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    Petit samedi
    Note moyenne
    3,3
    6 titres de presse
    • Les Fiches du Cinéma
    • Télérama
    • Cahiers du Cinéma
    • L'Obs
    • Le Monde
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    6 critiques presse

    Les Fiches du Cinéma

    par Margherita Gera

    Un documentaire touchant, qui livre une réflexion profonde sur l’addiction, à travers les paradoxes d’une relation mère/fils.

    Télérama

    par Augustin Pietron-Locatelli

    De leurs conversations déchirantes, on retient la lucidité et la résignation — Damien n’imagine pas vraiment être sevré un jour. « Si je t’avais mis à la porte, tu t’en serais mieux sorti ? », l’interroge Ysma. Réponse du fils : « Ou pas. »

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Cahiers du Cinéma

    par Romain Lefebvre

    Petit samedi se caractérise ainsi peut-être d’abord par un régime de quotidienneté installé par la fixité et la durée des plans où s’écoule la vie d’un village wallon au bord de la Meuse. De chiens que l’on promène à des péniches filant sur l’eau, des visions lumineuses composent le tableau d'un petit monde paisible.

    L'Obs

    par X. L.

    La jeune réalisatrice – dont la belle première fiction, « Il pleut dans la maison », vient d’être présentée à la Semaine de la Critique à Cannes – déploie avec talent les outils du cinéma pour faire entendre les silences pudiques et capter les lourds regards désemparés.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Monde

    par M. Dl.

    Ce portrait pudique montre la force d’une attache filiale qui revient au galop malgré les disparitions soudaines du fils et le regard des autres sur celui qu’on appelle « petit Samedi » (Samedi est son nom de famille).

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Première

    par Yohan Hadad

    Afin de mieux exprimer cette douleur sourde, Paloma Sernon-Daï fait le choix d’un dispositif fixe avec de longues séquences filmées en plans larges où rien ne se dit, mais où tout est signifié. La pudeur de la mise en scène rend dès lors le film plus beau et involontairement plus intime.

    La critique complète est disponible sur le site Première
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