Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Venez voir s'affirme peut-être comme le meilleur film de Jonás Trueba, ainsi que celui qui permet de désamorcer les reproches que l'on pourrait, un peu facilement, imputer à son cinéma.
Critikat.com
par Fabrice Fuentes
Trueba n’a pas son pareil pour saisir cet état de présent indéfiniment étiré et donner l’impression que ses films s’inventent sur place avec les personnages.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Concis autant que patient, tout à la fois théorique et naturaliste, Venez voir est un ravissement.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Ici, plus que jamais, ce cinéma se pare d’un double fond. Sous ses airs ensoleillés et légers, Venez voir s’interroge, par le biais d’un va-et-vient entre un couple à la ville et l’autre à la campagne, sur ce qui constitue une existence.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Il y a donc quelque chose de profond qui se joue là, une réflexion plus intense et pénétrante sur notre présence au monde, renforcée par ce qu’on devine encore des blessures de la pandémie et de cette grosse flemme de vivre face à un horizon totalement bouché.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Serge Kaganski
Le rohmérien Jonas Trueba nous dit aussi « venez voir » la banalité du quotidien, les évènements infinitésimaux de nos paisibles vies occidentales, nos questionnements les plus intimes, et comment tout cela qui est a priori ennuyeux peut faire cinéma pour peu que le réalisateur sache écouter un morceau de piano live et filmer ses effets, saisir les expressions de visages et gestes qui disent parfois autre chose que les conversations [...].
Télérama
par Jacques Morice
Même le sentiment mélancolique d’un amour manqué, qui émerge ici et là, se confond avec le rire. Dans le genre mineur, Venez voir est un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
On saisit alors toute la pertinence de ce film qui parvient à rendre la beauté de ces moments anodins où l’on mesure sans crainte les années écoulées pour mieux admirer le charme de l’instant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Céline Rouden
Le résultat pourrait sembler nombriliste et vaguement intello si Jonas Trueba, grâce à une mise en scène d’une grande douceur et fluidité, n’y apportait cette touche qui faisait le charme de ses précédents films.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Mathieu Macheret
Venez voir pourrait être ainsi comparé à un petit récipient évasé, dans lequel on glisse trois idées, une chanson, une pincée de textes et quelques moments suspendus, pour voir si quelque chose en sort.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Yannick Vely
Court - un peu plus d'une heure -, à la fois charmant et légèrement insignifiant - c'est le jeu de ces chroniques comme prises sur le vif -, «Venez voir» confirme le talent du cinéaste pour capter la mélancolie qui nait dans le regard de sa muse, la sublime Itsaso Arana.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Obs
par Nicolas Schaller
Chroniqueur attentif de sa génération, le réalisateur du gracile et gracieux « Eva en août » retrouve sa muse Itsaso Arana et son approche rohmérienne. (...) Au bout d’1h04, il nous abandonne sur une mise en abyme du pauvre qui sape le vague mystère du film et dévoile la fumisterie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Mais le film, comme prisonnier de sa posture bobo-intello, finit par lasser un spectateur qui se moque un peu des considérations existentielles de ses trentenaires convoquant Peter Sloterdijk et Rainer Maria Rilke.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Il y a ça et là des fulgurances indéniables mais de nouveau la cérébralité écrase tout et accouche d’un film qui paraît parfois regarder ses spectateurs de haut.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Venez voir s'affirme peut-être comme le meilleur film de Jonás Trueba, ainsi que celui qui permet de désamorcer les reproches que l'on pourrait, un peu facilement, imputer à son cinéma.
Critikat.com
Trueba n’a pas son pareil pour saisir cet état de présent indéfiniment étiré et donner l’impression que ses films s’inventent sur place avec les personnages.
Les Fiches du Cinéma
Concis autant que patient, tout à la fois théorique et naturaliste, Venez voir est un ravissement.
Les Inrockuptibles
Ici, plus que jamais, ce cinéma se pare d’un double fond. Sous ses airs ensoleillés et légers, Venez voir s’interroge, par le biais d’un va-et-vient entre un couple à la ville et l’autre à la campagne, sur ce qui constitue une existence.
Libération
Il y a donc quelque chose de profond qui se joue là, une réflexion plus intense et pénétrante sur notre présence au monde, renforcée par ce qu’on devine encore des blessures de la pandémie et de cette grosse flemme de vivre face à un horizon totalement bouché.
Transfuge
Le rohmérien Jonas Trueba nous dit aussi « venez voir » la banalité du quotidien, les évènements infinitésimaux de nos paisibles vies occidentales, nos questionnements les plus intimes, et comment tout cela qui est a priori ennuyeux peut faire cinéma pour peu que le réalisateur sache écouter un morceau de piano live et filmer ses effets, saisir les expressions de visages et gestes qui disent parfois autre chose que les conversations [...].
Télérama
Même le sentiment mélancolique d’un amour manqué, qui émerge ici et là, se confond avec le rire. Dans le genre mineur, Venez voir est un grand film.
Culturopoing.com
On saisit alors toute la pertinence de ce film qui parvient à rendre la beauté de ces moments anodins où l’on mesure sans crainte les années écoulées pour mieux admirer le charme de l’instant.
La Croix
Le résultat pourrait sembler nombriliste et vaguement intello si Jonas Trueba, grâce à une mise en scène d’une grande douceur et fluidité, n’y apportait cette touche qui faisait le charme de ses précédents films.
Le Monde
Venez voir pourrait être ainsi comparé à un petit récipient évasé, dans lequel on glisse trois idées, une chanson, une pincée de textes et quelques moments suspendus, pour voir si quelque chose en sort.
Paris Match
Court - un peu plus d'une heure -, à la fois charmant et légèrement insignifiant - c'est le jeu de ces chroniques comme prises sur le vif -, «Venez voir» confirme le talent du cinéaste pour capter la mélancolie qui nait dans le regard de sa muse, la sublime Itsaso Arana.
L'Obs
Chroniqueur attentif de sa génération, le réalisateur du gracile et gracieux « Eva en août » retrouve sa muse Itsaso Arana et son approche rohmérienne. (...) Au bout d’1h04, il nous abandonne sur une mise en abyme du pauvre qui sape le vague mystère du film et dévoile la fumisterie.
Le Journal du Dimanche
Mais le film, comme prisonnier de sa posture bobo-intello, finit par lasser un spectateur qui se moque un peu des considérations existentielles de ses trentenaires convoquant Peter Sloterdijk et Rainer Maria Rilke.
Première
Il y a ça et là des fulgurances indéniables mais de nouveau la cérébralité écrase tout et accouche d’un film qui paraît parfois regarder ses spectateurs de haut.