d’une version ordurière de ‘Maman j’ai raté l’avion”. Certes, ‘Violent night’ n’est pas le film de l’année, même pas celui du mois de décembre…mais qu’une mixture aussi improbable aboutisse à un résultat aussi distrayant n’était vraiment pas gagné d’avance.

Fun, décomplexé et sans prétention, Violent Night est un véritable hommage à Home Alone... mais en version gore ! Malgré quelque temps morts, le film brille par ses personnages complètements loufoques. Mention spéciale aux scénariste pour les origines de ce bon vieux père Noël.

Rhhaaa!! Et Zut !! On est passé à 2 doigts d'une magistrale réussite!!
Tommy Wirkola , le mec qui a fait DEAD SNOW ! J'y ai cru moi!! On a failli voir un film qui déglingue enfin cette /censuré/ de magie de Noel avec ses téléfilms mielleux et culcullapraline à se pendre de désespoir !
Il avait tout bon : David HARBOUR en bon gros Santalcoolique qui gerbe sur les toits , LEGUIZANO qui est un Mr Scrooge pourri et ses sbires qui ont tous des surnoms de Noel à la /censuré/ dans cette prise d'otage ou Santa jour le rôle de Bruce Willis dans Die Hard !!
Santa d'ailleurs se la joue THOR avec son marteau , ça étripe et broie à tour de bras !! Un régal , ça gicle du sang sur la neige , ça décapite ! spoiler: !e coup du sucre d'orge sucé et effilé , j'ai adoré !!
!
Mais , il faut que ces andouilles de ricains rajoutent l'indispensable blakounette coiffée oreilles de Mickey et on est reparti sur ce /censuré/ d'esprit de Noel et le gnangnan qui gâche tout et fait s'effondrer l'édifice pourtant si bien construit !!
Caramba , on y était presque !!!

C’est le mois avant Noël qu’arrive Violent Night, un broyeur de crâne tapageur qui revêt une puissance d’action féroce. Le réalisateur Tommy Wirkola honore Die Hard et Home Alone avec soin, dans l’espoir qu’un Père Noël barbare le ferait – je plaisante, les rimes s’arrêtent ici. Il n’y a aucune raison de détourner l’attention de mon enthousiasme pour un mélange de traditions de vacances Hallmark et de séquences de combat sanglantes du cinéaste derrière Dead Snows et Hansel & Gretel: Witch Hunters. Violent Night vend son scénario d’otage au parfum de pain d’épice avec l’innocence ironique du pays des merveilles hivernales, puis le vieux Saint Nick devient un guerrier fou avec un marteau de forgeron.

David Harbour s’amuse apparemment en tant que Père Noël, souffrant actuellement d’une crise de foi due aux habitudes de plus en plus vilaines de la civilisation. Une autre année à voler autour du monde, à offrir aux enfants bratty des appareils électroniques qui seront obsolètes dans quelques semaines – l’esprit de Noël du Père Noël s’estompe. Son prochain arrêt ? Le complexe résidentiel Lightstone où la matriarche Gertrude (Beverly D’Angelo) accueille à nouveau son fils Jason (Alex Hassell), sa fille Alva (Edi Patterson), la famille qui l’accompagne et toute l’aide de restauration embauchée. Le Père Noël craque dans des biscuits faits maison et vibre dans un fauteuil de massage de luxe, vivant la belle vie jusqu’à ce qu’il entende des coups de feu. Entrez John Leguizamo en tant que criminel détestant Noël (« M. Scrooge », il se fait appeler) à la recherche des millions voûtés de Gertrude, faisant exploser son arme de poing et menaçant même Jason ‘

Violent Night assombrit votre drame de Noël syndiqué moyen avec des résidus de charbon en présentant les Lightstones comme des élites dysfonctionnelles qui ont perdu la joie avec leur houx. Alva est une alcoolique méchante, son mari Morgan (Cam Gigandet) est une star de l’action D-list en herbe à la recherche de producteurs, et l’introduction de Gertrude comprend métaphoriquement la torréfaction des châtaignes d’un sénateur sans remords. Violent Night adopte l’approche Krampus de Michael Dougherty consistant à enseigner des leçons de vacances saines avec de fortes doses de danger, sauf que Violent Night échange d’horribles créatures contre des hommes de main mutilés se tenant à la portée du Père Noël. Pas de monstres tout-terrain, seulement des lames de chasse-neige vrombissantes, des pointes de glaçons et des patins à glace aiguisés comme arsenal improvisé du Père Noël

Le scénario de Pat Casey et Josh Miller est agressif sur le nez, appelant des influences et des rythmes de narration comme Rudolph pointant vers son nez rouge clignotant. Les scènes ne se contentent pas de recréer avec effronterie Home Alone – les personnages diront à haute voix à quel point une séquence ressemble à Maman j’ai raté l’avion. Violent Night vit pour divertir en transformant les célèbres lignes de chants de Noël en slogans badass du Père Noël pendant la bataille ou en salissant l’innocence de Noël de Trudy. Le script peut se lire comme initialement ringard puisque l’élan prend quelques battements pour commencer à faire boule de neige, mais ensuite les décapitations commencent, et les sensibilités brutales de Wirkola inaugurent les coups aux heures de grande écoute.

La transformation de Harbour en un Père Noël grisonnant et tatoué montre un acteur aimant chaque seconde à l’écran. Le Père Noël n’est pas invincible, et les séquences de combat chorégraphiées ne sont pas fantastiquement surpassées. C’est le John McClaneisms comme allongé calmement épuisé à côté de cadavres ou de rires chaleureux alors que les soldats explosent après qu’il ait fourré une grenade dans leur « bas ». Beverly D’Angelo, Cam Gigandet et les autres jouent des stéréotypes cimentés, tandis que Harbour réinvente le Père Noël en héros d’action musclé avec seulement de la magie du nez scintillant, un sac de jouets sans fin et un parchemin lisible avec « coquin ». noms d’ennemis. La réinitialisation est tout Harbour traduisant de précieuses images de vacances en une punition brutale pour les mercenaires.

Avec une ouverture plus zippée, Violent Night aurait atteint un niveau supérieur. Lorsque Harbour est hors caméra, il y a moins de raisons d’être enthousiaste.. Harbour est l’arme pas si secrète de Violent Night, qui devient évidente lorsque Wirkola met en scène une séquence de combat qui change la donne sur un autre hit de Noël adapté à la radio qui élève l’intensité et établit une nouvelle norme pour aller de l’avant. C’est alors que Violent Night passe à l’overdrive, lorsque des nouvelles sanglantes éclatent et que les plus vilains sont sans pitié, de la même manière que Deadly Games de 1989 se transforme d’un thriller de Noël « ludique » en une guerre de décembre pleine de suspense.

Dans Violent Night, rien n’est calme et les explosions enflammées sont lumineuses. Le réalisateur Tommy Wirkola protège la joie sentimentale des fêtes dans une vitrine de David Harbour qui devient plus folle que cassante aux cacahuètes. Violent Night peut prendre une minute chaude pour trouver sa place et continue de cueillir des prunes de sucre de jeux de mots à portée de main, mais à pleine puissance, personne n’empêche le Père Noël de faire de cette année le Noël le plus rouge imaginable.

Reprendre le mythe du Père Noël pour le transformer en casseur de figures pendant sa tournée entre 2 pintes, il fallait oser ; et c’est le réalisateur norvégien Tommy Wirkola qui s’y colle, pour un résultat ma foi des plus agréables.
« Violent Night » raconte l’histoire du Père Noël qui, après avoir enchainé les bières, se voit obligé de défendre une famille richissime américaine qui est aux mains de dangereux braqueurs ; aidé de sa magie et d’un gros marteau, ce bon vieux St Nicolas va leur en faire voir de toutes les couleurs…

Alors, avec un scénario très simple, Tommy Wirkola nous donne un film à la réalisation nickelle où l’on prend son pied plus que jamais à voir le Père Noël botter des fesses à l’aide de toute sorte d’objets : de la chaussette pleine de boules de billard en passant par une étoile de sapin électrifiée jusqu’à un broyeur à déchets, on ne se lasse jamais de voir mourir braqueur sur braqueur dans un déluge d’hémoglobine, même si quasiment toutes les scène sanglantes se passent dans l’obscurité et donc rendent moins visible le sang (mais bon, film hollywoodien oblige) pour ne pas choquer trop de monde.

Côté casting, on a le droit à un David Harbour très en forme, et dont la carrure correspond parfaitement à celle du Père Noël, j’ai presque l’impression de le revoir en pseudo Hellboy, rôle qui lui allait d’ailleurs très bien. John Leguizamo s’en sort pas mal en chef des braqueurs nommé « Mr Scrooge » et Alex Hassel fait bien le job en père de famille looser. Mention spéciale à la grand-mère qui est juste hilarante lors de sa première apparition.

J’ai aussi beaucoup aimé le fait de donner des origines de guerrier viking au Père Noël, cela rajoute du réalisme dans sa façon de se battre et de se repentir sur ses mauvaises actions.

Je dirais donc que même si « Violent Night » ne révolutionne pas le genre de la comédie sanglante, il mérite sa place parmi les plus réussies aux côtés de « Barbaque » ou encore « Hansel et Gretel : Witch Hunter » (réalisé lui aussi par Tommy Wirkola).

Pour moi, ce film peut devenir culte, avec un mélange entre "maman j'ai raté l'avion" (mais interdit aux enfants), "kick ass" (d'où le interdit aux enfants) et "piège de cristal" :-)

Ah enfin un vrai film. Il étant tant avec le nombres de merdes qu'on nous sert ces derniers temps, que je m'empiffre avec passion.
On est sur un film qui met de bonne humeur. Entre un die hard 1 et un maman j'ai raté l'avion. On a de bonne répliques et de l'action violente.

Un vrai conte de Noël pour adulte ! Entre deux grossièretés et un bourre-piff on retrouve la magie de Noël.