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    38°5 quai des orfèvres
    Note moyenne
    2,3
    15 titres de presse
    • 20 Minutes
    • Closer
    • Le Parisien
    • Dernières Nouvelles d'Alsace
    • La Voix du Nord
    • Le Dauphiné Libéré
    • Télé 2 semaines
    • Télé 7 Jours
    • Le Journal du Dimanche
    • L'Obs
    • Le Monde
    • Les Fiches du Cinéma
    • Ouest France
    • Première
    • Télérama

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    15 critiques presse

    20 Minutes

    par Caroline Vié

    Cette comédie originale a bien mérité son Grand Prix au Festival de l’Alpe d’Huez.

    La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

    Closer

    par J.B.

    Un thriller loufoque qui assume avec joie son côté nanar et s'annonce comme un futur polar culte.

    Le Parisien

    par La Rédaction

    L’intrigue ne sert que de fil conducteur à une profusion de blagues puériles, absurdes ou trash. Et Didier Bourdon, comme Artus, nous offrent de grands numéros… Hilarant.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Dernières Nouvelles d'Alsace

    par Nathalie Chifflet

    Avec une touche d’humour noir, le premier film de Benjamin Lehrer fait tenir cette histoire insensée en s’appuyant sur une bande d’acteurs azimutés qui ont l’air de s’amuser comme des petits fous.

    La Voix du Nord

    par Christophe Caron

    Résultat inégal mais on applaudit le culot de l’affaire.

    La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

    Le Dauphiné Libéré

    par Nathalie Chifflet

    38°5 quai des Orfèvres n’a rien d’une grande œuvre de terreur psychologique, mais tout d’une farce goubiboulga, assemblage disparate de références et de clins d’œil, pour un pastiche de comédie policière sans aucun esprit de sérieux.

    Télé 2 semaines

    par Thomas Colpaert

    Pour les amateurs de parodies et d'humour référencé et bourré d'absurde.

    Télé 7 Jours

    par Julien Barcilon

    D’un mauvais goût crânement assumé, premier degré et bas de plafond, cette farce drôlement référencée additionne les gags, les clins d’œil rigolards et les punchlines.

    Le Journal du Dimanche

    par E.M.

    Résultat, un exercice de style ultra-référencé (Le Silence des agneaux, Esprits criminels…) à prendre au quinzième degré avec son avalanche de situations absurdes et décalées, mais qui, sur la durée, se révèle bien trop poussif malgré quelques bonnes idées (Artus hilarant en médecin légiste façon Top Chef).

    La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

    L'Obs

    par Xavier Leherpeur

    Une comédie policière version « Hibernatus » qui, comme dans ce classique de Louis de Funès, semble avoir été écrite il y a un demi-siècle avant d’être oubliée dans un congélateur. Le réveil est brutal.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Monde

    par J. Ma.

    Ce n’est donc pas tant à l’humour populaire dévastateur des Inconnus et moins encore à l’explosivité parodique d’un Mel Brooks que ce film peut se comparer, plutôt à l’esprit des Bidasses du temps jadis, une sorte d’esthétique du lamentable telle que le cinéma français, d’une génération l’autre, nous en repasse les plats.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Fiches du Cinéma

    par Thomas Fouet

    Comédie parodique placée sous le patronage des ZAZ et des Nuls, le film de B. Lehrer, faute de gags inventifs et d’une mise en scène plus inspirée, tombe à plat.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Ouest France

    par François Léger

    Un monument de malaise à peine croyable.

    Première

    par François Léger

    Un monument de malaise sous couvert de cinquième degré.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Télérama

    par Augustin Pietron-Locatelli

    Le film lorgne ouvertement l’humour du collectif américain ZAZ ou encore celui des Nuls, absurde mais, au fond, très travaillé : tout l’inverse de ce sketch interminable.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama
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