Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
CinemaTeaser
par Renan Cros
Histoire d’un deuil, récit d’une émancipation, « Le Lycéen » saisit avec grâce la tristesse d’un ado et son chemin cabossé vers la lumière.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Humanité
par Sophie Joubert
Plus proche de Plaire, aimer et courir vite que de ses comédies musicales parisiennes, les Bien-aimés ou les Chansons d’amour, le cinéaste creuse une veine âpre qui lui va bien.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Point
par Elise Lépine
Réunissant Vincent Lacoste, parfait en grand frère aimant mais brutal, Juliette Binoche, sublime dans sa douleur de veuve, et le jeune Paul Kircher, très belle révélation, Le Lycéen fait monter chez le spectateur de puissants frissons d'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Objet de jouissance esthétique, le film l’est avec un éclat incomparable. C’est un feu d’artifice vivace et virtuose, où toutes les possibilités expressives du cinéma [...] atteignent un point d’incandescence.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
par Caroline Vié
Juliette Binoche et Vincent Lacoste incarnent la mère et le frère aîné du héros tandis que le réalisateur apparaît brièvement dans le rôle de son propre père. Mais c’est Paul Kircher, incandescente découverte qui leur vole la vedette dans le rôle-titre. Retenez bien ce nom !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Pélisson
En replongeant dans son passé, Christophe Honoré signe un film au présent intense. Une plage temporelle chaotique dans la vie d’un adolescent. Et, au final, une chorégraphie existentielle terriblement émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
S’inspirant du roman « L’adolescent » de Dostoïevski et choisissant la voix-off du héros comme trame narrative, Christophe Honoré [...] signe une œuvre intime et personnelle.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un dur et doux portrait de jeune homme.
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
En évoluant constamment quelque part entre le style et l'épure, Christophe Honoré livre avec Le Lycéen un film bouleversant sur le deuil et la tentation de l'abîme. Si le cinéaste ne tient peut-être pas toujours ce complexe équilibre, il le fait malgré tout avec une touchante sincérité.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Focalisé sur ses personnages, Christophe Honoré filme un drame au plus près des visages et des corps, pour en capter les métamorphoses intérieures.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Jérôme Garcin
Retenez son nom : Paul Kircher. A la fois fragile et canaille, indomptable et attendrissant, candide et arrogant, il déchire l’écran, que Christophe Honoré raccommode avec une infinie délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Beau film important, Le Lycéen pourrait composer avec Plaire, aimer et courir vite (2018), variation sentimentale, romantique et mélancolique, un diptyque de Christophe Honoré, sur l’amour, la jeunesse et la perte.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Inspiré par la tragédie qui marqua son adolescence, Christophe Honoré signe un film personnel, débordant de romanesque, tout aussi lumineux que mélancolique, et organique dans sa façon de suivre le chaos intérieur d’un adolescent d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ainsi commence ce beau film de formation autobiographique de Christophe Honoré, qui a su admirablement restituer l’alchimie complexe de ce passage qu’est l’adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Face à un Vincent Lacoste une nouvelle fois bluffant de naturel, Paul Kircher, qui incarne Lucas, imprègne le film de son charme singulier.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Abordant un sujet autobiographique en oscillant entre la confession frontale et l’esquive romanesque, Christophe Honoré signe un film qui, sans être parfait, réussit l’essentiel : être personnel et touchant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Il est émouvant de retrouver la fraîcheur du regard du cinéaste dans ce portrait d’adolescence, qui embrasse tout à la fois ce quelque chose d’égoïste, tête à claque, tragique, cette idiotie romantique d’un jeune homme qui se marre avec des idées noires.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un portrait de la jeunesse plein de sensibilité.
Transfuge
par Séverine Danflous
Ce qu’Honoré réussit à mettre en scène avec une grande justesse, est la manière dont le quotidien gagne sur la mort. Honoré montre la solitude, les questions innombrables sans réponse, les tracas ordinaires, la douleur qui submerge. Mais c’est surtout l’élan de la jeunesse qui l’intéresse, sa vitalité, son besoin d’éprouver son corps, sa sexualité, de hurler sa rage face à l’injustice de perdre un être si cher.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Honoré parsème sa mise en scène d’imprévus et nous emmène toujours ailleurs, aidé par des comédiens toujours justes, cœur battant de ce film qui parle, finalement, si bien d’amour.
Télé Loisirs
par Philomène Durand
Un itinéraire initiatique sincère et émouvant.
Télérama
par Louis Guichard
Deuil brutal, passion impossible... Le cinéaste revisite au présent, et avec panache, son adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Le Lycéen explore avec finesse le vertige du deuil et des émotions à l'âge de tous les possibles.
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Une éducation sentimentale à la première personne, parsemée d’une dimension onirique du plus bel effet, à marquer d’une pierre blanche.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Honoré se heurte aux écueils du roman d’apprentissage sexuel et amoureux : montrer des premières fois mais à travers des scènes cent fois vues. Il lui manque d’assumer pleinement la cruauté de son récit, ou son érotisme, mais il faudrait pour cela être plus distant qu’un éternel adolescent qui en regarde un autre.
Critikat.com
par Hugo Mattias
Derrière sa lourdeur apparente, Le Lycéen réussit au moins le pari de nous immerger dans la temporalité heurtée de son personnage, et dans ce long flottement qui précède chez lui l’appréhension de la tragédie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce film d’abandon (à tous les sens du terme), dans une perpétuelle atmosphère de froide saison, aux scènes inachevées, trop long, par moments agaçant de complaisance et d’excès, profond à d’autres, drôle aussi, côtoie le sublime sans l’atteindre vraiment. Il est surtout illuminé par une révélation stupéfiante, un nouveau visage, lumineux, dans le cinéma français : Paul Kircher (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Honoré ne peut s’empêcher quelques afféteries post Nouvelle Vague, telles la voix off et les confessions ou réflexions filmées de Lucas. Mais cette coquetterie auteuriste ne gâche pas la grâce mélancolique que déploie la dernière partie du film (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Paris Match
par Benjamin Locoge
Le nouveau film de Christophe Honoré flirte avec le ridicule. Avant d’être sauvé in extremis par le talent du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Théo Ribeton
De l’ensemble se dégage un étrange mélange de vulnérabilité et de force, mais aussi quelque chose de duveteux, de réconfortant (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Christophe Honoré filme son héros avec la bienveillance d’un aîné qui regarderait souffrir son plus cher enfant. Sans geindre ni discourire, il saisit les phases de ce deuil échevelé, violent, indomptable.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On a aimé le débordement d’amour qui entoure ce personnage à l’éclosion tourmentée. On a moins aimé cette abondance de gros plans captés par une caméra tremblante (maniérisme ?), cette voix off et ces monologues face caméra qui surlignent et nous éloignent d’un récit intime à la sensualité diffuse, un peu trop long.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Echos
par Adrien Gombeaud
En racontant un épisode dramatique de sa jeunesse, Christophe Honoré livre un film souvent touchant mais jamais surprenant. « Le Lycéen » fige une histoire très personnelle et bouleversante dans une forme trop attendue.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Vincent Thabourey
Reste la colère brute d’un jeune homme, matériau cinématographique vite gâché par une mise en scène explicative.
CinemaTeaser
Histoire d’un deuil, récit d’une émancipation, « Le Lycéen » saisit avec grâce la tristesse d’un ado et son chemin cabossé vers la lumière.
L'Humanité
Plus proche de Plaire, aimer et courir vite que de ses comédies musicales parisiennes, les Bien-aimés ou les Chansons d’amour, le cinéaste creuse une veine âpre qui lui va bien.
Le Point
Réunissant Vincent Lacoste, parfait en grand frère aimant mais brutal, Juliette Binoche, sublime dans sa douleur de veuve, et le jeune Paul Kircher, très belle révélation, Le Lycéen fait monter chez le spectateur de puissants frissons d'émotion.
Les Inrockuptibles
Objet de jouissance esthétique, le film l’est avec un éclat incomparable. C’est un feu d’artifice vivace et virtuose, où toutes les possibilités expressives du cinéma [...] atteignent un point d’incandescence.
20 Minutes
Juliette Binoche et Vincent Lacoste incarnent la mère et le frère aîné du héros tandis que le réalisateur apparaît brièvement dans le rôle de son propre père. Mais c’est Paul Kircher, incandescente découverte qui leur vole la vedette dans le rôle-titre. Retenez bien ce nom !
Bande à part
En replongeant dans son passé, Christophe Honoré signe un film au présent intense. Une plage temporelle chaotique dans la vie d’un adolescent. Et, au final, une chorégraphie existentielle terriblement émouvante.
CNews
S’inspirant du roman « L’adolescent » de Dostoïevski et choisissant la voix-off du héros comme trame narrative, Christophe Honoré [...] signe une œuvre intime et personnelle.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un dur et doux portrait de jeune homme.
Ecran Large
En évoluant constamment quelque part entre le style et l'épure, Christophe Honoré livre avec Le Lycéen un film bouleversant sur le deuil et la tentation de l'abîme. Si le cinéaste ne tient peut-être pas toujours ce complexe équilibre, il le fait malgré tout avec une touchante sincérité.
Franceinfo Culture
Focalisé sur ses personnages, Christophe Honoré filme un drame au plus près des visages et des corps, pour en capter les métamorphoses intérieures.
L'Obs
Retenez son nom : Paul Kircher. A la fois fragile et canaille, indomptable et attendrissant, candide et arrogant, il déchire l’écran, que Christophe Honoré raccommode avec une infinie délicatesse.
Le Dauphiné Libéré
Beau film important, Le Lycéen pourrait composer avec Plaire, aimer et courir vite (2018), variation sentimentale, romantique et mélancolique, un diptyque de Christophe Honoré, sur l’amour, la jeunesse et la perte.
Le Journal du Dimanche
Inspiré par la tragédie qui marqua son adolescence, Christophe Honoré signe un film personnel, débordant de romanesque, tout aussi lumineux que mélancolique, et organique dans sa façon de suivre le chaos intérieur d’un adolescent d’aujourd’hui.
Le Monde
Ainsi commence ce beau film de formation autobiographique de Christophe Honoré, qui a su admirablement restituer l’alchimie complexe de ce passage qu’est l’adolescence.
Le Parisien
Face à un Vincent Lacoste une nouvelle fois bluffant de naturel, Paul Kircher, qui incarne Lucas, imprègne le film de son charme singulier.
Les Fiches du Cinéma
Abordant un sujet autobiographique en oscillant entre la confession frontale et l’esquive romanesque, Christophe Honoré signe un film qui, sans être parfait, réussit l’essentiel : être personnel et touchant.
Libération
Il est émouvant de retrouver la fraîcheur du regard du cinéaste dans ce portrait d’adolescence, qui embrasse tout à la fois ce quelque chose d’égoïste, tête à claque, tragique, cette idiotie romantique d’un jeune homme qui se marre avec des idées noires.
Ouest France
Un portrait de la jeunesse plein de sensibilité.
Transfuge
Ce qu’Honoré réussit à mettre en scène avec une grande justesse, est la manière dont le quotidien gagne sur la mort. Honoré montre la solitude, les questions innombrables sans réponse, les tracas ordinaires, la douleur qui submerge. Mais c’est surtout l’élan de la jeunesse qui l’intéresse, sa vitalité, son besoin d’éprouver son corps, sa sexualité, de hurler sa rage face à l’injustice de perdre un être si cher.
Télé 7 Jours
Honoré parsème sa mise en scène d’imprévus et nous emmène toujours ailleurs, aidé par des comédiens toujours justes, cœur battant de ce film qui parle, finalement, si bien d’amour.
Télé Loisirs
Un itinéraire initiatique sincère et émouvant.
Télérama
Deuil brutal, passion impossible... Le cinéaste revisite au présent, et avec panache, son adolescence.
Voici
Le Lycéen explore avec finesse le vertige du deuil et des émotions à l'âge de tous les possibles.
aVoir-aLire.com
Une éducation sentimentale à la première personne, parsemée d’une dimension onirique du plus bel effet, à marquer d’une pierre blanche.
Cahiers du Cinéma
Honoré se heurte aux écueils du roman d’apprentissage sexuel et amoureux : montrer des premières fois mais à travers des scènes cent fois vues. Il lui manque d’assumer pleinement la cruauté de son récit, ou son érotisme, mais il faudrait pour cela être plus distant qu’un éternel adolescent qui en regarde un autre.
Critikat.com
Derrière sa lourdeur apparente, Le Lycéen réussit au moins le pari de nous immerger dans la temporalité heurtée de son personnage, et dans ce long flottement qui précède chez lui l’appréhension de la tragédie.
La Croix
Ce film d’abandon (à tous les sens du terme), dans une perpétuelle atmosphère de froide saison, aux scènes inachevées, trop long, par moments agaçant de complaisance et d’excès, profond à d’autres, drôle aussi, côtoie le sublime sans l’atteindre vraiment. Il est surtout illuminé par une révélation stupéfiante, un nouveau visage, lumineux, dans le cinéma français : Paul Kircher (...).
Le Figaro
Honoré ne peut s’empêcher quelques afféteries post Nouvelle Vague, telles la voix off et les confessions ou réflexions filmées de Lucas. Mais cette coquetterie auteuriste ne gâche pas la grâce mélancolique que déploie la dernière partie du film (...).
Paris Match
Le nouveau film de Christophe Honoré flirte avec le ridicule. Avant d’être sauvé in extremis par le talent du cinéaste.
Première
De l’ensemble se dégage un étrange mélange de vulnérabilité et de force, mais aussi quelque chose de duveteux, de réconfortant (...).
Sud Ouest
Christophe Honoré filme son héros avec la bienveillance d’un aîné qui regarderait souffrir son plus cher enfant. Sans geindre ni discourire, il saisit les phases de ce deuil échevelé, violent, indomptable.
La Voix du Nord
On a aimé le débordement d’amour qui entoure ce personnage à l’éclosion tourmentée. On a moins aimé cette abondance de gros plans captés par une caméra tremblante (maniérisme ?), cette voix off et ces monologues face caméra qui surlignent et nous éloignent d’un récit intime à la sensualité diffuse, un peu trop long.
Les Echos
En racontant un épisode dramatique de sa jeunesse, Christophe Honoré livre un film souvent touchant mais jamais surprenant. « Le Lycéen » fige une histoire très personnelle et bouleversante dans une forme trop attendue.
Positif
Reste la colère brute d’un jeune homme, matériau cinématographique vite gâché par une mise en scène explicative.