Derniers Avis sur Destination : Graceland

pas mal très bon divertissement , les acteurs sont sympa , l'histoire n'est pas au top , on ets d'accord mais le reste est super sympa, décors , musique....

Voilà bien le genre de film qui aligne en permanence les qualités et les défauts... Passé un générique en CGI particulièrement immonde, "3000 Miles to Graceland" démarre avec une idée géniale : une bande de truands braque un casino durant une convention de sosies d'Elvis Presley. Ca commence donc très bien, avec un mélange d'humour et d'action, et puis cette séquence de casse musclé illustre très bien la suite du film. Elle est dynamique mais montée n'importe comment (les policiers semblent se jeter sur les balles, ou attendre de se faire tirer dessus...), pleine de bonnes intentions en intégrant des images d'un show de sosie du King, mais pas très bien exécutée. S'en suit une traque assez moyenne, là encore très inégale. Un humour peu adroit (n'est pas Tarantino qui veut). Des facilités scénaristiques. Des agent fédéraux qui ne servent pratiquement à rien. Des situations misogynes dont on veut bien admettre qu'elle servent surtout à illustrer la bêtise des protagonistes, mais c'est lourd à la longue. Et des personnages aux choix qui nous font sortir du film. spoiler: Franchement, qui peut gober que la maman jouée Courtney Cox abandonne son fils auprès d'un gangster qu'elle connait depuis deux jours ???
Mais surtout, il est étonnant que tout le trip autour d'Elvis, qui aurait pu donner lieu à un délire jouissif, soit largement sous-exploité. C'est d'autant plus dommage que les images du générique de fin montrent un clip amusant dans un esprit décalé, qui aurait pu être celui du film ! Néanmoins, le film a le mérite d'afficher une distribution étonnante. Surtout ses deux interprètes principaux. Kurt Russel en bandit au grand coeur, pas très malin mais débrouillard, qui nous livre quelques prestations (malheureusement courtes) imitant le King. Et Kevin Costner, en contre-emploi total, dans un psychopathe qui se prend pour le fils d'Elvis ! Un résultat plus qu'en demi-teinte, dont l'énorme bide au box office n'est guère surprenant.

Destination : Graceland est un candidat très sérieux au titre de film le plus long, le plus ennuyeux et le plus abrutissant. Il y a bien le germe d'une idée décalée comme des sosies d'Elvis dévalisant un casino de Las Vegas mais dès le début quelque chose ne va pas et il ne fait qu'empirer au fur et à mesure qu'il avance. La première partie est un film de braquage légèrement divertissant mais elle dégénère en un road movie sans intérêt qui montre clairement que le réalisateur ne savait pas quoi faire de cette histoire. Il serait difficile d'énumérer tous les défauts mais l'impression la plus marquante dans mon esprit est que c'est une agression des sens. Le réalisateur donne à tout un aspect éclatant avec un montage rapide et des angles de caméra inclinés. Il pensait rendre le film excitant mais tout ce qu'il a fait c'est donner mal à la tête. Je ne sais pas comment Kevin Costner a été persuadé d'apparaître dans cette parodie sauf peut-être qu'il en avait assez d'être le héros tout le temps dans tous ses films. Eh bien s'il voulait jouer le mauvais méchant il a eu son souhait accompli...

Un film pop corn, vu à l'époque en salle, et qui vieillit très bien. Sorte de gros vidéoclip léché et rythmé, rempli de clin d'oeil et de second degré. Rien que le pitch est jubilatoire : des braqueurs déguisés en Elvis braque le casino où se tient une convention Elvis Presley avec des centaines de fans déguisés et imitant le King (ce qui arrive vraiment dans la vrai vie !). Et de savoir que Kurt Russel refait "son" Elvis est savoureux (en VO il imite son parlé, sans oublier le générique final, jouissif). IL faut savoir que Kurt Russel a vraiment joué un petit role avec Elvis. Autre clin d'oeil, Paul Anka qui joue le directeur de casino avait à l'époque repris "My Way" ("Comme d'habitude") dont Elvis avait fait une version -- d'ailleurs c'est la version de Anka qui est crédité au générique.

Pas mal ces gueules de rock-stars façon Elvis! Kurt Russell et Kevin Costner, en compagnie de leur équipe de fous de la gâchette, forment un sacré duo de braqueurs. Dévaliser un casino est une belle variante aux banques, rien que pour le plaisir de troquer la cagoule pour les strass et les paillettes. C'est donc par une belle démonstration de virilité à la mode 70's que nos cinq braqueurs se lancent à l'assaut du Riviera, l'une des plus célèbre usine à fric de Las Vegas. Un casting aussi jubilatoire que la violence déployée lors des fusillades et des règlements de comptes notamment. De la violence mais pas que. Ce film se dévoile aussi bien en road movie traditionnel qu'en romance d'escroc. Si l'image du King demeure partiellement bafouée, les deux acteurs lui rendent au centuple par leur classe et leur charisme. On se rend vite compte que l'argent corrompt n'importe quel être humain, surtout lorsqu'il se présente en plusieurs centaines de millions de dollars. Destination : Graceland, c'est avant tout un tour de force en mode chacun pour soi où l'argent conduit aux pires pêchers et à une escalade de débauche. Rock'n'roll attitude et second degrés!! Sympathique. 3,5/5

Demian Lichtenstein, apparemment pour sa première réalisation, réuni un casting assez incroyable pour un film de cette trempe, on y retrouve Kurt Russell, Courtney Cox, Ice T, Christian Slater, David Arquette entre autre mais surtout un Kevin Costner déjanté en méchant sans scrupule. Et c'est donc parti pour un road trip assez fou qui passe en deux secondes de la comédie à un massacre sanglant sans sommation. La bande son est dynamique, bien rock'n roll et colle parfaitement au rythme effréné du métrage, pas le temps de s'ennuyer, ça flingue, ça couche et ça se poursuit sans relâche deux heures durant pendant lesquelles quelques bonnes répliques côtoient une quantité de cadavres impressionnante, mais pas aussi impressionnante que l'incapacité chronique des flics à toucher une quelconque cible ... Enfin voilà, ça part dans tous les sens, la morale est souvent assez douteuse, Cox utilisant son gamin comme appât pendant que l'on fait passer Russell pour un simple brigand au grand coeur, lui qui est quand même le principal artisan avec Costner d'un massacre d'une vingtaine de gardes dans le casino. Il suffit au final de débrancher le cerveau et de gober sans broncher de l'action à gogo truffée d'incohérences que l'on nous sert sur un plateau à l'aide d'une mise en scène plutôt léchée et dans ce cas, ça marche plutôt bien. A voir une fois.

Destination Graceland : Un film complètement fou et déjanté qui ne se prend pas au sérieux. Un mélange entre un GTA pour le coté gangsters/cambriolages qui tournes mal… avec une ambiance et un style de mise en scène très Tarantino dans l’âme, avec de l’action complètement barré mais néanmoins d’une efficacité et d’un style a tout épreuve. Et avec tout ça, des personnages hauts en couleurs et des scènes cultes. Non vraiment, j’ai était agréablement surprit car je m’attendais pas a ça et vraiment, le tous est assez jouissif. Car, pour la petite histoire, c’est des admirateurs d’Elvis Presley qui vont faire un gros braquage à L’As Vegas mais après, le groupe va se divisé et se poursuive a la fois. Donc voila, scénario a priori sérieux mais l’ambiance de fou et l’humour rend ce film unique. Avec de l’action de ouf et des fuisiades musclés qui partes dans tous les sens mais grâce a une mise en scène du feu de dieu qui est maitrisé a tous instants, et le montage y est pour quelque chose car il est juste énorme. Ensuite, le casting du film est 3 étoiles et les acteurs ont de vrais gueules et imposes : le duel Kevin Costner et Kurt Ressel crève l’écran. Donc voila, un roal movie surprenant et maitrisé.

Pourquoi impliquer Elvis Presley dans votre film messieurs les scénaristes ? Est-ce seulement pour vous attirer quelques spectateurs en plus ou y a-t-il une vraie volonté derrière ce choix ? D’ailleurs, y a-t-il un minimum de volonté artistique derrière « Destination : Graceland » ? Pourquoi ce titre d’ailleurs ? À quel moment les héros parlent-ils de rallier Graceland ? Pourquoi le film s’ouvre sur un combat de scorpions CGI tellement mal fait qu’on dirait que ce sont des robots ??? Bon j’arrête avec les questions. Pourtant il y en aurait beaucoup à se poser sur les motivations de Demian Lichtenstein, et aussi sur ce qui a poussé Kevin Costner à s’embarquer là-dedans. Certes, l’acteur semble vraiment s’amuser à jouer les méchants pour une fois. Il casse son image, et se plaît à imaginer les réactions outrées de ses fans : "OMG mais il a tué un homme quoi.". Sauf que c’est un mauvais choix de rôle. Murphy, son personnage, est sans consistance. Le problème concerne tous les héros de ce film. Leur développement est proche du néant, ce qui les rend fortement antipathiques. Kurt Russel est exécrable, Courtney Cox écope quant à elle d’un rôle dégradant. Elle couche dès le premier soir, montre ses fesses à tout bout de champ, tombe bêtement amoureuse dès les premières galipettes et colle le héros tout en lui attirant bien évidemment des problèmes. Heureusement que par la suite elle se révèlera un peu manipulatrice, cela nuance légèrement sa niaiserie. En bref, ce sont des acteurs de renom qui se ridiculisent, d’autant plus pour le trio Costner-Russel-Slater grimés en Elvis. Pourtant, la scène du braquage du casino n’est pas si mauvaise, bien rythmée à défaut d’être bien filmée. Certains plans impressionnent en effet par leur laideur. En fait, ce que je reproche surtout, c’est que Lichtenstein ne sait pas rendre ses scènes crédibles. Quand Costner sort ses flingues, le réalisateur balance un rock bien lourd en arrière-plan. Intensité dramatique de la scène ? Zéro. En fait, l’homme semble clairement incapable de rendre ses personnages cools sans utiliser une musique déplacée. Du coup, « Destination : Graceland » pue le film d’action lambda des années 80 (alors qu’il est sorti en 2001 !!!) et nage en plein kitch. À oublier.

Une comédie d'action tarantinesque où le réalisateur n'a lésiné ni sur les parties de flingue ni sur les effets coup de poing (la fusillade destroy du casino, c'est du brutal). Le casting est riche, dominé par 2 stars qu'on croyait finies mais qui finalement s'amusent bien, et le public aussi ; Costner est excellent en ex-taulard psychopathe, et Kurt Russell renfile le costume d' Elvis 20 ans après "le Roman d' Elvis" de John Carpenter, beau clin d'oeil. Au final, cet affrontement rythmé, imprévisible, d'une ironie féroce, construit sur le modèle du road-movie, est vraiment réjouissant.

En voilà un bon gros navet !!!! Seule curiosité: la présence au casting de deux grands noms du cinéma (des acteurs en perte de vitesse d'ailleurs) que sont Kurt Russell et Kevin Costner. Pour le reste, il ne suffit pas de multiplier les scènes de gunfight et d'explosion sur fond de gros riffs de guitares pour faire un bon film. Rien à dire de positif sur cette bouse que je vous conseille d'éviter à tout prix.

Ce film excelle dans le genre. Kevin Costner joue formidablement bien, comme d'habitude. Une fin originale

Une tuerie, c'est le cas de le dire ! Après les 20 premières minutes du film, le temps de mettre l'histoire en place, arrive un braquage explosif et une mise en scène plus qu'excellente (les fans d'Elvis vont adorer le début pour les costumes, les chansons, le spectacle...). Le jeu des acteurs est très bon, surtout Kurt Russel, Kevin Costner et Courtney Cox. Il n'y à pas de temps mort durant les 2 heures. La bande son est importante car elle nous entraine encore plus dans le feu de l'action. Comme l'indique la jaquette : "5 truands, 1 garce...Un braquage sanglant...Qui empochera le magot ?" Un bijou ce film. Et que dire du final ?! Il est d'anthologie.

Scénario original pour un film de braquage mais décevant. Beaucoup de scènes, notamment à la fin, sont dénuées de tout réalisme - spoiler: notamment les trois hommes qui résistent à des dizaines de fédéraux surgissant de partout à la fois, bref
. Globalement, c'est un film qui se laisse voir, mais qui pousse parfois à l'oreiller dans le sens soporifique du terme lorsque le manque d'action n'arrive pas à pallier le manque d'application dans le montage. Destination : Graceland divertira les amateurs de cambriole et les fans d'Elvis (sic).

On m'avait conseillé ce film. Honnêtement le début est nul et plat. Je me demandais même ce qui a pû plaire au mec qui me l'a conseillé ce film. Puis vint le braquage du casino. Pas assez pour me réconcilier avec 'Destination Graceland'. Le seul truc qui me pousse à espérer quelque chose de ce film sont les deux acteurs principaux que j'aime énormément. Et surtout Kevin Costner qui dégage une classe, un charisme exceptionelle. Comme dans la majorité de ses films j'ai envi de dire. Il incarnera le "méchant" et le fils d'Elvis Prestley!?!? Le film donc devient intéréssant au bout d'une heure et je commence enfin à y prendre goût. Le scénario prend bien et l'histoire devient alors haletante, remplie de rebondissement. Je sais pas trop comment est considéré ce film. Moi je ne le connaissais pas mais j'ai accroché, je le trouve plutôt bien foutu.

Le film commence, gros rock qui tache sur un combat de scorpions en CGI tout moche, mais badass quand même, le tout pompé sur l'ouverture de Men In Black.

M'attendant à une grosse série B bien grasse, je dois avouer que j'ai eu ce que j’attendais. Le problème, c'est que ce n'est rien de plus. Visuellement, c'est très laid. De plus, c'est très long, et la plupart des bons acteurs ne survivent pas à la première demi-heure (vraiment très dommage, Christian Slater étant un des trois acteurs les plus cools de tous les temps). Ice-T est sous utilisé et le duo Kevin Pollak – Thomas Haden Church est sous-utilisé pour mon plus grand malheur. Le film se veut sans répit, cruel et drôle. Il n'est qu'ennuyeux, cruel (bon, ça, c'est réussi, il faut bien l'avouer) et titille parfois le zygomatique sans jamais provoquer l'éclat de rire. Il y a cependant de très bons points au film, à commencer par l'enfant, pas insupportable du tout, pas non plus sympathique, faut pas abuser. La musique aussi, mais c'est à peu près tout.

Au final, c'est un film insignifiant qui s'oublie dans la semaine où on l'a vu. Dommage.