Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
IGN France
par Tarek Diouri--Adequin
Crazy Bear transforme un fait divers loufoque en succès complet. Pour reprendre les mots d’O’Shea Jackson Jr, « on sait à quoi s’attendre avec le film et on sait que ça sera amusant » ; le film mêle comédie et gore à la quasi-perfection et nous propose une belle heure et demie de spectacle stupide et stupéfiant.
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20 Minutes
par Caroline Vié
Ray Liotta trouve son dernier rôle dans cette réjouissante fantaisie très gore.
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Ecran Large
par Judith Beauvallet
Une partie de plaisir qui démarre fort et n'arrête jamais sa course, laissant son spectateur tour à tour réjoui ou carrément mort de rire. Certaines séquences d'action, et notamment celle de l'ambulance, sont susceptibles de faire date dans l'histoire du film de grosse bestiole. Une excellente surprise que cette comédie noire, sans prétention certes, mais réussie dans tous ses aspects.
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Elle
par Mathilde Carton
Crazy Bear fait l'effet d'un grand huit, dont on ressort avec un sourire énorme et le ventre en papillons.
Filmsactu
par Henry Swanson
Attachant et joyeusement débile avec une énorme bestiole pétée à la coke. Complétement WTF et jubilatoire. La comédie noire que l'on n'attendait pas.
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Le Parisien
par La Rédaction
Si les acteurs humains sont légion dans le long-métrage, c’est bien Cokey la vedette. Ce qui donne lieu à d’incroyables séquences, pour la plupart tournées en Irlande, avec ursidé dopé (et pas qu’aux effets spéciaux), qu’on se raconte encore en rigolant en sortant de la salle, qu’elles impliquent un arbre, une ambulance ou une sieste inopinée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Camille Nevers
Elizabeth Banks fait d’un plantigrade sniffeur de coke, héros malheureux d’un faits divers de 1985, le clou d’un spectacle réussi entre horreur gore et comédie défoncée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Voici
par La Rédaction
Un plaisir coupable aussi sadique que réjouissant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Il y a un plaisir coupable à se délecter de ce petit jeu de massacre barré à l’absurdité assumée, qui pourrait n’être qu’une mauvaise blague – ou même, un navrant navet.
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
On s’amuse donc de bon cœur à cette comédie de série B que la comédienne Elizabeth Banks, pour son troisième long-métrage comme réalisatrice, a su tricoter sans temps morts.
L'Obs
par N. S.
Con, certes, assez drôle mais sans personnalité, cette comédie horrifique, qui lorgne l’esprit VHS des années 1980, est aussi sympatoche qu’oubliable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Delphine De Freitas
Complètement loufoque, Crazy Bear fait grimper le palpitant avant de redescendre peu à peu en raison de quelques longueurs. Mais il participe pleinement de l’expérience collective promise par le cinéma, où toutes les excentricités sont permises.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
S’il échappe au ridicule, le film le doit aussi à ses acteurs, qui surjouent la bouffonnerie et la farce clownesque, les gags les plus insensés autour de l’épopée meurtrière de l’ours sous cocaïne. Un casting aussi survolté que la bête se déchaîne dans cette aventure trépidante : Alden Ehrenreich, Ray Liotta, Keri Russell… S’il n’y a guère de suspense, il y a de l’action, dont une mémorable scène de course-poursuite en ambulance.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Quitte à être idiot, Crazy Bear aurait pu être beaucoup plus méchant et beaucoup plus drôle. Il permet en tout cas de voir une dernière fois Ray Liotta, disparu en 2022.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Inspiré d’un fait divers authentique totalement fou, cette comédie horrifique décomplexée y va à fond dans la parodie et le gore, orchestrant un carnage jouissif avec, en arrière-plan, un vague discours écologique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
« Crazy Bear » a ceci de sympathique : il ne fait jamais semblant d'être intéressant. Un film idiot qui l'assume à ce point ne peut pas nous être antipathique.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Le récit est trop décousu, mais la réalisatrice entremêle l’humour et le gore avec une jubilation transgressive.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Crazy Bear n'est jamais assez fou pour se hisser à la hauteur de son concept.
Critikat.com
par Damien Bonelli
D’une simplicité radicale, ce pitch de série Z se destinait à une comédie horrifique assumant sans remords son mauvais goût plutôt qu’à cet objet bancal et faussement hirsute, soucieux de brosser tous les publics dans le sens du poil.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
GQ
par Adam Sanchez
De ce postulat emballant, qui laissait rêver d'une comédie capable de pousser la bêtise dans ses derniers retranchements, Elizabeth Banks échoue à en faire quoi que ce soit et trousse un film choral extraordinairement poussif et créativement stérile.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Télé Loisirs
par M.L.
Derrière ce pitch très alléchant, Crazy Bear, avec son récit mal rythmé et ses personnages très légers, ne fonctionne jamais vraiment, ni en tant que comédie ni en tant que film d'horreur.
Télérama
par Marie Sauvion
À l’arrivée, cette petite blague surjouée comme une sitcom se révèle vaguement drôle, moyennement gore, essentiellement laborieuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Mais le film se retient constamment, rappelé sans doute à des considérations plus pragmatiques : la production grand public s’autorise quelques effets gores plein cadre (l’attaque de l’ambulance), rejetant l’essentiel au hors champ et s’interdisant donc d’être le festival viandard qu’on serait en droit d’attendre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Murielle Joudet
Crazy Bear s’avère surtout une fausse bonne idée, qui n’aurait jamais dû quitter le fond de tiroir de son scénariste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Laurent Duroche
Rien ne fonctionne dans cette pochade à la ramasse qui tente vaguement de parler de parentalité [...] entre deux gags indigents et quelques débordements gore qui se voudraient irrévérencieux.
Ouest France
par La Rédaction
Une comédie artificiellement agitée et interminable.
Première
par François Léger
Crazy Bear souffre par ailleurs d’un problème de rythme ahurissant - au bout d’une heure, on serait prêt à supplier que ça s’arrête -, hérité d’un montage bancal qui tue dans l’oeuf les rares bonnes vannes du scénario. Sacré gâchis.
La critique complète est disponible sur le site Première
IGN France
Crazy Bear transforme un fait divers loufoque en succès complet. Pour reprendre les mots d’O’Shea Jackson Jr, « on sait à quoi s’attendre avec le film et on sait que ça sera amusant » ; le film mêle comédie et gore à la quasi-perfection et nous propose une belle heure et demie de spectacle stupide et stupéfiant.
20 Minutes
Ray Liotta trouve son dernier rôle dans cette réjouissante fantaisie très gore.
Ecran Large
Une partie de plaisir qui démarre fort et n'arrête jamais sa course, laissant son spectateur tour à tour réjoui ou carrément mort de rire. Certaines séquences d'action, et notamment celle de l'ambulance, sont susceptibles de faire date dans l'histoire du film de grosse bestiole. Une excellente surprise que cette comédie noire, sans prétention certes, mais réussie dans tous ses aspects.
Elle
Crazy Bear fait l'effet d'un grand huit, dont on ressort avec un sourire énorme et le ventre en papillons.
Filmsactu
Attachant et joyeusement débile avec une énorme bestiole pétée à la coke. Complétement WTF et jubilatoire. La comédie noire que l'on n'attendait pas.
Le Parisien
Si les acteurs humains sont légion dans le long-métrage, c’est bien Cokey la vedette. Ce qui donne lieu à d’incroyables séquences, pour la plupart tournées en Irlande, avec ursidé dopé (et pas qu’aux effets spéciaux), qu’on se raconte encore en rigolant en sortant de la salle, qu’elles impliquent un arbre, une ambulance ou une sieste inopinée.
Libération
Elizabeth Banks fait d’un plantigrade sniffeur de coke, héros malheureux d’un faits divers de 1985, le clou d’un spectacle réussi entre horreur gore et comédie défoncée.
Voici
Un plaisir coupable aussi sadique que réjouissant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Il y a un plaisir coupable à se délecter de ce petit jeu de massacre barré à l’absurdité assumée, qui pourrait n’être qu’une mauvaise blague – ou même, un navrant navet.
L'Ecran Fantastique
On s’amuse donc de bon cœur à cette comédie de série B que la comédienne Elizabeth Banks, pour son troisième long-métrage comme réalisatrice, a su tricoter sans temps morts.
L'Obs
Con, certes, assez drôle mais sans personnalité, cette comédie horrifique, qui lorgne l’esprit VHS des années 1980, est aussi sympatoche qu’oubliable.
LCI
Complètement loufoque, Crazy Bear fait grimper le palpitant avant de redescendre peu à peu en raison de quelques longueurs. Mais il participe pleinement de l’expérience collective promise par le cinéma, où toutes les excentricités sont permises.
Le Dauphiné Libéré
S’il échappe au ridicule, le film le doit aussi à ses acteurs, qui surjouent la bouffonnerie et la farce clownesque, les gags les plus insensés autour de l’épopée meurtrière de l’ours sous cocaïne. Un casting aussi survolté que la bête se déchaîne dans cette aventure trépidante : Alden Ehrenreich, Ray Liotta, Keri Russell… S’il n’y a guère de suspense, il y a de l’action, dont une mémorable scène de course-poursuite en ambulance.
Le Figaro
Quitte à être idiot, Crazy Bear aurait pu être beaucoup plus méchant et beaucoup plus drôle. Il permet en tout cas de voir une dernière fois Ray Liotta, disparu en 2022.
Le Journal du Dimanche
Inspiré d’un fait divers authentique totalement fou, cette comédie horrifique décomplexée y va à fond dans la parodie et le gore, orchestrant un carnage jouissif avec, en arrière-plan, un vague discours écologique.
Les Echos
« Crazy Bear » a ceci de sympathique : il ne fait jamais semblant d'être intéressant. Un film idiot qui l'assume à ce point ne peut pas nous être antipathique.
Télé 7 Jours
Le récit est trop décousu, mais la réalisatrice entremêle l’humour et le gore avec une jubilation transgressive.
CinemaTeaser
Crazy Bear n'est jamais assez fou pour se hisser à la hauteur de son concept.
Critikat.com
D’une simplicité radicale, ce pitch de série Z se destinait à une comédie horrifique assumant sans remords son mauvais goût plutôt qu’à cet objet bancal et faussement hirsute, soucieux de brosser tous les publics dans le sens du poil.
GQ
De ce postulat emballant, qui laissait rêver d'une comédie capable de pousser la bêtise dans ses derniers retranchements, Elizabeth Banks échoue à en faire quoi que ce soit et trousse un film choral extraordinairement poussif et créativement stérile.
Télé Loisirs
Derrière ce pitch très alléchant, Crazy Bear, avec son récit mal rythmé et ses personnages très légers, ne fonctionne jamais vraiment, ni en tant que comédie ni en tant que film d'horreur.
Télérama
À l’arrivée, cette petite blague surjouée comme une sitcom se révèle vaguement drôle, moyennement gore, essentiellement laborieuse.
L'Humanité
Mais le film se retient constamment, rappelé sans doute à des considérations plus pragmatiques : la production grand public s’autorise quelques effets gores plein cadre (l’attaque de l’ambulance), rejetant l’essentiel au hors champ et s’interdisant donc d’être le festival viandard qu’on serait en droit d’attendre.
Le Monde
Crazy Bear s’avère surtout une fausse bonne idée, qui n’aurait jamais dû quitter le fond de tiroir de son scénariste.
Mad Movies
Rien ne fonctionne dans cette pochade à la ramasse qui tente vaguement de parler de parentalité [...] entre deux gags indigents et quelques débordements gore qui se voudraient irrévérencieux.
Ouest France
Une comédie artificiellement agitée et interminable.
Première
Crazy Bear souffre par ailleurs d’un problème de rythme ahurissant - au bout d’une heure, on serait prêt à supplier que ça s’arrête -, hérité d’un montage bancal qui tue dans l’oeuf les rares bonnes vannes du scénario. Sacré gâchis.