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    Une femme du monde
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    110 critiques spectateurs

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    Rafael
    Rafael

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 décembre 2021
    Laure Calamy est fabuleuse ! On ne se lasse pas de suivre son parcours film après film. Quelle humanité et quelle énergie dans ce film. A voir absolument !!
    Sylviane44
    Sylviane44

    5 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 décembre 2021
    Formidable ! Tant pour l’histoire très réaliste, La Défense du métier de prostituee, et le fait qu’elle assume son métier, que l’interprétation de Laure Calamy en mère courage, prête à aller « jusqu’au bout » pour sortir son fils de leur modeste condition. A voir absolument.
    dan47
    dan47

    44 abonnés 132 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 décembre 2021
    le réalisateur aurait dû appeler ce film PLAN SÉQUENCE SUR LAURE CALAMI !!! on ne voit qu'elle. elle se déchaîne pendant tout le film pour pas grand chose. tous les autres acteurs passent inaperçus et c'est bien dommage. le scénario est faible. aucun sentiment ne passe dans ce nanar !
    elriad
    elriad

    383 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mai 2022
    Laure Calamy porte le film sur ses épaules, tantôt prostituée, tantôt mère de famille qui se traîne un ado compliqué et plutôt fainéant. Jamais elle ne perdra de vue les ambitions professionnelles qu'elle porte pour son fils et franchira même quelques lignes rouges de l'honnêteté pour parvenir à financer l'école privée de son fils. Un scénario plutôt simple, assez peu évolutif, pour un film moyen, sympathique, mais qui ne donne jamais l’émotion espérée.
    Framas54
    Framas54

    14 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 janvier 2022
    Il y a peu de joies dans la prostitution, et il vaudrait mieux gagner sa vie autrement pour élever son fils. Voilà. Calamy est bien, peut-être pas aussi bien que sur son âne..
    Il manque un grain de folie qui aurait tiré le film du bourbier des conventions. De l’audace en somme..
    Alice
    Alice

    10 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2021
    C'est l'histoire d'une mère plus que d'une prostituée, c'est l'histoire d'une précarité ordinaire, d'un combat de femme pour l'amour de son fils.

    Marie la fière, la digne, la militante, la mère courage qui ne flanche pas devant le désir des hommes, de ceux là même qui tentent de la réduire au rang d'objet, Marie qui n'a pas honte de son métier, qui relève la tête en toutes circonstances, même lorsqu'elle est contrainte de rejoindre une maison close - au combien glauque - à la frontière allemande, pour tenter de payer la prestigieuse école de cuisine convoitée par son fils. Ecole qui, le croit-elle, le sauvera de ses addictions et errances adolescentes.

    Film féministe, où la cause de la prostitution de Marie n'est pas abordée - puisqu'elle revendique son métier comme n'importe quel autre - mais qui en relève cependant très bien la dureté, dureté des hommes envers les femmes mais aussi des prostituées entre elles, et où la précarité est omniprésente.

    Laure Calamy est exceptionnelle, crève l'écran de bout en bout , nous fait passer du rire aux larmes.
    Marc P
    Marc P

    4 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 décembre 2021
    Même si les acteurs sont remarquables, le scénario est si prévisible et caricatural qu'il dessert la cause qu'il semble vouloir défendre.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 040 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juillet 2023
    Cècile Ducrocq tenait beaucoup à ce que Laure Calamy entreprenne ce film pour elle! Et la rèalisatrice ne s'y trompa pas en emmenant cette « femme du monde » indèpendante et entrepreneuse loin de son bout de trottoir strasbourgeois pour l'amour de son fils de dix-sept ans! Malgrè la justesse de son jeu et la force d'expression de son visage, Calamy n'obtint pas une seconde fois le Cèsar de la meilleure actrice! Qu'importe l'essentiel est ailleurs avec cette vision singulière de la prostitution sans fougue inutile! Les scènes fortes et gênantes ne manquent pas! De sorte que le combat de cette femme courage devient un beau film, simple et touchant, remarquablement interprètèe par une comèdienne qui va corps et âme dans tout ce qu'elle entreprend! Avec une chanson de Vèronique Sanson (« Vancouver ») qui se taille une place de choix dans ce portrait de femme rèussi...
    lancelo25
    lancelo25

    30 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 décembre 2021
    Après « Antoinette dans les Cévennes » où elle excellait, Laure Calamy confirme qu’elle est une grande actrice, capable de tout jouer, avec intensité et naturel. On découvre aussi Nissim Renard qui incarne parfaitement l’adolescent révolté et nihiliste, sans repaires car sans père. Le scénario implacable s’appuie sur une tension dramatique parfaitement dosée. Un grand film sur une mère qui tente tout pour que son fils n’ait pas un destin similaire au sien, celui d’une femme dans la précarité permanente, sans reconnaissance ni dignité.
    Audrey L
    Audrey L

    555 abonnés 2 424 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2021
    Une femme du monde doit tout à l'interprétation très à l'aise et sensible de Laure Calamy (oubliez la petite secrétaire sage de Dix pour Cent, vous allez être étonné par Marie, reine de la passe), qui donne tout à son personnage, ce qui se remarque : on vit le film avec elle. On aime aussi que ce drame s'attache à démonter tous les clichés sur les travailleuses (et travailleurs) du sexe, tous les fantasmes dégradants sont mis à mal par la réalité de cette travailleuse indépendante qui prend toutes les précautions nécessaires, a ses habitudes et sa dignité. Comment ne pas se sentir un peu compatissant lors de la scène qui la confronte au banquier, au regard de son propre fils, à une juridiction hypocrite qui n'interdit pas l'activité mais pénalise le client (une interdiction déguisée), à un manque criant d'encadrement et de sécurité... Marie est une maman qui se sacrifie, et on adhère totalement à son personnage si attachant. On a seulement regretté la fin, qui accumule les choix scénaristiques faciles. Lorsqu'on voit le jeune homme spoiler: se faire embaucher comme cuisinier en un mois alors qu'il rame depuis des années, on se dit simplement qu'il aurait pu se bouger plus tôt, et que "maman" aurait évité bien des horreurs (faites des gosses...). En plus de donner l'impression que Marie a fait tout cela absolument pour rien (et que l'on aurait pu voir un film qui aurait duré cinq minutes), cela enchaîne avec une scène de fête légèrement ringarde et longue, une happy-end caricaturale que l'on n'a pas vraiment apprécié pour conclure un film qui se défendait plus que bien jusque-là.
    Une femme du monde reste une production française osée sur le monde des péripatéticiennes et des "LGBT+ de la nuit" (on a repéré Romain Brau, jouant un rôle dans Haute Couture, simultanément à l'affiche du cinéma !). Mais, comme dans le binôme mère-fils, c'est Laure Calamy qui fait tout le boulot. Chapeau bas.
    Maite.ferhat
    Maite.ferhat

    57 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 septembre 2021
    Une jolie découverte du Festival du Cinéma Américain de Deauville, dans la sélection "Fenêtre sur le Cinéma Français".

    "Une Femme du Monde" nous embarque dans la vie de Marie et de son fils Adrien. De prime abord, on pourrait penser en lisant le synopsis qu'il s'agit d'un film sur la prostitution, alors qu'il s'agit là seulement d'un contexte et non du sujet. Ce film a pour thème central la famille, le rapport entre une mère célibataire et son fils et la survie financière.
    L'objectif de Marie est, comme pour tout parent, d'offrir le meilleur pour son fils. N'étant pas de classe aisée, elle doit user de combines pour permettre à son fils de faire des études qui lui plaisent et de sortir de la précarité à laquelle sa famille fait face.
    Ce qui est également intéressant à observer dans ce film, ce sont les rapports qu'entretient Marie avec ses collègues de travail ; ils pourraient être ceux de toutes personnes évoluant dans une entreprise régit par le patriarcat. Marie juge ses collègues féminines, ou plutôt ses concurrentes, tant la place est précieuse.

    Ceci dit, je trouve que les personnages de Marie et d'Adrien manquent de densité pour qu'on puisse s'attacher pleinement à eux, comprendre leur urgence de vie, et ainsi se laisser traverser par l'émotion.
    Au-delà de ça, le choix du casting est réussi, et c'est un plaisir de voir un film qui ne fait pas de la prostitution un tabou.
    Steph L
    Steph L

    46 abonnés 316 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mai 2022
    Laure Calamy est une fois de plus parfaite mais le film n'est pas à la hauteur de sa prestation. Le scénario est convenu et le dénouement prévisible et pas très crédible. Les scènes autour de la prostitution sont déjà vues dans d'autres films. Le film aurait pu être plus subversif et audacieux. Dommage.
    Bernard D.
    Bernard D.

    100 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 janvier 2022
    « Une femme du monde » est le premier long métrage de Cécile Ducrocq tourné avec une équipe majoritairement féminine ! On est à Strasbourg où Marie (Laure Calamy), 35 ans, est prostituée à son compte et militante. Elle élève seule son fils de 17 ans, Adrien (Nissim Renard), qui renvoyé du lycée avec un piètre carnet scolaire ne peut prétendre accéder à une formation dans l’hôtellerie/cuisine. Sans repères, il « erre », se met à fumer et veut s’engager dans l’armée. Mais à Strasbourg il existe une école de cuisine privée très chic mais très chère avec des frais de scolarité de 9 000 €uros par an dont un droit d’entrée de 4 000 €uros mais Marie n’a que 1 000 €uros d’économie. Ses parents et la banque ne pouvant lui accorder un prêt, elle va donc « se mettre au turbin » dans une maison du sexe en Allemagne, tenue par Bruno et une mère maquerelle particulièrement sévère avec ses « pensionnaires ». Du fait d’une embrouille avec une collègue/concurrente, elle se fera rapidement viré par Bruno … sans avoir les 1 000 €uros qui lui manquaient encore pour pouvoir inscrire son fils … mais tout finira bien pour Adrien qui pourra assumer sa passion : la cuisine !
    Un film où Laure Calamy est loin d’être la douce et naïve Antoinette de « Antoinette dans les Cévennes » de Caroline Vignal qui fut en 2020 avec la période du Covid, une grande bouffée d’oxygène. Elle est ici « criarde », prononçant le mot « p… » toutes les 3 minutes mais très décidée à ce que son fils puisse sortir de la misère bref une mère courage.
    Un film sans artifice cinématographique et sans aucun pathos, un peu curieux car flirtant parfois avec du voyeurisme mais … qui finalement se laisse agréablement regarder.
    GéDéon
    GéDéon

    55 abonnés 447 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 septembre 2022
    Le premier long-métrage de Cécile Ducrocq, sorti en 2021, évoque les galères auxquelles doit faire face une prostituée mère de famille. La principale qualité de ce film constitue également son plus grand défaut, à savoir la prestation captivante mais envahissante de Laure Calamy. En effet, dans ce rôle à contre-emploi, l’actrice est omniprésente à l’écran au point de ne laisser que des miettes à ses partenaires. Le scénario finit par tourner en rond pour se conclure par un mélodrame très banal. Bref, malgré les intentions louables de la réalisatrice sur la description de ce milieu professionnel, l’ensemble reste insuffisamment consistant.
    JudyCarlotta
    JudyCarlotta

    66 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 décembre 2021
    Il est remarquable de constater qu'absolument aucun homme dans ce film n'a la part belle, y compris le fils spoiler: (au moins dans une grande partie du film
    ), ils sont tous montrés comme lâches, hypocrites, violents, exploiteurs, fainéants, leur seule force, et malheureusement la pire, étant purement physique. On est donc dans le point de vue de l'héroïne, Calamy très juste dans le rôle d'une mère courage, ouvrière du sexe, et non pas travailleuse indépendante, quoi qu'elle en pense... Et si je peux me permettre ceci : marrant de voir autant d'hommes dans la salle de cinéma pour ce film (!)
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