Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Un documentaire touchant, qui livre une réflexion profonde sur l’addiction, à travers les paradoxes d’une relation mère/fils.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
De leurs conversations déchirantes, on retient la lucidité et la résignation — Damien n’imagine pas vraiment être sevré un jour. « Si je t’avais mis à la porte, tu t’en serais mieux sorti ? », l’interroge Ysma. Réponse du fils : « Ou pas. »
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Petit samedi se caractérise ainsi peut-être d’abord par un régime de quotidienneté installé par la fixité et la durée des plans où s’écoule la vie d’un village wallon au bord de la Meuse. De chiens que l’on promène à des péniches filant sur l’eau, des visions lumineuses composent le tableau d'un petit monde paisible.
L'Obs
par X. L.
La jeune réalisatrice – dont la belle première fiction, « Il pleut dans la maison », vient d’être présentée à la Semaine de la Critique à Cannes – déploie avec talent les outils du cinéma pour faire entendre les silences pudiques et capter les lourds regards désemparés.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par M. Dl.
Ce portrait pudique montre la force d’une attache filiale qui revient au galop malgré les disparitions soudaines du fils et le regard des autres sur celui qu’on appelle « petit Samedi » (Samedi est son nom de famille).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Yohan Hadad
Afin de mieux exprimer cette douleur sourde, Paloma Sernon-Daï fait le choix d’un dispositif fixe avec de longues séquences filmées en plans larges où rien ne se dit, mais où tout est signifié. La pudeur de la mise en scène rend dès lors le film plus beau et involontairement plus intime.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
Un documentaire touchant, qui livre une réflexion profonde sur l’addiction, à travers les paradoxes d’une relation mère/fils.
Télérama
De leurs conversations déchirantes, on retient la lucidité et la résignation — Damien n’imagine pas vraiment être sevré un jour. « Si je t’avais mis à la porte, tu t’en serais mieux sorti ? », l’interroge Ysma. Réponse du fils : « Ou pas. »
Cahiers du Cinéma
Petit samedi se caractérise ainsi peut-être d’abord par un régime de quotidienneté installé par la fixité et la durée des plans où s’écoule la vie d’un village wallon au bord de la Meuse. De chiens que l’on promène à des péniches filant sur l’eau, des visions lumineuses composent le tableau d'un petit monde paisible.
L'Obs
La jeune réalisatrice – dont la belle première fiction, « Il pleut dans la maison », vient d’être présentée à la Semaine de la Critique à Cannes – déploie avec talent les outils du cinéma pour faire entendre les silences pudiques et capter les lourds regards désemparés.
Le Monde
Ce portrait pudique montre la force d’une attache filiale qui revient au galop malgré les disparitions soudaines du fils et le regard des autres sur celui qu’on appelle « petit Samedi » (Samedi est son nom de famille).
Première
Afin de mieux exprimer cette douleur sourde, Paloma Sernon-Daï fait le choix d’un dispositif fixe avec de longues séquences filmées en plans larges où rien ne se dit, mais où tout est signifié. La pudeur de la mise en scène rend dès lors le film plus beau et involontairement plus intime.