Avis : Kill Bill: Volume 1 - Page 9

plus lacunaire tu fait pas.acteur nul pour la plupart, histoire bidon, combi a mi chemin entre bruce lee et les pecheurs de quimper , brulez moi cette daube intersideral!!!!!!!!!!!!!!!!!

Tarantino a réussi à sortir deux films à partir de cette histoire plutôt ténue de vengeance d'une ex-tueuse rangée des affaires. C’est que le bonhomme a du talent. Gavé depuis sa jeunesse de films d’action, le réalisateur nous les ressert… à sa sauce. Inspiré des films de kung-fu, le résultat est impressionnant. Les flash-back distillent les éléments du drame, dynamisent le film et maintiennent un léger suspense. Les méchantes sorties tout droit d’un jeu vidéo, la très longue bagarre aux sabres (d’ores et déjà culte), les multiples duels, la BO entraînante font de ce « Kill Bill 1 » un film certes superficiel, mais jouissif du début à la fin. Le summum est atteint avec spoiler: la scène sous forme de dessin animé (très nippon) du meurtre des parents de l’une des tueuses, alors enfant.

Avec "Kill Bill", Quentin Tarantino rend hommage aux films de sabre qui lui sont si chère. Cet opéra de violence sublime marque un sommet dans la carrière déjà bien remplie ce grand réalisateur, qui n'en finit jamais de nous surprendre.

Un film multiréférentiel puisu'on trouve des références à des films asiatiques, d'horreur et autres thriller. Tarantino connait ses classiques et nous gratifie d'un film magnifique avec une excellente Uma Thurman.

Une narration atypique avec des retours en arrière, des ellipses, des parenthèses, et même un dessin animé ! Tout ça pour nous raconter la préparation d'une vengeance... Kill Bill 1 c'est surtout des combats faramineux et une violence coutumière à Tarantino, mais ici entre les Etats-Unis et le Japon, sur fond d'arts martiaux, ce qui rend ce film unique et sans doute plus réussi que son second volet.

Tout le monde parlait du phénomène "KillBill", ainsi donc, je m'attendait à un chef d'oeuvre de la part de Tarantino.
On se retrouve bien loin de tous ces anciens chef d'oeuvres tels Jackie Brown, Pulp Fiction, et autres True Romance.
Ce film est dénué de réel scénario, la mise en scène est déplorable, un humour à deux balles, aucun suspense (bien que Tarentino ait tenté d'en inséré)...
En résumé, un film pour adolescent boutonneux, aussi déplorable que "Mosquito"!

Encore un coup de maître signé Tarantino, après le film de gangster dans Pulp fiction et Réservoir Dogs, la blacksploitation dans Jackie Brown, avant le Western dans Django et Inglorious Bastards; il faisait cet hommage au film d action asiatique dans cette histoire de la vengeance d une jeune mariée tueuse professionnelle laissée pour morte par ses anciens "collègues de travail". Les idées mise en scène fourmillent c est de la folie pure que ce soit la partie manga sur la biographie d O Ren Ishi, la bataille contre les crazy 88 (du pure délire), le combat entre la mariée et O Ren à la fois combat de chevalier et western, Vernita Green tueuse repentie qui défend son foyer, Elle Driver déguisée en infirmière borgne sifflotant pour aller faire son "travail" et j en passe. Dans le rôle principale Uma Thurman peut développer une palette impressionnante d émotions pour un film d action (la scène de son réveil en est le meilleur exemple ). Vous ajouter à cela une phrase et un twist final qui vous fout littéralement sur le cul et vous obtenez un film culte.

Spécialement écrit pour Uma Thurman, « Kill Bill » rend hommage aux différents genres cinématographiques qu’affectionne Quentin Tarantino via une histoire de vengeance, orchestrée par La Mariée contre d’anciens complices d’une organisation secrète de tueurs à gage à laquelle elle a appartenu. D’une folle et inventive mise en images, incluant un flashback en manga détonnant, le spectacle se veut jouissif et éblouit aussi bien par sa qualité technique que son apparence esthétique, alliant des combats d’arts martiaux extrêmes et abusivement sanglants à une B.O. en parfaite adéquation. A ce titre, l'impétueuse confrontation avec les "Crazy 88" ainsi que la beauté du duel final dans le chapitre "The House of the Blue Leaves" sont les plus significatives de cette première partie. Waouw !

Pour son quatrième film, Tarantino change de style pour rendre hommage au cinéma hongkongais d'arts martiaux avec de nombreuses scènes de combat, au chanbara japonais (mises en scène de combat au sabre) et au western spaghetti pour une partie de sa bande originale et sa manière de filmer les regards et les paysages. On retrouve néanmoins sa patte artistiques à travers quelques dialogues où les personnages parlent de tout et de rien (Vipère Cuivrée qui lui propose un café après leur baston, la rencontre avec le forgeron Hattori Hanzo), des répliques cultes ( spoiler: O-Ren Ichii qui crie après avoir tranché la tête d'un des ses hommes
) et un background très fouillé via des flash-back, notamment le passé douloureux de cette dernière dans une magnifique scène en animé japonais faite par la société Production IG (qui s'est notamment occupée de Ghost in the Shell) et dessinée avec un crayonné tremblotant donnant un ton particulier. La violence est illustrée par le thème de la vengeance donnant lieu à de violents affrontements et de nombreuses giclées de sangs, volontairement abondants lors de la séquence animée et de l'affrontement final.

L'héroïne est brillamment interprétée par Uma Thurman (de retour depuis Pulp Fiction), O-Ren Ichii par la talentueuse Lucy Liu (Shanghaï Kid, Charlie et ses drôles de dames), sa garde du corps par la jeune Chiaki Kuriyama (Ju-On, Battle Royale, Azumi 2, Tekken) et on retrouve même Michael Madsen (M. Blonde de Reservoir Dogs) en policier. Les acteurs semblent au paroxysme de leur carrière et de nombreux passages restent dans les mémoires, notamment le combat contre Vipère Cuivrée dans sa maison spoiler: suivie de son assassinat sous les yeux de sa fille de quatre ans
dès le début du film, la fuite de l'hôpital et sa remise sur pied dans la voiture Pussy Wagon, le passé d'O-Ren Ichii et surtout l'affrontement dans son restaurant-club sur la fin.

La narration se veut non linéaire mais reste proche d'une narration classique avec de nombreux flash-back intéressants. La plus grande qualité du film reste la mise en scène de ses combats regorgeant de sang et au style grandement valorisé par le talent de ses acteurs. Outre l'excellent passage en animé japonais, une partie des affrontements de fin se déroulent en noir et blanc (comme pour annoncer qu'il allait y avoir tellement de sang qu'il valait mieux éviter la couleur) et une autre avec des combattants en ombres chinoises. Le combat de fin arbore un magnifique jardin japonais enneigé et sa musique rappelle d'autant plus l'esprit de la saga mythique de jeux vidéo Tenchu. Le cliffhanger final termine d'autant bien le film qu'il en annonce un élément de la suite. Le meilleur tarantino du genre, un film qui frise l'excellence !!

4ème film et un constat, Quentin Tarantino ne sait pas faire de mauvais films! Nouvelle illustration avec ce cocktail de violence et de sang, en forme d'hommage à tout les genres cinématographiques qu'aime Tarantino. Toujours inventif et décalé (magnifique passage BD), le réalisateur de Pulp Fiction, nous scotche encore une fois, avec en prime, l'une de ses meilleures BO.

Kill Bill 1 est le plus formaliste des films de Tarantino, donc le plus criticable de par son obsession à venir recréer les formes les plus avancées de la culture pop (ou non) - ici mangas et films de samouraïs - sans les justifier outre mesure par un scénario complexe (ici, la vengeance, rien que la vengeance) ou par une aspiration transcendentale comme dans "Inglorious Basterds". Pourtant, cette indéniable pureté formelle (c'est aussi, et de loin, le film le moins bavard de Tarantino, et c'en est même surprenant !) est aussi son passeport pour l'éternité : la succession harassante de scènes formellement parfaites provoque à la foi un sentiment de pure exaltation et de saturation sensorielle qui transforme la vision de "Kill Bill 1" en une expérience esthétique et émotionnelle extrême. Peut-être qu'au final, ce sera le meilleur film de Tarantino, le plus immortel.

Kill Bill est un véritable chef-d'oeuvre du 7eme art. Ce quatrième film de QT met en scène une histoire sur le thème de la vengeance. Thème beaucoup utilisé dans le cinéma hollywoodien, mais ici ce thème est très bien exploité grâce au personnage incarné par l'excellente Uma Thurman. Cette femme ayant été battue et laissée pour morte va revenir et se venger de ses bourreaux qui ont agi sous les ordres du fameux Bill . QT reprend l'idée de Pulp fiction en nous proposant des chapitres dans un ordre non chronologique. Ce film nous captive du début à la fin par ses dialogues, ses acteurs très bons. Les scènes de combat sont très bien réalisées, violentes. La bande originale colle bien au thème artistique. QT nous épate, nous impressionne avec une narration contenant des flashback et les plans de de caméras à noter les zooms sur les personnages lors de tensions palpables. Le résultat est juste spectaculaire.

Etant un fan inconditionnel de Tarantino, je vais peut être manquer d'objectivité, mais ça serait mentir de qualifié cet oeuvre d'insulte du cinéma. Quentin y rend un hommage à la hauteur de son talent. Le résultat est un régal visuel et auditif. Des images sublimes, un manga irrésistible, une bande originale jouissive, et un combat qui clos brillamment ce premier volet. A voir et à revoir.

Le grand retour de Tarantino après cinq ans d'absences.
Après un "Jackie Brown" décevant Tarantino revient en force avec un film dément !
Un film unique qui mélange tout les styles (noir et blanc, nanards, western,mangas...), avec une histoire de vengeance prenante, des dialogues incroyables et des scènes d'actions gores jouissive.
Les personnages sont charismatiques et géniaux (Uma Thurman crève l'écran), la BO est toujours parfaite et le climax final enchaîne les morts sanglantes avec un affrontement final d'une grande intensité.
Un film culte et unique (un ovni) qui signe le retour d'un des plus grands réalisateurs de sa génération.
5/5.

Quentin Tarantino met ne fois de plus ses talents de réalisateur virtuose au service d'un film déroutant, mélange de genres et d'influences propres à l'univers du cinéaste. Si l'intrigue est ici ramenée à une histoire de vengeance des plus simples, Tarantino en profite pour donner à ses personnages une consistance formidable. Le casting régale, Uma Thurman en tête. Ces personnages si travaillés s'abstiennent pour une fois de longs dialogues - ce en quoi Tarantino est pourtant passé maître - et on les découvre davantage dans des scènes marquantes par leur violence mais aussi par la véritable fusion image-son qu'elles manifestent : le réalisateur de Pulp Fiction passe du noir et blanc à la couleur, de l'animation à la prise de vue réelle pour donner vie à une intrigue où la vraisemblance se dissout autant que pleuvent les cadavres, véritable orgie macabre que lui seul peut nous distiller. Sont à regretter quelques longueurs, qui viennent quand même ternir la tableau de ce nouveau film culte, et un humour moins présent qu'à l'habitude. Sans compter qu'après le massacre dans l'auberge, magnifiquement chorégraphié, l'affrontement final s'avère être très décevant. Ce premier volume laisse également un goût amer, comme si on venait d'assister à un prologue d'une heure trente, d'autant qu'un cliffhanger bien senti renforce la déception de se voir arracher des mains un joujou dont on aurait bien aimé profiter à fond. Ce qui ne rend, c'est vrai, le deuxième volet que plus indispensable, et atteste du plaisir que procure ce bain de sang qui témoigne de prouesses stylistiques qui le rendent définitivement unique.