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    Le Kiosque
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    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 145 abonnés 7 225 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 octobre 2021
    Six de tournage par intermittence pour accoucher d’un documentaire intimiste & familial, celui d’un kiosque à journaux situé Place Victor-Hugo dans le très chic XVIème arrondissement de Paris. Il ne s’agit pas d’un kiosque comme les autres, c’est aussi et surtout, une affaire familiale qui aura vu passer 4 générations. La réalisatrice était venue aider sa mère en travaillant avec elle dans le kiosque, sauf que très rapidement ce job temporaire est devenu un job alimentaire qui aura duré 6 ans, jusqu’à ce que sa mère décide de partir à la retraite.

    Le Kiosque (2021) est donc une immersion dans le monde très exigu d’un kiosquier. La réalisatrice a filmé pendant toutes ces années, son quotidien et ses rencontres, des badauds d’un jour venus acheter leur journal en passant par les habitués du quartier, devenus avec le temps des amis. Alexandra Pianelli nous explique comment, avec le temps, elle est parvenue à deviner grâce à la tenue vestimentaire de ses clients, ce qu’ils s’apprêtent à acheter, du journal économique en passant par la revue sur la chasse ou pour les passionnés de ferroviaire jusqu’aux extrémistes et leurs revues de l’ultra-droite. "L'habit ne fait pas le moine" ? Elle vous prouve le contraire !

    Réalisé avec peu de moyen et par manque de place (constamment prostrée derrière son comptoir de caisse qui faisait moins de 2m² !), la réalisatrice a dû user de subterfuges pour parvenir à filmer son quotidien sans que cela ne devienne invivable. Tourné avec l’aide d’un téléphone portable et d’une GoPro, elle alterne les prises de vues (parfois en caméra subjective) et nous offre aussi quelques saynètes divertissantes (ayant fait des études dans une école d’art, elle agrémente son film avec des scènes réalisée avec des bouts de carton et quelques figurines, comme la reconstitution du kiosque familial ou encore la schématisation du mouvement social aux sein de Presstalis et qui avait durement impacté les kiosquiers).

    Le film nous offre des moments d’échanges rigolos et parfois de très belles rencontres comme cette femme n’ayant qu’une CB et pas de monnaie pour s’acheter un ticket de métro et qui se retrouve face à Damien (un attachant SDF accompagné de son chat, qui venait régulièrement rendre visite à Alexandra). Ce dernier ira jusqu’à insister auprès d’elle pour qu’elle reparte avec une pièce de 2€, une monnaie extirpée de son maigre butin de mendicité.

    Une immersion savoureuse dans un univers où se côtoie près de 3000 revues différentes et le multiculturalisme de la société d’aujourd’hui. Un effet de loupe sur un métier qui est en train de mourir à petit feu, face à la menace grandissante du numérique.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    traversay1
    traversay1

    3 081 abonnés 4 620 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juillet 2021
    Alexandra Pianelli, réalisatrice et plasticienne, a filmé le quotidien du kiosque à journaux parisien tenu par sa mère, dans une continuité familiale qui s'est étendue depuis plusieurs générations. Le film est aussi touchant sur le plan humain (et sociologique) que précis dans sa dimension économique. Et Alexandra Pianelli ne s'est pas contentée de filmer la vie d'un kiosque et de ses clients, souvent hauts en couleurs, elle fait aussi preuve d'inventivité pour expliquer comment la profession est de plus en fragilisée par l'organisation de la distribution de la presse, le numérique et les nouvelles habitudes de lecture. La profession de kiosquier dont on imagine peu l'exigence physique et qui est comparable à celle d'un commerçant indépendant est hélas voué à disparaître à plus ou moins long terme. C'est ce que montre notamment Le Kiosque, un documentaire qui fait le tour de la question, la chaleur humaine et l'émotion en prime. A voir absolument pour les amoureux de la presse écrite (en reste t-il ?), évidemment.
    velocio
    velocio

    1 160 abonnés 3 022 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2021
    Il y a les espèces en voie de disparition. Il y a aussi les objets, les constructions en voie de disparition. Un exemple parmi d'autres, les kiosques à journaux. Pour diverses raisons, l'émergence de la presse numérique étant sans doute la plus importante, il se vend de moins en moins de journaux papier et celles et ceux qui restent fidèles au papier se tournent de plus en plus vers les abonnements. Autre cause de cette disparition progressive, la politique menée par le groupe Decaux, dont Mediakiosk, propriétaire des kiosques parisiens, est la filiale. Fille, petite-fille et arrière-petite-fille de kiosquiers, la plasticienne Alexandra Pianelli a voulu prêter main forte à sa mère qui s'esquintait la santé dans ce lieu particulièrement exigu et inconfortable qu'était le kiosque familiale. "Qu'était" : il faut malheureusement utiliser l'imparfait car ce kiosque qui était installé Place Victor Hugo, dans le 16ème arrondissement de Paris, a cessé de fonctionner. Mais, pendant près de 10 ans, Alexandra Pianelli l'a tenu, et elle a fait un film à partir de ce qu'elle avait filmé avec son téléphone portable, un clin d'œil tout à fait conscient de sa part consistant à utiliser un fruit des nouvelles technologies pour montrer l'impact pas toujours positif de celles-ci sur notre existence. Le métier de kiosquier est un métier de rencontres, que ce soit avec des habitué.e.s dont on apprend petit à petit les petits secrets ou avec des gens qu'on ne verra qu'une seule fois, des touristes par exemple. Un métier qui, d'une certaine façon, vous transforme en "profiler", capable de deviner à l'avance, d'après le look, le type de presse que va demander tel ou telle acheteur ou acheteuse : casquette noire va acheter "l'Equipe", Fourrure et sac à main, ce sera "Voici", noeud papillon, ce sera "Classica" ou "Le monde de la musique". Alexandra Pianelli montre aussi les difficultés qu'on ne cesse de rencontrer dans ce métier : la gestion des invendus, le nombre de titres à mémoriser, la perte de clients lorsque les luttes entre Decaux et les ouvriers des imprimeries débouchent sur des grèves, etc. Pour montrer les enjeux politiques et économiques de ces luttes et la situation économique des kiosques, la réalisatrice n'oublie pas sa formation de plasticienne en utilisant des petites maquettes en carton confectionnées par elle à cet effet. En fait, vu de l'extérieur, un kiosque, cela ressemble un peu à la scène d'un théâtre vue par des spectateurs, sauf qu'ici, la spectatrice, c'est la kiosquière et les interprètes, ce sont les clients à l'extérieur du kiosque. A force de rencontrer les habitués du kiosque, aux profils très divers, retraitée, SDF, chef cuisinier, bénévole à Notre-Dame de Paris, s'ancre à nous la certitude qu'on assiste à une histoire gorgée d'humanité, une humanité qu'un modernisme outrancier accoquiné avec des puissances économiques souvent mal intentionnées est en train, sinon de tuer, du moins de modifier profondément.
    Yves G.
    Yves G.

    1 273 abonnés 3 283 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 novembre 2021
    Chez les Pianelli, on est kiosquière de mère en fille. Alexandra, la petite dernière, a eu beau aller faire une école d’art à Strasbourg, son destin l’a rattrapée : pour joindre les deux bouts, elle donne un coup de mains à sa mère dans le kiosque que tenaient avant elle sa grand-mère et son arrière grand-mère, place Victor-Hugo dans le cossu seizième arrondissement de Paris. Elle y filme avec son téléphone portable les clients qui passent et la vie qui va.

    "Le Kiosque" est un documentaire minuscule, qui n’est pourtant pas dénué d’ambition. Il raconte deux histoires : la grande et la petite.

    La grande, c’est l’histoire de l’inexorable déclin des kiosques à journaux et de la presse écrite, victimes de la concurrence d’Internet. Qu’on soit parisien ou provincial, on pourra tous témoigner du phénomène : il y avait jadis trois kiosquiers place du Palais-Royal, où j’allais religieusement acheter chaque jour à 14h30 "Le Monde" ; il n’y en a plus qu’un seul – et je me suis abonné au "Monde" en ligne.

    La petite, c’est celle des clients qui défilent : le chauffeur de l’ambassade d’Allemagne qui vient chaque matin récupérer son paquet, le clodo qui a perdu son chat, le voisin qui a déjà un coup dans le nez à dix heures du matin, la retraitée permanentée toujours très chic mais pas dénuée d’autodérision…. Cette galerie baroque est attachante.
    La petite histoire c’est celle de la vie du kiosque, des horaires dingues, du local minuscule ouvert aux quatre vents, du flux des arrivées et des invendus et de la paperasserie qu’il génère. C’est enfin celle de la faillite inéluctable qui menace.

    Au doigt (très) mouillé, "Le Kiosque" a dû coûter environ dix secondes du budget du dernier James Bond. Pourtant, j’aurai pris plus d’intérêt et de plaisir à le voir.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    304 abonnés 1 685 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 octobre 2021
    Paris, un kiosque à journaux. Alexandra est réalisatrice, fille, petite-fille et arrière-petite-fille de kiosquiers. Elle est venue prêter main-forte à sa mère et, comme dans un vieux rêve d’enfant, joue à la marchande.

    Ce documentaire a été réalisé par Alexandra Pianelli. Le Kiosque a reçu le Prix du Jury du Film Français Indépendant au Champs-Elysées Film Festival 2020.

    Je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre vu le sujet peu commun, et ce fu une excellente surprise.



    C’est fou comme suivre le quotidien de ce kiosque à journaux va vite devenir passionnant. De base, une personne qui n’y connaît rien (donc moi), peut penser que c’est juste un lieu où on achète basiquement son journal. Le client arrive, donne la monnaie et au revoir. En réalité, c’est bien plus que cela. Ce documentaire va permettre de nous en rendre compte. Ce commerce est un véritable lien social dans le quartier. On va partager le quotidien avec les différents clients de celui-ci. À force de le fréquenter toutes les semaines, voire tous les jours, ce sont devenu des habitués. Les conversations deviennent « familières », et les petites attentions sont reines.

    J’adore cela car ce n’est pas du tout dans un but mercantile comme quand Starbucks marque votre prénom pour vous faire croire que vous êtes un client à part. Là nous sommes véritablement dans un rapport humain et chaleureux. On partage ces moments de vies avec ce qui au départ sont des inconnus pour nous, mais à la fin ils sont devenus des proches. Je pense notamment au SDF qui revient souvent, et dont on se prend d’affection. Beaucoup de passages vont être touchant, que ce soit à travers le témoignage d’Alexandra, mais aussi les différents récits écoutés. Cela n’empêche pas de montrer la difficulté au quotidien que cela peut être de tenir un kiosque.



    La narration va réussir à donner une structure à Le Kiosque. On n’est pas sur un enchainement sans fond d’anecdote ou de potin du quartier. La réalisatrice Alexandra Pianelli a voulu souligner l’état d’urgence de cette profession. Il y a donc une portée sociale à ce documentaire. Le commerce de proximité est l’une des clés de notre société et il faut commencer à s’en rendre compte.

    Le choix de nous expliquer le pourquoi du comment est très pertinent. En effet, à travers des schémas très ludiques, nous allons faire un historique de la situation des kiosques sur Paris. Il nous est montré comment la situation en est arrivé là. La façon dont la cupidité du capitalisme a effacé le côté humain. Ce qui compte c’est engranger de l’argent, pas que la mamie du coin puisse discuter le matin et se sentir accompagnée. Les propos ne sont pas pour autant vindicatifs. Le ton reste très juste et c’est aussi pour cela que j’ai beaucoup apprécié. On sent une volonté de partage.
    Regine C.C
    Regine C.C

    28 abonnés 210 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 octobre 2021
    Chronique annoncée de la mort de la presse papier qui se fait inexorablement grignoter par la presse numérique. On regrettera ce lieu de ralliement où les habitués allaient confier leur état d'âme et où les SDF trouvaient un peu de chaleur.
    Bien que le film soit sans aucun doute un film amateur, il nous touche par son humanité et sa spontanéité du fait de multiples prises de vue prises sur le vif, raisons pour lesquelles il mérite d'être vu.
    Dandzfr
    Dandzfr

    14 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2021
    Jolie documentaire sur cette belle histoire familiale et on a le plaisir de rencontrer des personnages savoureux entre le client qui vient partager boudoirs et madeleines et Islam qui récite une prière pour la mort d'un SDF. A voir aussi pour connaître enfin la différence entre burger du 16ème et un burger des halles...
    Critique Facile
    Critique Facile

    82 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 septembre 2022
    https://leschroniquesdecliffhanger.com/2022/09/09/le-kiosque-critique/

    Pour son film Le Kiosque, sa réalisatrice Alexandra Pianelli, plasticienne de formation, dit simplement et humblement que son défi était de « faire un film avec rien« . Entre le journal filmé et la comédie dramatique documentaire, la réalisatrice parle ironiquement d’un « film en carton ». Véritable fenêtre sur le monde, elle a voulu déployer « le burlesque et l’amour de la simplicité« . Un rideau métallique s’ouvre très matinalement et machinalement sur la place Victor Hugo au cœur du 16ème arrondissement de Paris. De cœur, il va en être justement tellement question dans Le Kiosque. Une voix off éraillée, fatiguée, celle de notre narratrice, de la réalisatrice, la voix d’Alexandra.

    Le rideau s’ouvre, le smartphone d’Alexandra s’allume, et sa fenêtre sur le monde souvent drôle, parfois triste, mais toujours tendre, va s’offrir à nous dans une anthropologie du quotidien qui est un véritable exercice de sociologie de haut vol. Le Kiosque, c’est une parenthèse enchantée, Le Kiosque, c’est la vie. On pense irrémédiablement à Dutronc car il est 5H, Paris s’éveille, les journaux du kiosque sont imprimés, et Alexandra n’a pas encore l’air trop déprimée.
    Le kiosque il est comme le pot de chambre de "Le Grand chemin" (1987), « il voit tout mais il dit rien« . En une journée, il voit la France, il voit le monde… Le vieux poste radio cassette chante du France Inter toute la journée, au cœur du 16ème, on est à limite de l’acte révolutionnaire !! Le Kiosque nous parle aussi de l’invisibilité, comme en anticipation de la fameuse première ligne, théorisée en temps de pandémie, et finalement à nouveau terrorisée dans l’assignation anonyme des héros oubliés du déconfinement. Déconfiture de l’humanité…

    Le kiosque en 4 générations, qui nous est présenté en saga, avec les petits dessins d’Alexandra. Les fameux petits dessins d’Alexandra. Qui va nous expliquer la capitalisation des kiosques. Justement car la capitale a lâché leur gestion au profit (c’est le cas de le dire) de Médiakiosque, appartenant à JC Decaux, dont l’objet est la pub, les kiosques devenant donc des panneaux publicitaires urbains. Fin du conte, début des comptes. Et justement ce qui compte avec les kiosques, ce n’est plus le contenu, mais le contenant.

    Dans son espace ultra minimaliste, Alexandra Pianelli nous offre un incroyable condensé sur les névroses planétaires et les bonheurs simples du quotidien, dans une solidarité chorale des gens du kiosque, qui prend au cœur, nous émerveille nous attendrit. Alexandra « aime jouer pour ne pas avoir peur », cette philosophie irradie cet amour de film, et juste, ça fait du bien.
    Léopold F.
    Léopold F.

    5 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 décembre 2021
    "Le kiosque" est un petit film-docu sans prétention, avec une authenticité bienvenue. Alexandra Pianelli arrive à retranscrire une réalité aussi bienveillante que difficile.

    Le kiosque est un melting-pot où se rencontre aussi bien un SDF que des retraités en quête de compagnie. C'est un lieu de vie sans cesse en émulation.

    Alexandra Pianelli, munie de son Iphone comme seule "caméra", n'en n'oublie pas de nous "conter" la vie compliquée, voire impossible des kiosques à Paris. Ils ne cessent de fermer, subissant de plein fouet la crise de la presse papier et de conflits avec les agences.

    La réalisatrice use d'idées astucieuses pour nous montrer cette terrible réalité.

    Et puis il y a beaucoup d'émotions sur la fin, après une succession d'événements dont je ne révèlerais rien...

    Le kiosque vit au rythme de l'actualité et de ses occupants. Un lieu où se rencontre toutes les classes sociales. Un lieu qui ne sera bientôt plus...
    trouds
    trouds

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2021
    Touchant et original, ce documentaire n'est malgré tout pas assez développé et devient quelque peu répétitif malgré des qualités indéniables.
    Jonathan Darona
    Jonathan Darona

    4 abonnés Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 octobre 2021
    Petite pépite à voir absolument ! Poétique, drôle, touchant - la réalisatrice nous embarque dans cette fenêtre avec vue sur le monde.
    Un film qui ne triche pas - il faut encore faire vivre ce kiosque le plus longtemps possible !
    Vinz
    Vinz

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2021
    Un vrai petit bijou! Plus encore qu'un documentaire sur un milieu en train de s'éteindre, c'est un conte de fée . Plutôt que nous entrainer dans la nostalgie, c'est une invitation à la vie... comme si raconter l'histoire ne servait pas tant à ne pas oublier qu'à espérer...
    Alice A.
    Alice A.

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    4,5
    Publiée le 7 octobre 2021
    ce film m'a cueilli ! émouvant, sensible et même drôle. une fenêtre sur la vie au travers ce kiosque familial. très joli premier film.
    Shi Shi
    Shi Shi

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2021
    Sous le kiosque d'Alexandra, on se sent comme protégé, il y fait bon vivre et pourtant, on est face au monde, à la pluie, aux passants qui défilent et à la presse écrite qui s'éteint à petit feu. Un film qui fait du bien en ces temps d'isolement, et qui nous rappelle qu'il est urgent de protéger le commerce de proximité, car ce qui nous rend humains, au final, c'est le rapport à l'autre...
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