Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
CinemaTeaser
par La rédaction
Une charge malicieuse contre la masculinité toxique qui pense régir le monde. Mais du point de vue du mâle dévorant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Voici
par La Rédaction
C'est cru et glauque (long, aussi), mais non dénué d'humour noir. Et ce portrait est aussi celui d'une certaine Amérique. On adore !
20 Minutes
par Caroline Vié
Sean Baker montre une Amérique méconnue et dresse un portrait réjouissant d’un beauf d’anthologie.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par La Rédaction
Manipulateur, toxique, narcissique, mais aussi flamboyant... Et pathétique, le héros de ce film est aussi magnifiquement interprété par Simon Rex, ex-acteur dasn le X gay.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Sean Baker est certainement aujourd'hui le meilleur émissaire d'un certain cinéma réaliste américain ; il l'est justement peut-être parce qu'il semble actuellement aux Etats-Unis l'un des seuls cinéastes à filmer le rapport critique liant ses protagonistes et le lieu dans lequel ils vivent, survivent et se débattent.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Simon Rex met dans ce rôle épatant de star déchue du porno une énergie de tous les diables, jouant de son immédiate séduction et de son gros potentiel comique.
Elle
par Françoise Delbecq
Dans cette fable satirique, on savoure le ton transgressif, le papier cigarette aux oculeurs du drapeau américain, la jeune fille prénommée Strawberry et sa maison rose bonbon... Pléthore de détails pop qui dissimulent l'horreur qui se prépare.
Elle
par Françoise Delbecq
Dans cette fable satirique, on savoure le ton transgressif, le papier cigarette aux couleurs du drapeau américain, la jeune fille prénommée Strawberry et sa maison de bonbons...
L'Humanité
par Vincent Ostria
Entre vision hyperréaliste et satire de l’Amérique, Red Rocket brosse un inénarrable tableau de genre, qui est également, in flne, un commentaire politique sur la décadence et déliquescence du pays.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le réalisateur le plus doué pour filmer l’Amérique sur les marges et ses déclassés.
Le Figaro
par Constance Jamet
Comme dans Tangerine et The Florida Project, Sean Baker capture avec sa palette flamboyante les laissés-pour-compte du rêve américain.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une chronique sociale, sans pathos ni jugement moral, avec un personnage de looser opportuniste et manipulateur joué par Simon Rex, à l'énergie communicative et au potentiel comique évident.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La rédaction
Ode aux laissés-pour-compte de l’Amérique, chronique à la fois hilarante et sans pitié de la débrouille dans laquelle se réfugient des marginaux qui se situent en dehors du système, destruction au lance-flammes d’un nouvel ordre moral prisé par la bien-pensance nord-américaine, « Red Rocket » est tout cela à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Louis Roux
En s’intéressant aux pérégrinations d’un sale type, Sean Baker, portraitiste sensible de l’Amérique des déclassés, troque son pinceau empathique pour l’ironie mordante, et une charge féroce contre les profiteurs parasitaires du système américain.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
De ce drôle de personnage au charme facile, Baker tire à la fois le film qu’on en attend (un nonchalant déroulé de combines et de baratin virtuose) et un programme plus retors, aux prises avec la moralité jamais stabilisée de ce sale type inexplicablement aimable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Si son idylle avec une fille très jeune dérange parfois, la déconfiture comique de ce loser, parasite du rêve américain, finit par nous conquérir.
Ouest France
par G.K.
Pourtant, ce looser reste attachant. C’est sûrement dû à la stupéfiante performance de l'acteur Simon Rex et à la nervosité de la réalisation de Sean Baker.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Il faut l'oeil de Sean Baker pour transformer cette histoire de bras cassés en une fable réjouissante, portée par des acteurs hors pair.
Transfuge
par Serge Kaganski
Un film âpre et drôlatique porté par le génial Simon Rex.
Télérama
par Mathilde Blottière
POUR - Sans angélisme ni condescendance, mais avec une réelle empathie, le cinéaste de The Florida Project (2017) raconte encore une fois cette Amérique des floués et des laissés-pour-compte qui ont fini, comme dans le film, par botter le cul des Mikey en qui ils avaient cru.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Si Red Rocket retrouve dans les yeux des personnages cet émouvant attrait du futile, de l’ivresse consommatrice, des joies candides offertes par une bête échoppe à confiseries, l’auteur prend le risque de pousser son goût des non-lieux pathétiques jusqu’à l’autoparodie. Jusqu’au malaise aussi, puisque la pauvreté se trouve parfois au bord d’être érigée en spectacle.
Critikat.com
par Josué Morel
Le film est modeste, assurément, mais fait preuve dans le détail d’une certaine minutie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Drôle, incisif, mais trop long et répétitif.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
C’est drôle, amer, parfois ambigu.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Mathieu Macheret
À force de ne pas assumer son caractère grinçant, mais au contraire de se fondre dans la flexibilité girouette de Mikey, la mise en scène, habile et rayonnante, produit à son endroit une curieuse absence de point de vue.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Portrait bondissant d’un loser magnifique, d’un menteur attachant, ex star du porno qui doit affronter un retour aux sources, «Red Rocket» est une chronique sombre en pleine lumière, un film désespéré plein de drôlerie, une satire du rêve américain où l’individualisme est érigé en mode de vie.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gael Golhen
On s’attache progressivement à ce toy boy inconséquent grâce à une écriture sur le fil, irrévérencieuse et sensible, corrosive sans être gratuite. Mais c’est aussi grâce à la performance impressionnante de Simon Rex que ça marche.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
A travers cet anti-héros insupportable et égoïste, Sean Baker révèle la prestation exceptionnelle du comédien Simon Rex. Un film drôle, cynique, parfois à la limite de la complaisance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Trop occupé à enrober le sordide dans un joli package arty, le cinéaste Sean Baker signe un film qui ne va nulle part, malgré l’excellent Simon Rex dans le rôle d’un acteur porno loser et toxique qui tente un come-back.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par S. D.
CONTRE - Où est passé le regard empathique de Sean Baker sur les déshérités de l’Amérique qui illuminait The Florida Project ? Dans Red Rocket, sa vision des white trash flirte souvent avec la condescendance, voire la misanthropie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
Une charge malicieuse contre la masculinité toxique qui pense régir le monde. Mais du point de vue du mâle dévorant.
Voici
C'est cru et glauque (long, aussi), mais non dénué d'humour noir. Et ce portrait est aussi celui d'une certaine Amérique. On adore !
20 Minutes
Sean Baker montre une Amérique méconnue et dresse un portrait réjouissant d’un beauf d’anthologie.
Closer
Manipulateur, toxique, narcissique, mais aussi flamboyant... Et pathétique, le héros de ce film est aussi magnifiquement interprété par Simon Rex, ex-acteur dasn le X gay.
Culturopoing.com
Sean Baker est certainement aujourd'hui le meilleur émissaire d'un certain cinéma réaliste américain ; il l'est justement peut-être parce qu'il semble actuellement aux Etats-Unis l'un des seuls cinéastes à filmer le rapport critique liant ses protagonistes et le lieu dans lequel ils vivent, survivent et se débattent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Simon Rex met dans ce rôle épatant de star déchue du porno une énergie de tous les diables, jouant de son immédiate séduction et de son gros potentiel comique.
Elle
Dans cette fable satirique, on savoure le ton transgressif, le papier cigarette aux oculeurs du drapeau américain, la jeune fille prénommée Strawberry et sa maison rose bonbon... Pléthore de détails pop qui dissimulent l'horreur qui se prépare.
Elle
Dans cette fable satirique, on savoure le ton transgressif, le papier cigarette aux couleurs du drapeau américain, la jeune fille prénommée Strawberry et sa maison de bonbons...
L'Humanité
Entre vision hyperréaliste et satire de l’Amérique, Red Rocket brosse un inénarrable tableau de genre, qui est également, in flne, un commentaire politique sur la décadence et déliquescence du pays.
Le Dauphiné Libéré
Le réalisateur le plus doué pour filmer l’Amérique sur les marges et ses déclassés.
Le Figaro
Comme dans Tangerine et The Florida Project, Sean Baker capture avec sa palette flamboyante les laissés-pour-compte du rêve américain.
Le Journal du Dimanche
Une chronique sociale, sans pathos ni jugement moral, avec un personnage de looser opportuniste et manipulateur joué par Simon Rex, à l'énergie communicative et au potentiel comique évident.
Le Parisien
Ode aux laissés-pour-compte de l’Amérique, chronique à la fois hilarante et sans pitié de la débrouille dans laquelle se réfugient des marginaux qui se situent en dehors du système, destruction au lance-flammes d’un nouvel ordre moral prisé par la bien-pensance nord-américaine, « Red Rocket » est tout cela à la fois.
Les Fiches du Cinéma
En s’intéressant aux pérégrinations d’un sale type, Sean Baker, portraitiste sensible de l’Amérique des déclassés, troque son pinceau empathique pour l’ironie mordante, et une charge féroce contre les profiteurs parasitaires du système américain.
Les Inrockuptibles
De ce drôle de personnage au charme facile, Baker tire à la fois le film qu’on en attend (un nonchalant déroulé de combines et de baratin virtuose) et un programme plus retors, aux prises avec la moralité jamais stabilisée de ce sale type inexplicablement aimable.
Marie Claire
Si son idylle avec une fille très jeune dérange parfois, la déconfiture comique de ce loser, parasite du rêve américain, finit par nous conquérir.
Ouest France
Pourtant, ce looser reste attachant. C’est sûrement dû à la stupéfiante performance de l'acteur Simon Rex et à la nervosité de la réalisation de Sean Baker.
Sud Ouest
Il faut l'oeil de Sean Baker pour transformer cette histoire de bras cassés en une fable réjouissante, portée par des acteurs hors pair.
Transfuge
Un film âpre et drôlatique porté par le génial Simon Rex.
Télérama
POUR - Sans angélisme ni condescendance, mais avec une réelle empathie, le cinéaste de The Florida Project (2017) raconte encore une fois cette Amérique des floués et des laissés-pour-compte qui ont fini, comme dans le film, par botter le cul des Mikey en qui ils avaient cru.
Cahiers du Cinéma
Si Red Rocket retrouve dans les yeux des personnages cet émouvant attrait du futile, de l’ivresse consommatrice, des joies candides offertes par une bête échoppe à confiseries, l’auteur prend le risque de pousser son goût des non-lieux pathétiques jusqu’à l’autoparodie. Jusqu’au malaise aussi, puisque la pauvreté se trouve parfois au bord d’être érigée en spectacle.
Critikat.com
Le film est modeste, assurément, mais fait preuve dans le détail d’une certaine minutie.
L'Obs
Drôle, incisif, mais trop long et répétitif.
La Voix du Nord
C’est drôle, amer, parfois ambigu.
Le Monde
À force de ne pas assumer son caractère grinçant, mais au contraire de se fondre dans la flexibilité girouette de Mikey, la mise en scène, habile et rayonnante, produit à son endroit une curieuse absence de point de vue.
Paris Match
Portrait bondissant d’un loser magnifique, d’un menteur attachant, ex star du porno qui doit affronter un retour aux sources, «Red Rocket» est une chronique sombre en pleine lumière, un film désespéré plein de drôlerie, une satire du rêve américain où l’individualisme est érigé en mode de vie.
Première
On s’attache progressivement à ce toy boy inconséquent grâce à une écriture sur le fil, irrévérencieuse et sensible, corrosive sans être gratuite. Mais c’est aussi grâce à la performance impressionnante de Simon Rex que ça marche.
aVoir-aLire.com
A travers cet anti-héros insupportable et égoïste, Sean Baker révèle la prestation exceptionnelle du comédien Simon Rex. Un film drôle, cynique, parfois à la limite de la complaisance.
Libération
Trop occupé à enrober le sordide dans un joli package arty, le cinéaste Sean Baker signe un film qui ne va nulle part, malgré l’excellent Simon Rex dans le rôle d’un acteur porno loser et toxique qui tente un come-back.
Télérama
CONTRE - Où est passé le regard empathique de Sean Baker sur les déshérités de l’Amérique qui illuminait The Florida Project ? Dans Red Rocket, sa vision des white trash flirte souvent avec la condescendance, voire la misanthropie.